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Communiqués de presse

Les Canadiens ramènent les ventes de véhicules automobiles aux niveaux d’avant la récession  
  • Les ventes de véhicules neufs au Canada sont en voie de renverser le déclin de 2009 – et ont crû de près de 7 pour cent en 2010.
  • Les ventes des concessionnaires, pièces et service compris, devraient bondir de 8,5 pour cent
  • La solidité du huard favorisera les ventes et profitera aux concessionnaires comme aux consommateurs.

MONTRÉAL, le 12 novembre 2010 – Les Canadiens retournent dans les salles de montre des concessionnaires cette année et renversent largement la baisse des ventes de véhicules automobiles qui avait été enregistrée en 2009. Selon un nouveau rapport de BMO Banque de Montréal, les ventes devraient passer de 1,48 million de véhicules en 2009, à 1,58 million cette année.

Le rapport prévoit en outre que les ventes de véhicules motorisés connaîtront une autre augmentation de 3,8 pour cent en 2011, pour atteindre 1,64 million d’unités, un volume comparable à la moyenne de 1,6 à 1,7 million de ventes qui avait été enregistrée pendant la période qui a précédé la récession (2000-2008).

« Moins criblés de dettes que leurs voisins américains et bénéficiant d’un marché du travail plus solide, les clients canadiens ont repris confiance cette année et sont retournés dans les salles de montre des concessionnaires, ramenant les ventes presqu’aux niveaux d’avant la récession, affirme Earl Sweet, économiste principal, BMO Marchés des capitaux. Les marchés financiers plus sains, un dollar canadien plus ferme et les faibles taux d’intérêt soutiennent aussi la demande de véhicules motorisés », a ajouté M. Sweet.

« La plupart des concessionnaires automobiles canadiens sont ressortis plus forts de la récession : leurs stocks ont baissé, ils ont optimisé leurs coûts et ils se sont concentrés sur leurs clients, ajoute Robert Sadokierski, vice-président – Services financiers aux concessionnaires, BMO Banque de Montréal. De plus, la force du huard devrait soutenir les ventes et profiter aux concessionnaires et aux consommateurs en abaissant le coût des véhicules et des pièces, et en rehaussant le pouvoir d’achat. En somme, la conjoncture est propice à l’achat d’un véhicule, surtout quand on sait que son concessionnaire local est plus solide et mieux positionné pour rester en affaires à long terme, précise M. Sadokierski.

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Requêtes médias :

Ron Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, 514-877-1873