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Communiqués de presse

Selon un rapport de BMO, les snowbirds canadiens contribuent à la reprise immobilière en Floride

- Les prix des maisons ont augmenté de 12 pour cent en Floride depuis avril 2011

- Les Canadiens forment la plus importante cohorte d'acheteurs étrangers de biens immobiliers en Floride

- Plus de 500 000 Canadiens possèdent actuellement des biens immobiliers en Floride

- La région de Sarasota-Bradenton-Venice est la plus prisée des acheteurs canadiens

MONTRÉAL, QUEBEC--(Marketwired - 11 avril 2013) - Selon un rapport de BMO Groupe financier, le marché immobilier de la Floride connaît une reprise et les retraités canadiens qui passent l'hiver dans le sud (les « snowbirds ») y sont pour beaucoup.

Le rapport a mis en lumière les faits suivants :

  • Selon les chiffres les plus récents de S&P Case-Shiller, le prix d'une maison unifamiliale situé dans le sud de la Floride a bondi de 12 pour cent par rapport au point le plus bas en avril 2011.
  • La demande de biens immobiliers en Floride est en croissance auprès des acheteurs étrangers, et plus spécialement des Canadiens, qui ont contribué à favoriser la hausse des prix.
  • Le Canada est la principale source de touristes étrangers, ainsi que d'acheteurs de biens immobiliers étrangers en Floride; en 2010, les Canadiens ont conclu 36 pour cent de tous les achats immobiliers faits par des étrangers.
  • Plus de 500 000 Canadiens possèdent actuellement une propriété en Floride.

« Au-delà de l'attrait indéniable de la belle température et des superbes plages, deux autres facteurs font des biens immobiliers de la Floride une valeur particulièrement attrayante pour les Canadiens », précise Jack Ablin, chef des placements, BMO Banque privée Harris. « Le premier, c'est que les propriétés floridiennes représentent une aubaine par rapport aux biens immobiliers canadiens. Le prix médian des propriétés de Floride est environ deux fois moindre que celui des maisons canadiennes. Deuxièmement, le dollar canadien s'échange à près de 10 pour cent au-dessus de sa juste valeur par rapport au dollar américain, ce qui confère un pouvoir d'achat supérieur au snowbirds acheteurs ».

Où les Canadiens achètent-ils en Floride?

Le rapport a également permis de déterminer les principales régions où les Canadiens possèdent des propriétés en Floride :

  • Sarasota-Bradenton-Venice (17 pour cent);
  • Orlando-Kissimmee (13 pour cent);
  • Miami-Ft. Lauderdale-Palm Beach (13 pour cent);
  • Cape Coral-Ft. Myers (9 pour cent);
  • Tampa-St. Petersburg (9 pour cent);
  • Naples-Marco Island (9 pour cent);
  • Autres (30 pour cent)*.

Un sondage BMO effectué en 2012 a dévoilé que 16 pour cent des Canadiens ont indiqué qu'ils envisageraient d'acheter une maison au sud de la frontière. De plus :

  • parmi ceux qui envisageaient d'acheter une propriété aux États-Unis en 2012, 56 pour cent l'auraient fait pour s'approprier une propriété secondaire ou de vacances;
  • 44 pour cent des répondants ont cité l'abordabilité comme motif d'achat d'une propriété aux États-Unis;
  • le tiers des personnes interrogées considéraient l'achat d'une propriété aux États-Unis comme un placement à long terme (29 pour cent).

Laura Parsons, spécialiste - Prêts hypothécaires à BMO, conseille à quiconque envisage d'acheter une propriété aux États-Unis de financer son achat auprès d'une institution financière aux États-Unis - préférablement une banque canadienne ayant des succursales au sud de la frontière. « Bien connaître le niveau local est une approche qui a fait ses preuves et qui s'avère particulièrement pertinente dans le secteur immobilier, car les conditions et les tendances peuvent varier énormément d'un endroit à l'autre ».

Mme Parsons précise que les clients de BMO peuvent se renseigner auprès d'une succursale de BMO Banque Harris, qui est établie dans les États américains de l'Illinois, de l'Indiana, de l'Arizona, de la Floride et du Wisconsin. « Il faut tenir compte de plusieurs facteurs avant de prendre une telle décision et le fait d'avoir un partenaire canadien peut vous permettre de mieux comprendre les différences entre les programmes de financement canadiens et américains, ce qui, en bout de ligne, peut vous éviter des pertes de temps et bien des maux de tête », ajoute Mme Parsons.

Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.bmo.com.

*Source : Données les plus récentes de la National Association of Realtors.

Pour plus de renseignements:
Requêtes médias :
Valérie Doucet, Montréal
514-877-8224
Valerie.doucet@bmo.com