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Communiqués de presse

La Banque de Montréal obtient les approbations réglementaires pour une offre publique de rachat dans le cours normal des activités

MONTRÉAL, le 30 mai 2018 /CNW/ - La Banque de Montréal (TSX:BMO)(NYSE:BMO) a annoncé aujourd'hui qu'elle a obtenu de la Bourse de Toronto (TSX) et du Bureau du surintendant des institutions financières du Canada (BSIF) les approbations l'autorisant à donner suite, par l'entremise des installations de la Bourse de Toronto, ainsi que par l'entremise d'autres systèmes de négociation canadiens, à son offre publique de rachat dans le cours normal des activités annoncée précédemment. Cette offre vise à racheter, aux fins d'annulation, jusqu'à 20 millions d'actions ordinaires de la Banque entre le 1er juin 2018 et le 31 mai 2019 au plus tard.

Le nombre maximal d'actions ordinaires pouvant être rachetées dans le cadre de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités représente approximativement 3,1 pour cent du « flottant » (selon la définition de ce terme qu'en donne le Guide à l'intention des sociétés de la TSX) d'actions ordinaires de la Banque. 

Au cours de la semaine du 4 juin 2018, la Banque instaurera un régime d'achat d'actions automatique en vertu duquel son courtier, BMO Nesbitt Burns inc., pourra, à certains moments, acheter ses actions ordinaires conformément à l'offre, selon un ensemble défini de critères. Le nombre réel d'actions ordinaires achetées en vertu de l'offre, le moment des achats et le prix auquel les actions ordinaires sont achetées sont établis à la discrétion de la direction en fonction de facteurs tels que les conditions du marché et la suffisance de capital. Le prix d'achat des actions rachetées par la Banque en vertu de l'offre sera le prix du marché au moment de l'acquisition. La Banque consultera le BSIF avant de faire des achats.

Au 16 mai 2018, il y avait 640 647 217 actions ordinaires de la Banque de Montréal émises et en circulation et le flottant se composait de 640 285 825 actions ordinaires. Le volume quotidien moyen des transactions pour les six mois qui se sont terminés le 30 avril 2018 et le nombre quotidien maximal d'actions ordinaires pouvant être rachetées, calculés conformément aux règles de la Bourse de Toronto aux fins de l'offre, étaient de 1 292 618 et de 323 155 actions, respectivement.

L'offre publique de rachat d'un maximum de 22 millions d'actions dans le cours normal des activités précédente de la Banque est entrée en vigueur le 1er mai 2017 et a pris fin le 30 avril 2018. La Banque a racheté 13 millions de ses actions ordinaires au cours de l'offre publique de rachat précédente, à un prix moyen pondéré de 93,97 $ par action.

Mise en garde concernant les déclarations prospectives

Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d'autres documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l'exercice 2018 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions, et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne, américaine et mondiale. Les déclarations prospectives sont généralement identifiées par des mots tels que « devoir », « croire », « s'attendre à », « anticiper », « avoir l'intention », « estimer », « planifier », « viser » et « pouvoir ».

En raison de leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d'hypothèses et comportent des risques et des incertitudes, de nature aussi bien générale que particulière. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations étant donné que les résultats, les conditions, les actions ou les événements réels futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs, dont bon nombre sont indépendants de notre volonté et dont les effets peuvent être difficilement prévisibles.

Les résultats futurs ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, des marchés financiers ou du crédit faibles, volatils ou illiquides, les fluctuations des taux d'intérêt et des cours de change, les changements de politique monétaire, budgétaire, fiscale ou économique ainsi que la législation fiscale et les interprétations connexes, l'intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous oeuvrons, les changements de législation ou les changements dans les attentes ou les exigences des organismes de supervision, y compris les exigences ou directives en matière de fonds propres, de taux d'intérêt et de liquidité, ainsi que l'incidence de tels changements sur les coûts de financement, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité à mettre en œuvre nos plans stratégiques, à conclure des acquisitions et à intégrer les entreprises acquises, ce qui englobe l'obtention de l'approbation des organismes de réglementation, les principales estimations comptables et l'incidence des modifications des normes comptables, des règlements et des interprétations sur ces estimations, les risques opérationnels et liés aux infrastructures, les modifications de nos cotes de crédit, la situation politique, notamment les changements liés aux questions économiques ou commerciales ou influant sur celles-ci, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions possibles de guerres ou d'opérations terroristes sur nos activités, les répercussions des éclosions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les catastrophes naturelles et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les services de transport et de communication et les systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, les changements technologiques, l'information et la cybersécurité, y compris la menace de piratage, de vol d'identité et d'espionnage d'entreprise, ainsi que le déni de service pouvant découler des efforts visant à provoquer une défaillance du système et une interruption de service, et notre capacité à prévoir et à gérer efficacement les risques découlant des facteurs susmentionnés.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. D'autres facteurs et d'autres risques pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour plus d'informations, il y a lieu de se reporter à la section Risques pouvant influer sur les résultats futurs, à la page 79 du Rapport de gestion annuel pour 2017 de BMO, ainsi qu'aux sections sur le risque de crédit et de contrepartie, le risque de marché, le risque d'assurance, le risque de liquidité et de financement, le risque opérationnel, le risque de modèle, le risque juridique et réglementaire, le risque d'entreprise, le risque de stratégie, le risque environnemental et social, et le risque de réputation, qui commencent à la page 86 du Rapport de gestion annuel pour 2017 de BMO, à l'analyse figurant à la section Estimations comptables critiques - Impôts sur le résultat et actifs d'impôt différé, à la page 114 du Rapport de gestion annuel de BMO pour 2017, et à la section Gestion globale des risques du Rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2018 de BMO, qui présentent l'incidence que certains de ces facteurs et risques clés pourraient avoir sur les résultats futurs de la Banque de Montréal. Les investisseurs et toute autre personne doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs et de ces risques, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l'exige. L'information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d'aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes closes à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d'autres fins.

Les hypothèses économiques importantes qui sous-tendent les énoncés prospectifs contenus dans le présent document sont présentées dans le Rapport de gestion annuel pour 2017 de BMO dans la section Évolution de la situation économique et perspectives, mise à jour dans la section Survol et perspectives économiques du Rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2018 de BMO. Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine et à la conjoncture de marché globale, ainsi qu'à leur effet combiné sur nos activités, sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l'établissement de nos priorités et objectifs stratégiques et des perspectives de nos divers secteurs d'activité. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et pour le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques, les liens passés entre les variables économiques et financières ainsi que les risques qu'ils posent pour l'économie au pays et à l'échelle mondiale. Se reporter à la section Évolution de la situation économique et perspectives, à la page 32 du Rapport de gestion de 2017 de BMO.

SOURCE BMO Groupe Financier

Pour plus de renseignements: Relations avec les médias : Valérie Doucet, Montréal, valerie.doucet@bmo.com, 514-877-8224 ; Relations avec les investisseurs : Jill Homenuk, Toronto, jill.homenuk@bmo.com, 416-867-4770 ; Christine Viau, Toronto, christine.viau@bmo.com, 416-867-6956 ; Internet : www.bmo.com ; Twitter : @BMOmedia