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Communiqués de presse

Selon un sondage de BMO, un Canadien sur cinq envisage d’acheter une propriété aux États Unis  
  • Avec le recul de la valeur immobilière aux États-Unis, un sondage réalisé par Léger Marketing montre que 20 % des Canadiens envisageraient d’acheter une maison ou une propriété au sud de la frontière.
  • Les hommes sont plus susceptibles que les femmes d’acheter une maison aux États-Unis (29 % versus 16 %).
  • La Direction des études économiques de BMO indique que le marché américain de l’habitation a vraisemblablement touché son plancher et devrait remonter d’ici l’an prochain.
  • BMO offre aux acheteurs éventuels des conseils sur la manière d’évaluer les risques et les occasions d’affaires.

MONTRÉAL, le 25 mars 2011 Alors que de nombreux Canadiens mettent le cap sur le sud pour les vacances de printemps, un nouveau sondage de BMO Banque de Montréal montre qu’ils ne se contentent pas nécessairement de visiter les parcs thématiques et les plages. Le sondage réalisé par Léger Marketing révèle qu’un Canadien sur cinq envisage maintenant d’acheter une propriété aux États-Unis.

Dans le cadre du sondage, les Canadiens ont indiqué que la baisse des prix et la montée du dollar canadien ont toutes deux rehaussé leur intérêt à acheter une propriété aux États-Unis et à accroître leur actif.

Dans les quatre dernières années, les prix globaux des maisons aux États-Unis ont chuté de 30 %. Toutefois, dans les destinations traditionnelles des retraités migrateurs canadiens, les prix ont chuté encore davantage. Par exemple, ils ont reculé de 44 % à Tampa, de 54 % à Phoenix, de 57 % à Las Vegas, et de 49 % à Miami.

« Maintenant que l’économie américaine prend de la vigueur, les ventes de maisons existantes sont en hausse et devraient stabiliser les prix qui ont récemment fléchi », a déclaré Sal Guatieri, économiste principal, BMO Banque de Montréal. « Nous prévoyons que les prix augmenteront avec le renforcement du marché du travail. »

Il ajoute qu’à long terme le billet vert devrait se redresser. Ainsi, les Canadiens qui ont acheté une propriété aux États-Unis à faible prix lorsque le dollar canadien était élevé auront alors une possibilité d’appréciation du capital.

Le sondage de Léger Marketing a aussi révélé :

  • que les hommes sont plus susceptibles que les femmes d’acheter une maison chez nos voisins du Sud (29 % comparativement à 16 %);
  • que les habitants de l’Alberta (31 %), de la Colombie-Britannique (28 %) et des provinces des Prairies (27 %) sont les plus enclins à acheter une propriété aux États Unis.

Laura Parsons, spécialiste – Prêts hypothécaires BMO vous conseille, si vous ne disposez pas d’un financement facilement accessible pour acheter votre propriété, d’envisager une marge de crédit sur valeur domiciliaire. « Si vous parlez à un représentant bancaire de BMO, il pourra établir une marge de crédit sur vos biens actuels. Vous pouvez alors utiliser celle-ci pour financer votre propriété aux États-Unis et disposer d’un budget de dépenses réaliste. »

Une autre option consiste à s’adresser à la filiale bancaire de BMO Groupe financier à Chicago, Harris Private Bank. Avec des succursales en Illinois, en Indiana, en Arizona, en Floride et au Wisconsin, les personnes qui souhaitent acquérir une propriété peuvent aller en succursale et discuter des options qui s’offrent à elles aux États-Unis. « Le fait de rester à l’intérieur du même groupe financier peut faire gagner du temps et éviter les maux de tête », ajoute Mme Parsons. « Recherchez une banque canadienne déjà établie aux États-Unis, dans la région où vous envisagez de faire un achat. »

BMO offre les conseils suivants aux Canadiens qui envisagent d’acheter une propriété aux États-Unis :

Quel État et quel quartier correspondent à vos besoins?

  • Comme vous êtes responsable de l’entretien de la propriété, tenez compte de votre facilité d’accès à votre propriété à partir de votre maison au Canada pendant le processus d’achat et après l’acquisition.
  • Tenez compte des vols et des compagnies aériennes, pour établir si vous pouvez y aller sans escale et en déterminer le coût.
  • Faites des recherches et consultez les habitants de la localité pour déterminer si celle-ci répond à vos besoins.

Que faut-il prendre en considération lorsqu’on finance son achat auprès d’une institution bancaire américaine?

  • Comme le financement hypothécaire et les modalités de calcul des intérêts sont différents aux États-Unis, il est important de bien se renseigner.
  • De plus, prenez connaissance des répercussions des pénalités et des retenues d’impôt si jamais vous décidez de vendre votre maison aux États-Unis.

Comprenez-vous la situation du bien immobilier?

  • Vous devez comprendre la situation du bien immobilier. Par exemple, s’agit-il d’une vente à découvert ou d’une saisie hypothécaire?
  • La situation du bien immobilier peut avoir des répercussions diverses. Assurez-vous de consulter un expert avant de prendre une décision relative à un achat.

Comment utiliserez-vous votre propriété?

  • Achetez-vous une propriété pour investir ou pour y vivre? Cela aura des répercussions sur son emplacement et sur les modalités de propriété. Vous devez aussi comprendre les options disponibles et ce qui vous avantagera à long terme.
  • Si vous achetez une propriété à revenu, rappelez-vous que la location entraîne des responsabilités supplémentaires. Renseignez-vous sur les possibilités d’une utilisation accrue des services publics, sur les besoins de gestion de la propriété et sur le taux d’inoccupation dans la région pour vous assurer d’être prêt.

Combien de temps passerez-vous aux États-Unis?

  • Tenez compte du nombre de mois par année que vous y vivrez afin que votre achat reflète votre mode de vie.
  • Sachez qu’il existe des règles concernant le temps que vous pouvez passer aux États-Unis avant d’être considéré comme un résident américain et d’y être assujetti au paiement de l’impôt sur le revenu.

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Personne-ressource pour les médias :
Sarah Bensadoun, Montréal, sarah.bensadoun@bmo.com, 514-877-8224