Une étude de BMO sur les dépenses d’été révèle que les « vacances sédentaires » ont été le premier choix des Canadiens cet été
- Une étude de BMO sur les dépenses d’été indique que les Canadiens disposés à dépenser pour des vacances au pays ont été plus de deux fois plus nombreux (43%) que ceux qui envisageaient un voyage à l’étranger (17 %).
- Près de la moitié des répondants ont dépensé leurs surplus d’argent pour des dîners ou soupers au restaurant (49 %), tandis que 20 % des répondants les ont plutôt utilisés pour leur café ou leur thé du matin.
MONTRÉAL, le 27 août 2010 – BMO a publié aujourd’hui une étude qui indique que 43 % des Canadiens ont consacré la plus grande partie de leur revenu disponible au cours des mois d’été à des « vacances sédentaires » et à d’autres activités de loisirs, notamment des concerts, des manifestations sportives et des soirées au cinéma.
En fait, en raison du ralentissement économique, les vacances sédentaires sont devenues tellement populaires que le terme anglais, « staycation », fait partie des quelques 2,000 nouveaux mots qui ont été ajoutés à la plus récente édition du Oxford English Dictionary, publié la semaine dernière.
« La plupart des gens essaient de réduire leurs dépenses, si bien que les vacances sédentaires constituent maintenant une option fort intéressante », a déclaré David Heatherly, vice-président – Produits de paiement, BMO Banque de Montréal. « Cependant, il existe des façons de réduire ses dépenses sans pour autant sacrifier le montant consacré aux vacances, en faisant quelques simples ajustements à nos habitudes de dépenses quotidiennes. »
Tout en faisant référence à la Formule futée BMO, M. Heatherly a fait remarquer qu’une façon d’atteindre ses objectifs consiste à collaborer avec un expert financier, afin d’établir un budget mensuel et de définir des domaines dans lesquels il est possible d’économiser davantage, en réduisant les dépenses inutiles.
« En adhérant à un programme d’épargne automatique, vous pouvez vous assurer de mettre de l’argent de côté chaque fois que vous êtes payé. Cela peut être aussi simple que de transférer 50 $ par semaine dans un compte d’épargne à taux d’intérêt élevé, ce qui pourrait générer jusqu’à 2 600 $ d’épargne par année, en plus des intérêts », a ajouté M. Heatherly.
Une autre façon, pour les Canadiens, d’accroître leur épargne consiste à réduire les dépenses facultatives. Selon les résultats du sondage, près de la moitié (49 %) des Canadiens ont ainsi affirmé utiliser leur revenu disponible pour s’offrir des dîners ou des soupers au restaurant, alors qu’ils ont été 20 % à dépenser cet argent pour leur café ou leur thé du matin.
« La réduction de ce type de dépenses, conjuguée à l’adhésion à un programme d’épargne automatique, peut faire la différence entre de nouvelles vacances sédentaires à la maison, et une semaine au bord de l’eau, dans les Caraïbes », a poursuivi M. Heatherly.
Voici d’autres éléments révélés par l’étude :
- Les Canadiens plus âgés ont été plus susceptibles de dépenser pour des vacances sédentaires (47 %), tandis que les plus jeunes ont dépensé pour des activités de loisirs (57 %).
- Les personnes qui habitent les Prairies ont été davantage tentées de dépenser la plus grande partie de leur revenu disponible au cours de l’été dans des restaurants, des boîtes de nuit et des bars (38 %), alors que ce pourcentage n’a été que de 25 % dans le cas des Albertains.
- Les hommes ont été plus enclins que les femmes à dépenser la plus grande partie de leur revenu disponible dans des restaurants, des boîtes de nuit et des bars (38 %, comparativement à 30 %).
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La Formule futée BMO propose des conseils essentiels aux clients en matière de services bancaires, conseils qu’ils peuvent mettre en application sur-le-champ lors d’une simple visite en succursale. Voici quelques-uns des trucs proposés :
o épargner automatiquement, chaque mois;
o réduire les frais bancaires;
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o commencer à économiser à l’abri de l’impôt;
o éviter les frais pour chèques sans provisions, en adhérant à des virements de fonds automatiques.
Le sondage Léger Marketing a été effectué en ligne du 2 au 4 août auprès de 1522 Canadiens âgés de 18 ans ou plus. Un échantillon probabiliste de la même taille produirait une marge d’erreur de ±2,5 %, 19 fois sur 20.
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Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, (514) 877-1873