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Communiqués de presse

RAPPEL-Premier rapport de l'Institut Info-Patrimoine BMO : le REEE et les autres moyens d'épargner pour des études postsecondaires

- Le nouvel Institut Info-Patrimoine BMO vise à aider les Canadiens à mieux se préparer à un avenir financier en toute confiance.

- Même si quatre années d'études universitaires peuvent coûter jusqu'à 140 000 $, les trois quarts des parents canadiens qui ont des enfants de moins de 18 ans n'ont pas estimé en détail le coût de telles études.

- Seulement la moitié des parents possèdent un REEE.

- Le rapport propose plusieurs options autres que le REEE, qui permettent d'épargner pour des études supérieures.

MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 27 mars 2013) - Alors que de nombreux élèves canadiens du secondaire commencent à recevoir les lettres confirmant leur admission au collège ou à l'université, l'Institut Info-Patrimoine BMO a publié aujourd'hui son premier rapport sur l'épargne-études et le financement des études postsecondaires.

Le nouvel Institut Info-Patrimoine BMO propose de l'information et des stratégies pour aider les Canadiens à planifier leur patrimoine et à prendre des décisions financières. Les spécialistes de l'Institut connaissent à fond tous les aspects de la planification de patrimoine, y compris la retraite, les successions, la fiscalité et les assurances.

« Nous avons fondé l'Institut Info-Patrimoine BMO pour mettre notre expertise à la disposition de nos clients et leur permettre d'accéder à des professionnels qui offrent une gamme complète de services pouvant les aider à saisir les occasions et à surmonter les difficultés que les Canadiens rencontrent dans la gestion de leurs finances, ainsi que pour les aider à se préparer à leur avenir financier en toute confiance », a déclaré Caroline Dabu, vice-présidente et chef, Services de planification du patrimoine, BMO Groupe financier.

Droits de scolarité et dette étudiante en hausse : le REEE et les autres outils d'épargne

Le premier rapport de l'Institut Info-Patrimoine BMO, intitulé Droits de scolarité et dette étudiante en hausse : le REEE et autres outils d'épargne, traite du coût des études postsecondaires, des erreurs que font les parents qui épargnent pour les études de leurs enfants et des nombreux outils d'épargne disponibles en plus du REEE.

Selon le rapport :

  • On peut s'attendre à débourser plus de 60 000 $ pour un diplôme universitaire de quatre ans, et la somme pourrait dépasser 140 000 $ pour un enfant né cette année.
  • Les trois quarts des parents qui ont un enfant de moins de 18 ans n'ont pas estimé en détail combien pourraient coûter les études postsecondaires de leur enfant.

Le rapport montre également le rôle crucial d'un REEE dans une stratégie d'épargne pour des études postsecondaires. Comme l'explique le rapport, l'établissement d'un REEE est une excellente façon de maximiser l'épargne-études et de donner aux enfants l'exemple de bonnes habitudes d'épargne. De plus, la croissance des placements à l'abri de l'impôt et l'admissibilité à une subvention gouvernementale peuvent avoir un effet considérable sur l'avenir d'un enfant. Cependant, le rapport indique que :

  • Seulement la moitié des parents canadiens ont établi un REEE pour leur enfant et ils sont seulement 20 % à tirer pleinement parti de la subvention gouvernementale.
  • Soixante-dix pour cent des parents recommandent de commencer à épargner dès la naissance de l'enfant, mais seulement la moitié d'entre eux ont établi un REEE.

Cinq autres options d'épargne à considérer

Bien que les Canadiens pensent généralement au REEE lorsqu'il s'agit de choisir des moyens d'épargner pour des études postsecondaires, le rapport examine plusieurs autres stratégies que les parents et grands-parents devraient considérer.

Compte non enregistré : Trente-huit pour cent des parents canadiens ne savent pas qu'un compte non enregistré peut être affecté spécifiquement à l'épargne-études. Souple et facile à établir, un compte non enregistré n'est assujetti à aucune règle ou restriction particulière concernant les montants ou la fréquence des dépôts. Ce sont les parents qui déterminent quand et comment utiliser les fonds, même lorsque l'enfant atteint l'âge de la majorité.

Compte d'épargne libre d'impôt (CELI) : Le CELI est un moyen d'épargne-études efficace. Si vous avez des droits de cotisation au CELI non utilisés, vous pouvez transférer une partie de votre épargne d'un compte imposable à un CELI. Votre épargne fructifiera alors en franchise d'impôt et lorsque vous retirerez votre argent pour payer les études de votre enfant, vous pourrez le faire sans avoir à payer d'impôt.

Fiducie : Le tiers des parents canadiens ne savent pas qu'ils peuvent établir une fiducie pour des fins d'épargne-études. Que les fonds proviennent d'un don ou d'un emprunt, une fiducie peut être créée en stipulant des modalités pour que les fonds soient utilisés conformément à l'objectif prévu - le paiement d'études - et non en fonction des désirs ou des besoins personnels de l'enfant.

Dividendes de société : Quarante-quatre pour cent des parents ne savent pas comment des dividendes de société peuvent contribuer à l'épargne-études. Si vous êtes un professionnel incorporé, ou si vous avez une entreprise familiale constituée en personne morale, votre enfant peut détenir des parts de cette entreprise et, plus tard, lorsque les conditions seront réunies, l'entreprise pourra lui verser des dividendes pour payer ses études - à compter de l'année civile de ses 18 ans. Comme les dividendes seront imposés selon le palier d'imposition de l'enfant, cette stratégie de fractionnement du revenu peut être fiscalement avantageuse.

Assurance vie : Parents et grands-parents peuvent utiliser la valeur de rachat excédentaire de leur police d'assurance pour payer des études postsecondaires. Cependant, un des désavantages de cette stratégie est que le titulaire de la police perd le contrôle de l'argent investi dans la police et de la protection offerte par le contrat.

« Il est important d'examiner toutes les options qui permettent d'épargner pour l'éducation de votre enfant, a déclaré Chris Buttigieg, directeur principal, Stratégies de planification de patrimoine, BMO Groupe financier. Vous aurez probablement besoin de plus d'argent que vous le pensez. Choisissez une option, ou une combinaison d'options, qui convient à votre situation et qui vous permettra de tirer le maximum de votre argent. Avec une bonne planification, il vous sera plus facile d'épargner et aussi de mettre vos enfants sur la voie de la réussite financière. »

D'une manière plus générale, M. Buttigieg a fait remarquer que BMO Groupe financier a pris l'engagement de favoriser la littératie financière des enfants canadiens. BMO appuie la Journée Parlons argent avec nos enfants, qui se tiendra le 17 avril 2013 dans les écoles de Montréal et Toronto. Le programme de cette journée, qui comporte à la fois des activités destinées à l'école et à la maison, a été élaboré par la Fondation canadienne d'éducation économique (FCEE). Il offre aux familles, aux élèves et aux enseignants une façon simple d'aider les jeunes Canadiens à se familiariser avec les questions d'argent et de finances personnelles. Pour en apprendre davantage sur la Journée Parlons argent avec nos enfants, visitez parlonsargentavecnosenfants.com.

Pour une version complète du rapport, visitez www.bmo.com/InstitutInfoPatrimoine.

Pour plus de renseignements:
Relations avec les médias :
Valérie Doucet, Montréal
514-877-8224
valerie.doucet@bmo.com