Deuxième anniversaire du CELI – Selon un sondage de BMO, les Canadiens apprécient le produit, mais n’arrivent pas à obtenir le maximum de leurs investissements
· Plus du tiers des Canadiens possèdent un CELI
· Près de 40 pour cent connaissent encore mal les options de placement dans un CELI
· Près de sept répondants sur dix reconnaissent que le CELI est un bon outil de placement et d’épargne
MONTRÉAL, le 9 novembre 2010 – Alors qu’approche le deuxième anniversaire du Compte d’épargne libre d’impôt (CELI), BMO Banque de Montréal a annoncé aujourd’hui les résultats d’un sondage selon lesquels, malgré un excellent taux d’adoption du produit, les Canadiens comprennent encore assez mal les principes fondamentaux du CELI.
Le sondage, commandé par BMO Banque de Montréal et effectué par la firme Léger Marketing, démontre que, malgré le fait que plus d’un Canadien sur trois (36 pour cent) détiennent actuellement un CELI, peu d’entre eux savent quels produits de placement peuvent y être investis. Ainsi :
· moins de la moitié des répondants (45 pour cent) pensent que l’argent comptant est une option de placement admissible dans un CELI;
· un cinquième d’entre eux (20 pour cent) savent que les fonds d’investissement y sont admissibles;
· seulement un répondant sur quatre (26 pour cent) sait que l’on peut y ajouter un CPG;
· plus du tiers des répondants (37 pour cent) n’ont aucune idée du type de produits de placement que l’on peut investir dans un CELI.
« Si le taux d’adoption du CELI est plutôt bon, nous observons certains doutes et une certaine confusion chez les Canadiens quant à la façon de tirer profit au maximum d’un CELI », a expliqué David Heatherly, vice-président, Produits de paiements, BMO Banque de Montréal. « Tout comme les REER, un CELI est un outil de placement très flexible, qui permet aux Canadiens de placer leur argent à l’abri de l’impôt, grâce à un certain nombre de véhicules de placement différents. »
Le sondage a également démontré que, chez ceux qui ne possèdent pas de CELI, 40 pour cent attribuent cette situation au fait qu’ils n’ont pas assez d’argent à y investir.
« Pour investir dans un CELI, il n’est pas nécessaire d’engager des sommes importantes. Même un petit montant permettra aux Canadiens d’économiser à l’abri de l’impôt, et d’accumuler de l’intérêt non imposable », a poursuivi M. Heatherly. « Cela dit, nous encourageons tout de même les gens qui en ont les moyens à investir le maximum admissible par année. Cela leur permettra d’économiser encore plus à l’abri de l’impôt, tout en bâtissant leurs portefeuilles de placement. »
Autres faits saillants :
· À l’échelle régionale, les répondants de l’Ontario sont les plus susceptibles de bien connaître le CELI (62 pour cent), contrairement à ceux du Canada atlantique (50 pour cent).
· Des gens interrogés, les hommes connaissent mieux le CELI (67 pour cent) que les femmes (55 pour cent).
· 64 pour cent ont indiqué qu’ils ouvriraient un CELI s’ils savaient que les avantages comprennent un accès aux fonds à l’abri de l’impôt, un taux d’intérêt concurrentiel sur l’argent comptant qui se trouve dans le compte sans être investi, et l’absence de frais sur les cotisations et les retraits.
« Afin de favoriser la bonne santé générale de votre portefeuille de placement, il est important de profiter d’options de placement à l’abri de l’impôt », a expliqué John Waters, directeur, Planification fiscale, BMO Nesbitt Burns. « L’impôt peut exercer une incidence importante sur le rendement net de placement obtenu, ce qui explique pourquoi le CELI est de plus en plus populaire auprès des Canadiens qui cherchent à équilibrer leurs portefeuilles. »
Notions de base au sujet du CELI :
· Les Canadiens âgés de 18 ans et plus peuvent investir jusqu’à 5000 $ par année dans un CELI. Les droits de cotisation des années précédentes qui sont inutilisés peuvent être ajoutés aux droits de cotisation de l’année en cours. De plus, les retraits peuvent être réinvestis l’année suivante, sans que cela n’affecte les limites de cotisation annuelle.
· Le CELI peut comprendre les mêmes produits de placement qu’un régime enregistré d’épargne-retraite (REER), tels que de l’argent comptant, des fonds d’investissement, des actions, des CPG et des obligations.
· Les cotisations à un CELI ne sont pas déductibles d’impôt, mais les retraits du compte et les intérêts obtenus ne sont pas imposables.
BMO propose différents outils et ressources pour aider les Canadiens à réduire le plus possible l’impôt qu’ils paient et à bien comprendre leurs placements. BMO a récemment lancé la Formule futée pour investir, un programme conçu pour aider les Canadiens à donner du sens aux questions d’épargne et de placement, et pour les aider à garder une part plus importante de leur argent, à garder le contrôle de leurs placements, et à faire croître leurs économies pour l’avenir. Pour de plus amples renseignements, consultez notre site, à l’adresse www.bmo.com/pourinvestir.
Le sondage a été mené du 25 au 27 octobre 2010, auprès d’un échantillon de 1 513 Canadiens d’âge adulte, choisis parmi l’échantillon Internet de Léger Marketing.
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Sarah Bensadoun, Montréal, sarah.bensadoun@bmo.com, (514) 877-8224