MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 27 août 2015) - BMO Banque privée, une entité membre de BMO Gestion de patrimoine, a dévoilé aujourd'hui les résultats d'une nouvelle étude qui analyse les attitudes et préférences des Canadiens fortunés (ceux qui disposent d'actifs à investir d'un million de dollars ou plus) à l'égard de l'éducation de leurs enfants et de la manière dont ils prévoient financer les dépenses qui y sont associées. Ce sondage fait partie d'une série de coups de sonde qui examinent les tendances chez les Canadiens aisés.
Selon l'étude, parmi les Canadiens fortunés qui sont parents, 61 pour cent ont des enfants qui fréquentent ou qui devraient fréquenter l'université ou un collège. L'ensemble des coûts des études postsecondaires de leurs enfants (y compris les droits de scolarité, les livres, les fournitures et les frais de subsistance) est couvert par :
- leur épargne personnelle (69 pour cent);
- l'épargne de leur enfant (12 pour cent);
- une bourse d'études (6 pour cent);
- une aide financière de membres de la famille (4 pour cent).
Lorsqu'ils songent à l'avenir de leurs enfants à l'université ou au collège, les Canadiens fortunés se soucient moins de savoir si leurs enfants vont faire bonne figure à l'école que de savoir comment ils vont se tirer d'affaire financièrement après l'obtention de leur diplôme. L'étude a démontré que les Canadiens à l'aise se préoccupent surtout de la capacité de leurs enfants :
- de maintenir leur standard de vie après l'obtention de leur diplôme (36 pour cent);
- de dénicher un emploi après l'obtention de leur diplôme (35 pour cent);
- d'obtenir des notes élevées (27 pour cent);
- de terminer leurs études postsecondaires (24 pour cent).
« Bien que les Canadiens fortunés entendent payer eux-mêmes la majorité des frais d'études universitaires ou collégiales de leurs enfants, ils s'attendent aussi à partager une part des coûts avec leurs enfants », a indiqué Myra Cridland, chef, BMO Banque privée. « De là l'importance d'enseigner aux enfants les rudiments des finances personnelles, notamment l'épargne et l'investissement, en bas âge. Quel que soit notre niveau de revenu, la littératie financière est la voie à suivre pour assurer le succès financier futur de nos enfants ».
Mme Cridland a ajouté que BMO Banque privée offre un programme de promotion de la compétence financière qui s'adresse aux enfants des clients qui veulent acquérir des connaissances financières générales et apprendre les principes de l'investissement pour faire prospérer leurs finances personnelles et leur patrimoine familial. Les participants apprennent les notions suivantes : gestion de la dette et renforcement du crédit; fondements de la planification patrimoniale; investissement et utilisation des diverses catégories d'actifs; risques et occasions de placement; et psychologie de l'investissement.
École privée : Commencez à épargner tôt avec l'épargne-études
Le sondage a par ailleurs révélé que seulement 16 pour cent des parents canadiens fortunés ont des enfants qui fréquentent l'école privée de la maternelle au 5e secondaire. La vaste majorité (90 pour cent) paie elle-même les droits de scolarité de ses enfants qui fréquentent l'école privée et plus des trois quarts (77 pour cent) ont indiqué que cette dépense pèse peu sur leurs finances. Tout juste moins du quart des répondants (23 pour cent) estiment avoir dû rogner sur d'autres facettes de leur vie pour pouvoir payer les droits de scolarité de leurs enfants.
Les Canadiens riches qui ont opté pour l'école privée plutôt que pour l'école publique pour leurs enfants disent l'avoir fait parce qu'ils croient que l'école privée :
- offrira une meilleure éducation à leurs enfants (73 pour cent);
- préparera la voie du succès futur de leurs enfants dans leurs études postsecondaires (49 pour cent) et leur carrière (31 pour cent);
- permettra à leurs enfants de se créer un précieux réseau de relations (28 pour cent).
« Les parents ont dix-huit ans pour planifier le financement des études universitaires ou collégiales de leurs enfants, mais ils ont beaucoup moins de temps pour se préparer un plan de gestion du patrimoine qui tient compte des droits de scolarité d'un enfant inscrit dans une école privée », a poursuivi Mme Cridland. « Il est souhaitable de réfléchir le plus tôt possible au type d'éducation élémentaire et secondaire que vous voudrez offrir à vos enfants, afin que vous puissiez inclure une composante éducation à votre plan financier et commencer à affecter des fonds en vue du paiement des droits de scolarité ».
Les résultats cités dans cette étude sont tirés d'un sondage effectué en ligne par Pollara entre le 15 et le 28 octobre 2014 auprès d'un échantillon de 306 Canadiens âgés de 18 ans et plus, qui disposaient d'actifs à investir d'un million de dollars ou plus (excluant leur régime de retraite d'employeur, leurs produits d'assurance et leur propriété).
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