Communiqués de presse

MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 15 juin 2011) - Aujourd'hui, les projecteurs sont sur la côte ouest du Canada; non seulement y a-t-il ce soir la septième partie de la finale de la coupe Stanley, mais le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney, prononcera à Vancouver un discours sur le thème " L'habitation au Canada ".

Également sur le front de l'habitation, des statistiques canadiennes sur les ventes de maisons, rendues publiques aujourd'hui, montrent que les ventes de maisons existantes en mai sont en hausse de 2,7 % par rapport à l'année précédente, soit une première augmentation depuis un an.

" Les ventes ont été frappées, mais pas de plein fouet, par le resserrement des règles en matière de prêts hypothécaires qui est entré en vigueur au milieu de mars, avec des prix moyens en hausse annuelle de 8,6 %, soit à peu près comme dans les trois mois précédents ", a déclaré Douglas Porter, économiste en chef délégué, BMO Marchés des capitaux. Vancouver a affiché un prix moyen de 831 555 $, soit une stupéfiante hausse annuelle de 25,7 %. On peut prendre connaissance du rapport complet (en anglais seulement) à l'adresse http://www.bmonesbittburns.com/economics/econofacts/20110615a/econofacts.pdf.

De plus, BMO Banque de Montréal a rendu publics les résultats d'un sondage qui montrent que près d'un Canadien sur cinq (16 %) s'est trouvé mêlé à une guerre d'enchères dans le cadre du processus d'achat d'une maison, alors que certains acheteurs étaient disposés à payer 9 % de plus que le prix demandé. Sur le plan régional, les habitants de la Colombie-Britannique sont les plus susceptibles d'avoir vécu cette expérience (25 %), suivis par ceux de l'Ontario, des Prairies et du Canada atlantique.

Le sondage, réalisé par Léger Marketing, a aussi permis de constater ce qui suit :

• Les Québécois sont les moins susceptibles (4 %) de se trouver mêlés à une guerre d'enchères dans le cadre du processus d'achat d'une maison.
• Il en va de même pour les personnes qui vivent dans les banlieues et les zones urbaines comparativement à celles qui vivent dans les zones rurales (17 %, 16 % et 11 % respectivement).
• Quatre-vingt-quatorze pour cent des Canadiens avaient à l'esprit une fourchette de prix déterminée lorsqu'ils prévoyaient acheter une maison, tandis que 58 % avaient une certaine marge de manœuvre dans leur budget.

Le sondage de Léger Marketing a été réalisé en ligne du jeudi 10 mars au lundi 21 mars 2011, au moyen du panel en ligne de Léger Marketing, LégerWeb, avec un échantillon de 1508 Canadiens, âgés de 25 à 45 ans, qui prévoient acheter une maison d'ici deux ans.