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Communiqués de presse

Les Canadiens s'inquiètent de la hausse des frais de scolarité au niveau postsecondaire, selon un sondage de BMO

- Plus des deux tiers des Canadiens s'inquiètent du coût de la formation postsecondaire

- Cela dit, seulement la moitié des parents ont choisi d'investir dans un REEE

- Le manque d'argent est la raison la plus souvent invoquée pour ne pas avoir investi dans un REEE

- Une somme de 500 $ par année versée dans un REEE pourrait permettre à un enfant de disposer de 20 000 $ afin de poursuivre des études supérieures

MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 14 oct. 2011) - Le mois dernier, les enfants de partout au Canada ont repris le chemin de l'école. Ce mois-ci, leurs parents peuvent commencer à réfléchir aux façons d'économiser suffisamment en vue de pouvoir les envoyer au collège et à l'université. Selon les résultats d'un nouveau sondage de BMO Groupe financier publiés aujourd'hui, plus des deux tiers des Canadiens (69 pour cent) s'inquiètent de l'accessibilité des études postsecondaires au Canada.

Actuellement, un programme universitaire d'une durée de quatre ans peut coûter jusqu'à 60 000 $, et selon diverses sources, l'on estime qu'un enfant né en 2011 pourrait avoir à payer des frais de scolarité d'environ 140 000 $ lorsqu'il sera prêt à aller à l'université.

Malgré ces chiffres, le sondage, effectué par la firme Léger Marketing, a révélé ce qui suit :
  • seulement la moitié (56 pour cent) des Canadiens ayant de jeunes enfants cotisent à un Régime enregistré d'épargne-études (REEE);
  • parmi ceux qui ne disposent pas d'un compte de REEE ou qui cotisent moins que nécessaire, la principale raison qui motive leur décision est le manque d'argent (48 pour cent);
  • quarante pour cent des répondants ont déclaré avoir cotisé la même somme que l'année dernière.

« Ce qu'il y a de bien, avec les REEE, c'est que même une petite somme peut faire une énorme différence », a expliqué Mark Stewart, directeur général, Développement et gestion de produits, BMO Investissements Inc. « Si l'on tient compte de la Subvention canadienne pour l'épargne-études (SCEE), versée par le gouvernement fédéral, à laquelle s'ajoute la magie de l'intérêt composé, même de petites sommes investies dans un REEE peuvent se transformer en économies importantes. »

M. Stewart rappelle également aux parents et aux grands-parents qu'en plus des cotisations à intervalles réguliers, il existe de nombreuses façons de faire croître le capital d'un REEE, comme le fait de réserver à cet effet une partie des cadeaux en argent que les enfants reçoivent d'amis ou de membres de la famille.

Selon les résultats du sondage, seulement 10 pour cent des parents dont les enfants ont reçu des cadeaux sous forme monétaire ont versé cet argent dans un compte de REEE, alors que 27 pour cent des parents ont placé l'argent dans un compte d'épargne, ou ont donné à leur enfant une partie de l'argent remis afin qu'il puisse s'acheter ce qu'il souhaite (29 pour cent).

Autres conclusions du sondage :
  • les produits de placement que l'on retrouve le plus souvent dans un compte de REEE sont les fonds d'investissement (39 pour cent), suivis des CPG (20 pour cent) et des obligations (15 pour cent);
  • seulement un proche sur quatre cotise à un REEE plutôt que d'offrir un cadeau sous forme plus traditionnelle;
  • plus de 70 pour cent des Canadiens offrent chaque année 100 $ ou moins en cadeaux sous forme d'argent à leurs petits-enfants, neveux et nièces, ou filleuls et filleules.

« Afin de vous préparer à faire face aux coûts qui vous attendent, il est essentiel de commencer à planifier tôt pour le financement des études de vos enfants », a poursuivi M. Stewart. « Par exemple, si vous cotisez 500 $ par année à partir de la naissance de votre enfant, le total de sommes épargnées – incluant la Subvention canadienne pour l'épargne-études et l'intérêt obtenu – pourrait dépasser 20 000 $ le jour où votre enfant intègrera une institution d'enseignement postsecondaire. »

Vous êtes intéressé à ouvrir un compte de REEE ou à y cotiser? Voici quelques conseils pour vous aider à démarrer du bon pied :
  • Commencez tôt et cotisez à intervalles réguliers – Même si vos petits-enfants ne commenceront pas leurs études avant plusieurs années, il est avantageux de commencer à cotiser de façon régulière le plus tôt possible.
  • Parlez-en à un professionnel des services financiers – Les REEE peuvent abriter plusieurs types de produits de placement différents. Parlez-en avec un professionnel des services financiers afin de déterminer quels sont les véhicules de placement qui correspondent le mieux à vos besoins.
  • Évitez les excès du quotidien – Les petites dépenses, telles qu'un café de luxe ou un dîner dispendieux, ont vite fait de s'accumuler. Ayez pour objectif d'ajouter l'argent ainsi économisé à vos cotisations régulières.
  • Incitez vos proches à donner différemment – Les cotisations dans un REEE constituent d'excellents cadeaux lors d'occasions spéciales. Laissez savoir à vos amis et à vos proches, y compris les grands-parents, que vous êtes ouvert à l'idée de recevoir des cotisations dans le REEE de votre enfant. N'importe qui peut ouvrir un compte de REEE, et un enfant peut détenir plusieurs comptes.

Le sondage en ligne a été effectué par la firme Léger Marketing, du 15 au 18 août 2011, auprès d'un échantillon représentatif de 1 504 adultes canadiens.

Pour plus de renseignements:
Requêtes médias :
Sarah Bensadoun, Montréal
(514) 877-8224
sarah.bensadoun@bmo.com
Internet : www.bmo.com/francais