- Introduit
en 2009, plus d’un tiers des Canadiens détiennent
un CÉLI;
- Depuis sa
création en 1957, 79 pourcent des Canadiens ont un
portefeuille RÉER;
- BMO vous
aide à déterminer
quel produit est bon pour vous.
MONTRÉAL,
le 6 janvier 2011 – Les
Canadiens économisent davantage
aujourd’hui qu’ils ne l’ont jamais fait au cours de la
dernière décennie. Et ce ne sont pas les options de placement
qui manquent, qu’il s’agisse de REER, de REEI, de REEE, ou
de bien de CÉLI.
Depuis sa création, en 2009, le compte d’épargne
libre d’impôt (CELI) s’est avéré être
l’un des choix les plus populaires en matière de placements.
Selon un sondage récemment publié par BMO, plus d’un
tiers de Canadiens (36 pour cent) détient actuellement un CELI,
mais peu d’entre eux savent quels produits de placement peuvent
y être investis.
Alors que la campagne des
REER vient de débuter et que les gens
surveillent de plus plus leurs placements, nombreux sont ceux qui se
demandent quelle place accorder au compte d’épargne libre
d’impôt dans un portefeuille, et combien ils devraient cotiser à leur
REER, ainsi qu’à leur CELI. Plus de 70 pourcent de Canadiens
détiennent des RÉER. Cependant, la majorité d’entre
eux ne savent ce qu’ils détiennent dans leur portefeuille.
Tina Di Vito, directrice générale – Stratégies
de retraite, BMO Groupe financier, est à votre disposition pour
clarifier les questions suivantes :
- Devriez-vous cotiser à un CELI, à un REER, aux
deux, à aucun des deux ?
-
Quels sont les avantages des deux produits ? Leurs inconvénients ?
-
Quels véhicules de placement devriez-vous choisir lorsque vous
placez des fonds dans un CELI ou un REER ?
-
Comment ces deux portefeuilles peuvent-ils vous aider à bâtir
votre retraite ?
Quelles sont
les différences entre un CELI et
un REER ?
CELI |
REER |
- Dans le cas du CELI,
il n’est pas nécessaire d’avoir
un revenu pour bénéficier des droits de cotisation
de 5 000 $ par année.
|
- Dans le cas du REER,
vous devez avoir un revenu afin de pouvoir bénéficier
de droits de cotisation annuels.
|
- Les retraits
d’un CELI sont à l’abri de l’impôt.
Tout montant retiré est alors ajouté à vos
droits de cotisation pour l’année suivante, de
façon à ce que vous puissiez de nouveau cotiser
la somme que vous avez retirée.
|
- Les retraits
d’un REER sont imposables l’année
où le retrait est effectué, à l’exception
des retraits effectués dans le cadre du Régime
d’accession à la propriété (RAP) ou
du Régime d’encouragement à l’éducation
permanente (REEP), qui ne sont pas imposables à condition
qu’ils soient remboursés dans les délais
impartis. Les montants retirés ne peuvent être ajoutés à vos
droits de cotisation pour l’année suivante.
|
- Les cotisations à un CELI ne sont pas déductibles
de l’impôt sur le revenu.
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- Les cotisations à un REER sont déductibles de
l’impôt sur le revenu.
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- Il n’est
pas obligatoire de convertir le CELI en un régime de
paiement de revenu (comme par exemple un FERR ou une rente),
peu importe l’âge.
|
- Les sommes
accumulées dans un REER doivent être retirées
en totalité ou transférées dans un FERR
ou une rente, et ce, au plus tard à la fin de l’année
où vous atteignez l’âge de 71 ans.
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Requêtes
médias :
Sarah
Bensadoun, Montréal, sarah.bensadoun@bmo.com,
514-877-8224