Sauter la navigation
Show
Navigation ignorée

Communiqués de presse

Selon l'Indice d'amélioration des finances de BMO, les Canadiens se disent financièrement optimistes face à la pandémie, mais des inquiétudes demeurent
  • La reprise économique en forme de K montre que le sentiment des consommateurs se partage en deux camps en ce qui a trait à la sécurité financière
  • BMO crée un nouvel indice pour déterminer si les Canadiens ont l'impression d'aller de l'avant financièrement

MONTRÉAL, le 10 févr. 2021 /CNW/ - Alors que la pandémie de COVID-19 pose un défi financier aux consommateurs et aux entreprises depuis près d'un an, la plupart des Canadiens sont satisfaits de leur situation financière actuelle et près de 40 pour cent indiquent qu'ils améliorent réellement leurs finances - en prenant des mesures qu'ils jugent importantes ou qui leur permettent d'atteindre leurs objectifs financiers - selon une nouvelle étude de BMO et d'Ipsos. Toutefois, même chez ceux pour qui les finances s'améliorent, il reste des inquiétudes financières, et des vents contraires persistants empêchent les Canadiens d'atteindre leurs objectifs financiers.

Le sondage est le premier de l'Indice d'amélioration des finances de BMO, une nouvelle mesure trimestrielle du sentiment des Canadiens à l'égard de l'argent et de la question de savoir s'ils améliorent réellement leurs finances.

Le sondage a mis en lumière les réalités suivantes :

  • L'âge compte : Par rapport à 2020, 39 pour cent des Canadiens se sentent plus en sécurité financière aujourd'hui qu'il y a un an. Un autre 39 pour cent juge qu'il n'y a pas eu de changement important dans sa sécurité financière. Les milléniaux et les personnes de la génération Z sont plus enclins à estimer qu'ils sont plus en sécurité financièrement (60 pour cent et 55 pour cent, respectivement).
  • Le statu quo : Au début de 2021, 38 pour cent de tous les Canadiens ont dit qu'ils amélioraient leurs finances, mais la majorité (51 pour cent) fait du surplace et n'a pas l'impression d'avancer ou de prendre du retard.
  • Les enjeux qui tiennent éveillé la nuit et l'écart entre le savoir et le savoir-faire : Chez les Canadiens qui ont l'impression d'améliorer leurs finances, des préoccupations demeurent, dont plus particulièrement la COVID-19 (50 pour cent), la crainte de dépenses imprévues (30 pour cent), le coût du logement (27 pour cent) et les dépenses liées à la famille (23 pour cent). Il y a aussi un écart entre savoir quoi faire pour améliorer ses finances et prendre les mesures nécessaires pour le faire. Près d'un tiers (32 pour cent) ont indiqué qu'ils font souvent des choses qui empirent leur situation financière, comme dépenser plus que nécessaire.

« Il est encourageant de constater que les Canadiens se sentent généralement optimistes pour l'année à venir en ce qui concerne leurs finances, a déclaré Gayle Ramsay, chef, Services bancaires courants et accroissement de la clientèle, BMO Banque de Montréal. La hausse actuelle de l'épargne personnelle attribuable au fait que les gens dépensent moins pour des choses comme le divertissement et les voyages, ainsi que les mesures de secours mises en place, contribue à alimenter ce sentiment. Mais, avec la COVID-19, le sentiment de sécurité peut se dissiper à tout moment. Notre objectif est de trouver des moyens de faire en sorte que les Canadiens progressent vers leurs objectifs financiers malgré l'incertitude. »

Une reprise économique fracturée (reprise en K)
Le sondage a révélé que deux réalités très différentes coexistent par rapport à l'amélioration des finances. Bien que certains Canadiens se sentent optimistes quant à leurs finances, près du quart (22 pour cent) des répondants se sentent moins en sécurité par rapport à leurs finances qu'il y a un an.

Chez ceux dont les finances ne s'améliorent pas (11 pour cent), la pandémie de COVID-19 a eu une incidence négative sur leur situation financière et exacerbé les défis auxquels ils sont confrontés pour améliorer leurs finances :

  • seulement 29 pour cent ont suffisamment d'économies pour faire face à une urgence imprévue;
  • 61 pour cent déclarent que la pandémie de COVID-19 a aggravé leur situation financière;
  • 39 pour cent déclarent ne pas pouvoir satisfaire leurs besoins de base.

« Depuis le début de la pandémie, nous avons consulté des milliers de clients de façon proactive pour les aider à gérer l'incertitude actuelle et nous avons constaté beaucoup de fluctuations dans le sentiment des consommateurs, a ajouté Gayle Ramsay. Ces conversations nous ont appris que certains Canadiens ont été plus touchés que d'autres, et nous nous sommes engagés à trouver des façons de les aider à se remettre sur pied. Dans cette optique, nous avons lancé de nouveaux produits et services qui laisseront plus d'argent dans les poches des consommateurs et des outils numériques qui détectent les déficits de liquidités potentiels et aident les clients à mieux gérer les dépenses à venir. Nous espérons également que cette recherche favorisera un meilleur dialogue sur ce que signifie aller de l'avant et sur la manière de conserver les habitudes positives adoptées pendant la pandémie. »   

Épargne et obstacles
Bien que les Canadiens épargnent régulièrement, ils ne le font pas toujours autant qu'ils le voudraient. Les deux tiers des Canadiens épargnent au moins sur une base mensuelle et 37 pour cent d'entre eux peuvent mettre de l'argent de côté à chaque chèque de paie. Lorsqu'il s'agit d'essayer d'épargner un peu plus, le plus grand obstacle est de ne plus avoir d'argent après avoir réglé les dépenses (43 pour cent), le pourcentage étant encore plus élevé chez les Canadiens du millénaire (47 pour cent). Autre défi, certains (13 pour cent) négligent d'inclure l'épargne dans le budget du ménage.

Si l'on examine les villes les plus peuplées du Canada en particulier, les consommateurs de Vancouver sont les plus susceptibles de pouvoir épargner régulièrement, suivis de ceux de Toronto et de Montréal (68 pour cent, 67 pour cent et 59 pour cent, respectivement).

À propos de l'Indice d'amélioration des finances de BMO
Lancé en février 2021, l'Indice d'amélioration des finances de BMO est un indicateur de ce que les consommateurs pensent de leurs finances personnelles et de l'amélioration de leur situation financière. L'indice vise à susciter un dialogue qui aidera le consommateur à atteindre ses objectifs financiers et à humaniser un sujet qui cause de l'anxiété chez bien des gens : l'argent.

Le sondage dont il est question dans le présent document a été mené au Canada du 5 au 12 janvier 2021. Un échantillon de 3 413 adultes âgés de 18 ans et plus a été recueilli dans cette vague. Des quotas et une pondération ont été utilisés pour s'assurer que la composition de l'échantillon reflète celle de la population canadienne selon les paramètres du recensement.

Pour savoir comment BMO peut aider ses clients à améliorer réellement leurs finances, consultez le site https://www.bmo.com/principal/particuliers.

À propos de BMO Groupe financier 
Depuis plus de 200 ans et toujours là pour ses clients, BMO est un fournisseur de services financiers hautement diversifiés - la huitième banque en importance pour son actif en Amérique du Nord. Fort d'un actif de 949 milliards de dollars au 31 octobre 2020 et d'une équipe d'employés polyvalents et très motivés, BMO offre à plus de 12 millions de clients une vaste gamme de produits et de services dans les domaines des services bancaires aux particuliers et aux entreprises, de la gestion de patrimoine et des services de banque d'affaires. Les activités de BMO Groupe financier sont réparties entre trois groupes d'exploitation : Services bancaires Particuliers et entreprises, BMO Gestion de patrimoine et BMO Marchés des capitaux.

Internet : www.bmo.com   Twitter : @BMOmedia

SOURCE BMO Groupe Financier

Pour plus de renseignements: Requêtes médias : Marie-Catherine Noël, Montréal, MarieCatherine.Noel@bmo.com, 514-877-8224