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Communiqués de presse

Les Canadiens voient de façon positive les perspectives d'investissement dans les propriétés situées près des campus universitaires, selon une étude de BMO

- Près d'un Canadien sur dix possède actuellement une " maison d'étudiants "

- Une majorité de répondants estiment que l'achat d'une propriété pour la louer à des étudiants ou y loger leurs propres enfants inscrits au collège ou à l'université constitue un bon investissement

- Des experts de BMO expliquent aux acheteurs potentiels ce qu'ils devraient savoir au sujet de l'investissement dans le logement étudiant, et les conséquences sur le plan fiscal

MONTREAL, QUEBEC--(Marketwire - 9 oct. 2012) - Les étudiants qui quittent la maison cette année pour s'installer dans des logements à l'extérieur des campus universitaires pourraient avoir une nouvelle sorte de propriétaires.

Selon les résultats d'un sondage effectué pour le compte de BMO Banque de Montréal, alors que près d'un Canadien sur dix (sept pour cent) a fait l'acquisition d'une propriété située près d'un campus universitaire parce qu'il a l'intention de la louer à des étudiants ou d'y loger ses propres enfants pendant la durée de leurs études, les deux tiers (67 pour cent) considèrent l'achat de ce type de propriété comme un bon investissement.

Ce sentiment est dû en grande partie à la possibilité de tirer profit d'un bassin d'étudiants de plus en plus important (les inscriptions dans les maisons d'enseignement postsecondaire ayant augmenté de trois pour cent par année au cours de la dernière décennie), à la solidité du marché immobilier, et à la perspective de limiter les dépenses dans le cas de ceux qui ont des enfants qui poursuivent des études collégiales ou universitaires.

« L'achat d'une maison d'étudiants, ou d'un bien immobilier dans l'intention de le louer aux étudiants, est une décision particulière qui doit être étudiée avec soin, longtemps à l'avance », a expliqué Laura Parsons, spécialiste - Prêts hypothécaires, BMO Banque de Montréal. « Il est essentiel de bien comprendre les droits et obligations du propriétaire et du locataire, et de saisir les tendances de ce marché. Cela comprend les taux d'inoccupation des logements pour les étudiants, qui subissent des variations saisonnières évidentes. »

Mme Parsons a ajouté qu'il est également nécessaire de procéder à une évaluation méticuleuse de son budget, avec le soutien d'un conseiller en prêts hypothécaires, car les propriétaires doivent être financièrement prêts à faire face à un certain nombre de défis potentiels, tels que les réparations à effectuer au fil du temps, et la capacité à assumer eux-mêmes les frais advenant une période d'inoccupation prolongée.

« Il est important de bien comprendre les incidences fiscales lorsque l'on souhaite devenir propriétaire d'une résidence que l'on destine à la location à des étudiants », a de son côté expliqué John Waters, vice-président et chef, Planification fiscale et successorale, BMO Nesbitt Burns. « Parmi les avantages, il y a le fait d'obtenir un revenu de location suffisant auprès des étudiants locataires pour payer les frais de propriété, la possibilité de réaliser un gain en capital lors de la vente de la propriété en cas de marché à la hausse, et, si votre enfant loge également dans la propriété, les économies réalisées sur les frais de logement de ce dernier pendant ses études. »

M. Waters a ajouté que ceux qui songent à acheter une résidence pour les étudiants afin d'y loger leurs enfants ou d'autres locataires devraient tenir compte des incidences fiscales associées à ce type de placement. En voici quelques-unes :

  • Traitement fiscal lors de la vente de la propriété : En règle générale, on ne peut profiter de l'exemption pour résidence principale à la vente d'une propriété destinée à la location. Par conséquent, un gain réalisé lors de la vente sera généralement imposé à 50 pour cent à titre de gain en capital, au moment de la déclaration de revenus.
  • Déductibilité des dépenses annuelles : Les intérêts hypothécaires, les taxes foncières, les factures de services publics, les assurances, les frais de réparation et d'entretien et autres dépenses similaires peuvent tous être déduits du revenu de location, à des fins fiscales.
  • Autres considérations : Si votre enfant habite également la propriété destinée à la location, les conséquences sur le plan fiscal varieront en fonction du loyer que ce dernier vous versera, par rapport à la valeur locative sur le marché. Assurez-vous de discuter avec un spécialiste en fiscalité pour bien comprendre les options qui s'offrent à vous.

Le sondage a été effectué en ligne du 4 au 6 septembre 2012, auprès d'un échantillon de 1 505 Canadiens choisis parmi l'échantillon Internet de la firme Léger Marketing, LégerWeb. Un échantillon aléatoire de cette taille entraîne une marge d'erreur de plus ou moins 2,5 pour cent, 19 fois sur 20.

A propos de BMO Groupe financier

Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier est une société nord-américaine de services financiers hautement diversifiés. Fort d'un actif de 542 milliards de dollars au 31 juillet 2012 et d'un effectif de plus de 46 000 employés, BMO Groupe financier offre une vaste gamme de produits et de solutions dans les domaines des services bancaires de détail, de la gestion de patrimoine et des services d'investissement.

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Valérie Doucet, Montréal
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valerie.doucet@bmo.com
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