MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 16 avril 2014) - À l'approche de la date limite pour la production des déclarations de revenus, BMO Nesbitt Burns a publié aujourd'hui une étude qui indique que seulement la moitié (51 %) des Canadiens cherchent habituellement des options fiscalement avantageuses lorsqu'ils envisagent de faire de nouveaux placements.
L'étude basée sur un sondage indique aussi que la majorité des Canadiens disent manquer de connaissances sur le traitement fiscal de certains types de revenus de placements susceptibles de réduire leurs impôts à payer :
- Cinquante-neuf pour cent des personnes ne savent pas au juste comment les gains en capital sont imposés.
- De la même façon, 59 % des répondants ne savent pas au juste quel traitement fiscal s'applique aux revenus de dividendes.
« Une des raisons pour lesquelles les gens ne cherchent pas de solutions de placement avantageuses sur le plan fiscal pourrait bien être qu'ils ne comprennent pas très bien comment l'impôt s'applique aux placements, a déclaré Jean Richard, vice-président, Groupe de gestion de patrimoine, BMO Nesbitt Burns. Bien comprendre l'incidence de l'impôt sur vos placements, c'est la première chose à faire pour gérer intelligemment votre portefeuille, et cela pourrait contribuer considérablement à en maximiser le rendement global. »
M. Richard a ajouté qu'un conseiller en placement peut jouer un rôle déterminant, en aidant les clients à comprendre les implications fiscales de leurs placements et en travaillant avec eux à trouver les solutions de placement qui correspondent le mieux à leurs besoins et objectifs particuliers.
BMO Investissements Inc. offre diverses options de placement fiscalement avantageuses, notamment les portefeuilles CatégorieSélectMC de BMO. Ces quatre portefeuilles comportent des niveaux de risque différents et sont regroupés dans une structure de catégories de sociétés qui permet aux investisseurs d'accumuler du capital d'une manière efficiente sur le plan fiscal, en offrant un potentiel de croissance à impôt différé et un revenu mensuel fiscalement efficient.
Les dons de bienfaisance influent-ils sur les décisions fiscales des Canadiens?
L'étude nous apprend aussi que la majorité (54 %) des répondants au sondage ont déclaré que les crédits d'impôt pour dons de bienfaisance n'ont pas (ou pas beaucoup) d'influence sur leur décision de faire des dons.
« Comme le système fiscal est conçu pour encourager les Canadiens à faire des dons et à soutenir des organismes de bienfaisance, il est certain qu'il incite les gens à intégrer des dons dans la préparation de leur budget annuel, a poursuivi M. Richard. Les dons à des organismes de bienfaisance ne sont pas seulement des moyens de faire le bien. Ils peuvent aussi réduire vos impôts sur le revenu et remettre un peu d'argent dans vos poches. »
M. Richard a expliqué qu'un don peut être déduit dans l'année d'imposition au cours de laquelle il a été fait ou être reporté jusqu'à cinq ans plus tard. Pour maximiser leur épargne fiscale, les conjoints peuvent mettre leurs dons en commun. Il existe aussi d'autres mesures incitatives, notamment le super crédit pour premier don de bienfaisance (SCPD), qui est disponible jusqu'en 2017 et qui encourage les Canadiens à soutenir des organismes de charité, en accordant aux nouveaux donateurs un crédit d'impôt fédéral supplémentaire unique de 25 % pour les dons en espèces, jusqu'à concurrence de 1 000 $. Dans le cas d'un don de 500 $, par exemple, votre épargne fiscale fédérale, en vertu du SCPD, s'élèverait à 242 $, ce qui s'ajouterait à l'épargne provenant de votre crédit d'impôt provincial.
Répartition régionale :
Région |
Recherchent habituellement des options fiscalement avantageuses lorsqu'ils envisagent un nouveau placement
(%) |
Connaissent peu ou pas du tout le traitement fiscal appliqué aux gains en capital
(%) |
Connaissent peu ou pas du tout le traitement fiscal appliqué aux revenus de dividendes
(%) |
Disent que les crédits d'impôt pour dons de bienfaisance n'influent pas ou pas beaucoup sur leur décision de faire un don
(%) |
Canada |
51 |
59 |
59 |
54 |
Atlantique |
38 |
72 |
69 |
55 |
Québec |
59 |
66 |
56 |
54 |
Ontario |
50 |
55 |
58 |
53 |
Prairies |
51 |
63 |
65 |
54 |
Alberta |
51 |
52 |
57 |
48 |
C.-B. |
45 |
53 |
59 |
61 |
Le sondage ayant servi à cette étude a été effectué en ligne par Pollara du 14 au 17 mars 2014, auprès d'un échantillon de 1 007 Canadiens. La marge d'erreur pour un échantillon probabiliste de cette taille est de ± 3,1 %, 19 fois sur 20. Les données ont été pondérées en fonction de la région, de l'âge et du sexe, d'après les plus récentes données de recensement, de manière à ce qu'elles soient représentatives des Canadiens adultes.
Pour en apprendre davantage sur les placements fiscalement avantageux et la planification financière : www.bmo.com/nesbittburns.
Pour en apprendre davantage sur la gestion de patrimoine : http://www.linkedin.com/company/bmo-wealth-management-services-canada?trk=top_nav_home.
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