MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 18 nov. 2011) - La journée du « Black Friday », le vendredi suivant le jour de l'Action de grâces aux États-Unis, marque habituellement le début de la période de magasinage du temps des Fêtes. Alors que le vendredi 25 novembre n'est plus que dans une semaine, de nombreux Canadiens prévoient traverser la frontière américaine pour effectuer leurs achats de cadeaux, cette année.
Selon les résultats d'un sondage de BMO Banque de Montréal publiés aujourd'hui, 18 pour cent des Canadiens prévoient magasiner aux États-Unis durant le temps des Fêtes, ce qui représente une hausse de cinq pour cent par rapport à l'année dernière (13 pour cent). Le sondage de BMO sur les dépenses du temps des Fêtes a également révélé que les Canadiens prévoient dépenser près de 1 397 $ en moyenne cette année, en cadeaux des fêtes, en voyages et en divertissements.
« Alors que le dollar canadien conserve sa vigueur, que l'écart demeure toujours important entre les prix de vente au détail au Canada et aux États-Unis – même s'il se réduit – et que les villes et les magasins américains se trouvent à proximité, il n'est pas surprenant de voir un nombre croissant de Canadiens prévoir traverser la frontière pour effectuer leurs achats des fêtes cette année », a déclaré Doug Porter, économiste en chef délégué, BMO Marchés des capitaux. « Malgré cette situation, BMO prévoit que les reçus de vente au détail au Canada pour le temps des Fêtes, à l'exclusion de la vente de véhicules et d'essence, devraient augmenter de deux à trois pour cent par rapport à l'année dernière pour les mois de novembre et de décembre », a-t-il poursuivi.
Répartition régionale des prévisions d'achat aux États-Unis |
- Les Canadiens de la Colombie-Britannique, de l'Ontario et des provinces de l'Atlantique sont les plus susceptibles d'effectuer leurs achats au sud de la frontière (24 à 25 pour cent).
- Les Québécois sont les moins susceptibles de le faire (6 pour cent).
- De 13 à 14 pour cent des Canadiens des Prairies et de l'Alberta affirment qu'ils iront magasiner aux États-Unis.
- Les femmes sont légèrement plus enclines que les hommes à faire leurs achats de l'autre côté de la frontière (19 pour cent comparativement à 17 pour cent).
Selon Jennifer Weisman, chef, Marketing des cartes de crédit, BMO Banque de Montréal, « La recherche d'économies continue d'influencer fortement les Canadiens lorsqu'ils choisissent leurs lieux de magasinage. S'ils achètent ou voyagent régulièrement aux États-Unis, ils pourront économiser encore plus en se servant d'une carte de crédit en dollars américains pour effectuer leurs achats au sud de la frontière. »
Une carte de crédit en dollars américains offre les mêmes caractéristiques, la même commodité, la même sécurité et la même acceptation qu'une carte de crédit en dollars canadiens, tout en offrant un avantage supplémentaire, celui de savoir que les économies réalisées ne seront pas annulées par les fluctuations des taux de change et autres frais de transaction. Et en se servant des fonds disponibles dans un compte d'épargne ou un compte de chèques en dollars américains afin de rembourser le solde de la carte de crédit, les Canadiens qui magasinent aux États-Unis pourront par ailleurs éviter les frais liés aux taux de change.
« En se servant d'une carte de crédit en dollars américains, les consommateurs peuvent toujours profiter des avantages habituels d'une carte de crédit par rapport à l'utilisation d'argent comptant, tels qu'une assurance-achats, une garantie prolongée sur tous les achats, ainsi que la commodité et la sécurité de ne pas avoir à transporter des sommes importantes en argent comptant », a ajouté Mme Weisman. « La carte MasterCard BMO en dollars américains offre la meilleure valeur sur le marché, et permet d'éliminer les frais annuels durant un an si son titulaire effectue 1 000 $ d'achats et plus à l'aide de la carte durant l'année. »
Le sondage de BMO sur les dépenses du temps des Fêtes a été effectué en ligne du 17 au 20 octobre 2011, auprès d'un échantillon de 1 508 Canadiens choisis parmi l'échantillon Internet de la firme Léger Marketing, LégerWeb. Un échantillon aléatoire de cette taille entraîne une marge d'erreur de plus ou moins 2,5 pour cent, 19 fois sur 20.