MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 3 jan. 2012) - En ce début de 2012, un sondage de BMO Groupe financier révèle que la plupart des Québécois (59 pour cent) ont confiance en leur capacité d'épargner pour réaliser leur idéal de retraite.
Le sondage mené par Léger Marketing a par ailleurs révélé les faits suivants :
- Quarante pour cent des Québécois ont fait ou prévoient de faire une cotisation à un régime enregistré d'épargne-retraite (REER) avant la date limite du 29 février 2012.
- De ceux qui cotiseront ou prévoient de cotiser, près des deux tiers (63 pour cent) cotiseront un montant égal ou supérieur à leur REER cette année fiscale par rapport à l'an dernier malgré la conjoncture difficile des marchés en 2011.
- Soixante et un pour cent des répondants ont un REER, soit le même pourcentage que dans l'ensemble du Canada.
- Cinquante-six pour cent des citoyens de la province sont plus optimistes ou n'ont pas changé d'opinion à l'égard des marchés financiers par rapport à l'an dernier - un pourcentage supérieur à la moyenne nationale.
- Cela dit, près des deux tiers (63 pour cent) des Québécois sont préoccupés par le rendement de leur REER compte tenu des turbulences qui secouent les marchés financiers.
« Ces résultats démontrent que la plupart des Québécois jugent qu'ils sont sur la bonne voie en matière d'épargne-retraite et affichent un optimisme prudent devant la volatilité actuelle des marchés, a souligné Jamal Khalil, directeur des ventes, région du Québec, BMO Banque de Montréal. Pour pouvoir atteindre leur style de vie idéal à la retraite, il est impératif que les Québécois disposent d'un plan financier qui comprenne une stratégie d'épargne-retraite et qui fasse en sorte que leur REER soit bien diversifié. »
Faits saillants nationaux :
Au niveau national, le sondage annuel de BMO sur les REER a révélé les faits suivants :
- Plus du tiers (37 pour cent) des Canadiens ont fait ou prévoient de faire une cotisation à un REER avant l'échéance du 29 février 2012.
- Plus des deux tiers (69 pour cent) des Canadiens cotiseront un montant égal ou supérieur à leur REER au cours de l'année fiscale 2011 par rapport à l'année 2010 malgré la conjoncture difficile des marchés en 2011. Au cours de l'année fiscale 2010, les Canadiens ont cotisé 4 700 $ à leur REER en moyenne.
- Soixante et un pour cent des Canadiens ont un REER; toutefois, plusieurs Canadiens plus jeunes (âgés de 18 à 34 ans) n'ont pas encore ouvert de REER, 62 pour cent d'entre eux affirmant qu'ils n'en ont pas.
- De ceux qui ne cotisent au cours de l'année fiscale 2011 ou qui cotisent moins qu'en 2010, 38 pour cent disent avoir d'autres dépenses à régler tandis que 20 pour cent disent ne pas avoir assez d'argent pour égaler ou dépasser leur cotisation de 2010.
Vous cherchez à maximiser votre épargne-retraite en en réduisant au minimum les répercussions sur votre portefeuille? Mme Dabu vous offre les conseils suivants :
Investissez de petits montants souvent - Il suffit de peu pour contribuer à la croissance d'un REER. Investis régulièrement, les petits montants peuvent croître substantiellement, surtout si on tient compte de l'effet de l'intérêt composé. Envisagez d'établir un programme de paiements préautorisés qui prélève un petit montant de votre compte bancaire à chaque paie et le dépose dans votre REER.
Ne paniquez pas - Bien que vous serez tenté de prendre des mesures radicales en période de volatilité des marchés, résistez à la tentation de liquider tous vos placements ou de poser des gestes importants. Si votre portefeuille est bien diversifié et adapté à votre étape de vie, il ne sert à rien d'agir impulsivement.
Choisissez des placements adaptés à vos besoins - Pour les investisseurs qui préfèrent jouer un rôle moins actif dans la gestion de leurs placements, des produits à date cible comme les Fonds Catégorie Étape BMO sont tout désignés car ils leur permettent de sélectionner les fonds qui conviennent le mieux à leur date cible de retraite et de suivre l'évolution automatique de leurs placements. À mesure que la date de dissolution cible approche, la composition du portefeuille est ajustée de manière à ce que le pourcentage de placements en actions décroisse progressivement. Ce rééquilibrage a lieu annuellement. Ces fonds ont pour objectif d'offrir d'abord un potentiel de plus-value du capital et deviennent graduellement plus prudents à mesure que leur date d'échéance approche.
Empruntez pour tirer votre épingle du jeu - Emprunter pour investir dans un REER peut parfois s'avérer avantageux grâce aux économies d'impôts réalisées qui suffisent souvent à couvrir le montant emprunté. Plusieurs institutions financières offrent des prêts REER à faible taux d'intérêt pour l'année en cours ou pour « rattraper » les cotisations de REER non utilisées. Par exemple, la MargExpress REER de BMO vous donne accès à une marge de crédit que vous pouvez utiliser pour maximiser votre cotisation REER de cette année et possiblement augmenter votre remboursement d'impôt. Adressez-vous à un expert financier pour déterminer si ce mode d'épargne vous convient
Recherchez de l'aide professionnelle - Un expert financier peut vous conseiller sur la façon de faire croître vos placements et vous aider à élaborer un plan financier. Pour prendre rendez-vous avec un planificateur financier, communiquez avec une succursale locale de BMO Banque de Montréal ou visitez le site www.bmo.com.
Le sondage en ligne a été effectué par Léger Marketing entre le 21 et le 24 novembre 2011 auprès d'un échantillonnage de 1 520 Canadiens âgés de 18 ans et plus.
Les résultats de 2010 sont tirés d'un sondage en ligne effectué par Harris/Décima auprès de 1 002 adultes canadiens entre le 15 et le 24 novembre 2010.
Les Fonds Catégorie Étape BMO sont offerts par BMO Investissements Inc., un cabinet de services financiers et une entité juridique distincte de la Banque de Montréal. Les fonds d'investissement peuvent comporter des frais de courtage, des commissions de suivi, des frais de gestion et d'autres dépenses. Veuillez consulter le prospectus du fonds avant d'investir. Les fonds d'investissement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue fréquemment et leur rendement passé n'est pas garant de leur rendement futur.