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Communiqués de presse

L'avenir du Canada est lié à la capacité des jeunes Autochtones de jouer un rôle dans l'économie, selon BMO

Les Autochtones représentent la partie de la population canadienne la plus jeune et celle dont la croissance est la plus rapide, mais ils continuent d'être les plus nombreux parmi les sans emploi au Canada

- Le taux de croissance des Autochtones au Canada est près de deux fois plus élevé que celui du reste de la population

- L'écart se creuse entre les Autochtones et le reste de la population en ce qui concerne l'accès aux études post-secondaires, 23 pour cent de la population non autochtone possédant un diplôme universitaire, alors que seulement quatre pour cent des membres des Premières Nations en ont un

MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 1 juin 2012) - La population autochtone du Canada, dont la croissance est rapide, a le potentiel nécessaire pour combler le manque de main d'œuvre qualifiée au pays, mais seulement si l'écart grandissant entre les Autochtones et le reste de la population en ce qui a trait à l'accès aux études post-secondaires peut être freiné, selon BMO Groupe financier.

« Avec une population active qui est vieillissante et un manque de main d'œuvre qualifiée en vue, le Canada a besoin de ces futurs employés. Nous avons besoin de leur capacité de travail, de leur créativité et de leurs compétences », a expliqué Stephen Fay, directeur national, Marché des Autochtones, BMO Groupe financier.

Constituant la partie de la population canadienne la plus jeune et celle dont la croissance est la plus rapide, la jeunesse autochtone représente un bassin important de personnes talentueuses pour la population active du Canada. La population autochtone croît à un rythme de 1,8 pour cent, soit presque le double du taux de croissance du reste de la population, à un pour cent.

D'ici la fin de 2017, les Autochtones constitueront 3,4 pour cent de la population en âge de travailler au Canada. Malgré cela, cette population continue d'être surreprésentée parmi les sans emplois au Canada.

Le manque de formation post-secondaire est l'un des principaux facteurs contribuant au chômage chez les Autochtones du Canada. Vingt-trois pour cent des non Autochtones possèdent un diplôme universitaire. À l'opposé, seulement huit pour cent de la population autochtone (membres des Premières Nations, Inuit et métis) et seulement quatre pour cent des représentants des Premières Nations en possèdent un.

« Hausser la barre en matière d'éducation des Autochtones est la bonne chose à faire. Cela aidera nos étudiants, cela aidera notre pays, et très franchement, cela aidera aussi les grandes entreprises telles que BMO », a ajouté M. Fay. « Un niveau d'éducation plus élevé se traduira par de meilleures perspectives d'avenir, de meilleures occasions d'évolution et de meilleurs emplois pour ces jeunes, et par conséquent, par des communautés en meilleure santé partout au Canada. »

« Il ne fait aucun doute dans mon esprit que l'avenir de notre pays passe par la capacité qu'auront les jeunes Autochtones à jouer un rôle au sein de l'économie », a pour sa part déclaré Roberta L. Jamieson, présidente et chef de la direction de Indspire. Anciennement la Fondation nationale des réalisations autochtones, Indspire est un organisme qui a pour but de transformer l'éducation chez les Autochtones au Canada.

« Je sais que BMO comprend ce message », a expliqué Mme Jamieson. « Le soutien apporté par la banque a aidé de jeunes étudiants autochtones de partout au pays et dans diverses disciplines d'études à se préparer à contribuer aux progrès de leur peuple, de leurs communautés, et de leur pays. »

Plus tôt cette semaine, Stephen Fay et Roberta Jamieson ont pris la parole à titre de conférenciers invités lors d'un événement organisé pour commémorer la Journée nationale des Autochtones et le 20e anniversaire de la création du Marché des Autochtones de BMO. Mme Jamieson a félicité la banque pour le leadership et la vision dont elle fait preuve en vue d'aider les jeunes Autochtones à poursuivre des études post-secondaires, lorsque BMO a remis des bourses de 112 500 $ à la fois à Indspire et à la Fondation pour l'avancement des jeunes Autochtones (FAJA).

Les dons ont été financés par l'intermédiaire du programme Action-Éducation de BMO Marchés des capitaux, qui a pour objectif de favoriser la diversification de la main d'œuvre en aidant les gens à réaliser leurs ambitions en matière d'éducation, en leur offrant pour cela des occasions de perfectionnement qu'autrement ils n'auraient peut-être pas. Depuis les débuts du programme Action-Éducation, en 2005, BMO a remis un total de 1,6 million de dollars pour financer 386 bourses d'études distribuées par Indspire et par la FAJA.

À propos du Marché des Autochtones de BMO

  • Créé en 1992, le Marché des Autochtones de BMO dispose de 12 succursales dans les réserves. Il entretient des relations d'affaires d'une valeur de plus de deux milliards de dollars avec des clients autochtones, grâce à la fourniture de prêts et de conseils à des entreprises établies sur le territoire des réserves. BMO aide aussi à la création d'emploi directement, par l'embauche d'Autochtones dans ses succursales situées dans les réserves mais aussi partout ailleurs au sein de l'entreprise, et indirectement, grâce au financement d'activités, de projets et d'entreprises au sein de la collectivité.

  • Le Conseil canadien pour le commerce autochtone a remis un prix Or trois années consécutives à BMO, en reconnaissance de ses efforts en vue de favoriser le développement économique au sein de la communauté.

Pour plus de renseignements:
Requêtes médias, veuillez communiquer avec :
Ronald Monet, Montréal
(514) 877-1873
ronald.monet@bmo.com
Internet : www.bmo.com/francais