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Communiqués de presse

Les Canadiens ne sont pas prêts à faire face à de mauvais jours sur le plan financier, selon un sondage de BMO

- Plus de 40 pour cent des Canadiens ne seront pas en mesure de respecter leurs obligations financières s'ils doivent faire face à une situation d'urgence.

- Les dettes et les dépenses quotidiennes sont les premiers facteurs qui empêchent les Canadiens d'épargner.

- BMO encourage les Canadiens à rechercher les outils d'épargne offrant un taux d'intérêt élevé afin de profiter de rendements plus importants.

MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 4 août 2011) - Alors que l'administration américaine parvenait à reprendre son bilan financier en main cette semaine, un nouveau sondage publié par BMO Banque de Montréal révèle que les foyers canadiens devraient élaborer un plan de secours pour se préparer à l'éventualité d'une crise financière au pays. D'autant plus que mettre un peu d'argent de côté en prévision des mauvais jours peut s'avérer un défi de taille pour de nombreux Canadiens, selon les résultats du sondage.

Le sondage effectué par la firme Léger Marketing cherchait à vérifier à quel point les Canadiens sont prêts à faire face à une situation d'urgence sur le plan financier, et à connaître les principales barrières les empêchant d'épargner. Les résultats ont démontré ce qui suit :

  • plus de 40 pour cent des Canadiens ne sont pas prêts à faire face à leurs obligations financières en cas de situation d'urgence, ou confiants d'être en mesure de le faire;
  • un quart des répondants (26 pour cent) dispose d'une épargne correspondant à moins de trois mois de subsistance pour faire face aux imprévus;
  • seuls trois répondants sur dix ont mis de côté suffisamment d'argent pour faire face à leurs obligations durant une année ou plus;
  • les dettes et les dépenses quotidiennes sont les premiers facteurs qui empêchent les Canadiens d'épargner.

« Apprendre à mettre de l'argent de côté pour les mauvais jours est quelque chose d'important car, si un problème de taille devait survenir, on doit être en mesure de faire face à ses responsabilités financières sans être obligé de s'enfoncer dans les dettes », a expliqué Lynne Kilpatrick, première vice-présidente, BMO Banque de Montréal. « Une règle de base consiste à disposer de suffisamment d'argent pour faire face aux dépenses du foyer durant trois à six mois, et de garder ces fonds à l'abri, afin de ne les utiliser qu'en cas d'urgence. »

Selon Mme Kilpatrick, les Canadiens devraient être conscients de leurs habitudes de dépenses, et chercher à se servir des véhicules d'épargne offrant un taux d'intérêt élevé afin d'économiser pour les mauvais jours. Par exemple, BMO propose le Compte d'épargne bonifiée BMO, un compte d'épargne qui offre un taux d'intérêt élevé et permet un nombre illimité de dépôts et de virements vers le compte, un virement débiteur gratuit par mois en ligne, à un GA ou au téléphone, et l'accès gratuit à l'outil BudgetSensé BMOMC, un outil des gestion des finances personnelles accessible en ligne qui permet de faire un suivi de ses dépenses au quotidien.

Le sondage a également permis d'identifier deux des principales barrières qui empêchent les Canadiens d'épargner : leurs dettes, incluant celles sur les cartes de crédit et la dette hypothécaire (47 pour cent), ainsi que les dépenses quotidiennes (41 pour cent).

Selon Mme Kilpatrick, ceux qui traînent un solde sur leur carte de crédit mois après mois devraient songer à une consolidation de leurs dettes grâce à une marge de crédit assortie d'un taux d'intérêt inférieur ou à un transfert de leurs dettes vers une carte de crédit à faible taux. À titre d'exemple, la carte MasterCard BMO à taux préférentiel offre un faible taux d'intérêt de 11 pour cent assorti de frais annuel de 20 $. Les frais d'intérêt économisés à long terme peuvent être placés en vue de combler d'autres objectifs financiers, tels que l'achat d'une maison ou le financement de la retraite.

Comment les Canadiens épargnent en prévision des mauvais jours :

  • parmi les répondants qui ont affirmé économiser, près de la moitié (46 pour cent) investissent leur épargne dans des produits de placement, tels que les certificats de placement garanti (CPG), les fonds d'investissement ou les fonds négociés en bourse (FNB);
  • un répondant sur trois (34 pour cent) se sert du compte d'épargne libre d'impôt (CELI) pour économiser;
  • 15 pour cent des Canadiens se servent actuellement de comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé à titre de « fonds de réserve pour les mauvais jours ».

Dans le cadre de son engagement continu à clarifier les questions d'argent pour ses clients, BMO a lancé un certain nombre d'outils destinés à aider les Canadiens à garder le contrôle de leurs finances personnelles. Parmi ceux-ci, citons la Formule futée BMO, la Formule futée BMO pour entreprise, la Formule futée BMO pour étudiant, la Formule futée BMO pour investir, la Formule futée BMO pour parents et la Formule futée BMO pour proprio.

Le sondage de la firme Léger Marketing a été effectué en ligne, du 4 au 7 juillet 2011, auprès d'un échantillon de 1 504 Canadiens âgés de 18 ans et plus. Un échantillon aléatoire de cette taille entraîne une marge d'erreur de +/- 2,5 pour cent, 19 fois sur 20.

Pour de plus amples renseignements ainsi qu'un aperçu des différentes options d'épargne qui sont offertes, veuillez consulter notre site Internet, à l'adresse suivante : http://www.bmo.com/accueil/particuliers/services-bancaires/courants/comptes-et-programmes/comptes-programmes.

Pour plus de renseignements:
Requêtes médias, veuillez communiquer avec :
Sarah Bensadoun, Montréal
514-877-8224
sarah.bensadoun@bmo.com
Internet : www.bmo.com/francais