BMO Groupe financier annonce de très bons résultats pour le troisième trimestre, dégageant un revenu net de 669 millions de dollars
Ses revenus ayant enregistré une hausse appréciable, PE Canada affiche toujours un excellent rendement
Les résultats de BMO Marchés des capitaux témoignent de conditions plus difficiles sur les marchés financiers
Les dotations à la provision pour pertes sur créances diminuent encore
À 13,55 %, le ratio du capital de première catégorie demeure solide
Points saillants des résultats financiers :
Comparaison du troisième trimestre de 2010 et du troisième trimestre de 2009
- Revenu net de 669 millions de dollars, pour une augmentation de 112 millions depuis un an
- RPA1 de 1,13 $ et RPA avant amortissement2 de 1,14 $, tous deux en hausse de 0,16 $ par rapport à la même période l’an dernier
- Rendement des capitaux propres de 13,7 %, contre 12,1 % pour les trois mois correspondants de l’exercice précédent
- Dotations à la provision pour pertes sur créances de 214 millions de dollars, soit 203 millions de moins qu’un an plus tôt
Comparaison des neuf premiers mois de 2010 et des neuf premiers mois de 2009
- Revenu net de 2 071 millions de dollars, contre 1 140 millions il y a un an
- RPA de 3,51 $, comparativement à 1,97 $, et RPA avant amortissement de 3,55 $, contre 2,01 $
Toronto, le 24 août 2010 – BMO Groupe financier a annoncé un revenu net de 669 millions de dollars, ou de 1,13 $ par action, pour le troisième trimestre terminé le 31 juillet 2010. Les Services bancaires Particuliers et entreprises – Canada ont encore obtenu un très bon rendement, le revenu net atteignant 426 millions, en hausse de 64 millions ou de 17 % par rapport à la même période l’an dernier.
BMO a annoncé aujourd’hui un dividende de 0,70 $ par action ordinaire pour le quatrième trimestre de l’exercice, soit le même montant que pour le trimestre précédent, ce qui correspond à un dividende annuel de 2,80 $ par action ordinaire.
« Notre désir d’aider notre clientèle à réussir et nos investissements stratégiques dans des activités au potentiel de croissance des plus prometteurs, qui demeurent au cœur de nos priorités, ont permis une hausse appréciable du revenu net depuis un an, ce qui renforce notre position, déjà fort solide, en matière de capital », a déclaré Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier. « Nos résultats témoignent des bienfaits découlant de la diversité de nos activités. »
« Avec un revenu net de 426 millions de dollars, soit 17 % de plus qu’il y a un an, PE Canada demeure le fer de lance de notre entreprise. Stimulés par l’essor des volumes de la plupart de ses produits, ses revenus ont progressé fortement, soit de 9,3 %. Le nombre moyen de catégories de produits qu’utilise notre clientèle des services aux particuliers et aux entreprises a augmenté d’un exercice à l’autre. »
« Les investissements dans nos services bancaires aux entreprises nous ont aidé à mieux répondre aux besoins de nos clients et ont catalysé la hausse des revenus et l’élargissement de la part du marché des prêts aux entreprises en regard de la même période il y a un an et du trimestre précédent, part qui se situe désormais à plus de 20 %. »
« Les résultats que BMO Marchés des capitaux a obtenus ce trimestre témoignent de conditions moins favorables sur les marchés financiers puisque les revenus de négociation ont grandement baissé et que, pour de nombreux secteurs, les occasions se sont raréfiées. Nous continuons d’élargir nos ressources et avons récemment recruté de nouveaux employés afin d’assurer notre croissance dans des domaines clés au fil de l’amélioration des marchés. »
« Le revenu net du groupe Gestion privée a légèrement reculé car, un an plus tôt, ses résultats tenaient compte d’un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures. Les résultats de la plupart des secteurs se sont améliorés car nous avons continué d’offrir à nos clients la qualité de services et de conseils à laquelle ils s’attendent. »
« PE États-Unis se concentre sur le recrutement et la fidélisation de la clientèle. Dans le secteur des services bancaires aux particuliers, nous prenons exemple sur les offres attrayantes au sein de l’entreprise. Ainsi, nous avons lancé le programme Harris Helpful Steps, qui s’inspire de la Formule futée BMO, et nous avons réussi à intégrer à notre modèle de services bancaires aux entreprises nos clients américains qui sont de moyennes entreprises et que nous avons transférés, organisant ainsi nos activités selon des secteurs spécialisés. »
« En résumé, nous veillons à remplir notre promesse, soit créer une expérience client exceptionnelle, et nous obtenons de bons résultats, compte tenu des conditions d’exploitation actuelles. Malgré les indices signalant un ralentissement de la croissance économique des deux côtés de la frontière, nous sommes encouragés par le fait que, au cours du trimestre à l’étude, les dotations à la provision pour pertes sur créances ont continué de fléchir. »
« Durant ces trois mois, les activités à l’échelle internationale de BMO ont atteint le seuil de carboneutralité pour ce qui est de l’énergie et du transport. Nous avons donc réussi – tel que prévu – à tenir parole quant à l’engagement que nous avions pris il y a près de deux ans auprès de nos clients et de nos actionnaires. Le succès et la durabilité sont indissociables, et nous sommes fiers de pouvoir faire notre part », a ajouté M. Downe.
1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question du résultat par action (RPA) dans le présent document, il s’agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont exposés dans la section Mesures non conformes aux PCGR, à la fin du Rapport de gestion, où sont également expliqués ces mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR.
Revue des résultats des groupes d’exploitation
PE Canada
Le revenu net a été élevé, atteignant 426 millions de dollars, pour une hausse de 64 millions ou de 17 % depuis un an. Les revenus générés par les services aux particuliers, les services aux entreprises et les services de cartes ont tous progressé, ce qui s’explique par l’accroissement des volumes de la plupart des produits, par la prise en compte de Diners Club dans les résultats financiers et par l’élargissement de la marge nette d’intérêts.
Alliée à une gestion efficace des dépenses d’exploitation, la saine croissance des revenus s’est traduite par un excellent levier d’exploitation avant amortissement, soit 5,5 %. Nous investissons toujours de manière stratégique afin de rehausser notre position concurrentielle tout en gérant prudemment nos dépenses d’exploitation.
Notre objectif est d’être la banque modèle en matière d’expérience client exceptionnelle. Nous continuons de cerner ce que les clients veulent réellement et ce dont ils ont besoin, et nous avons pris l’engagement de les écouter, de les comprendre et de bien les conseiller. C’est de cette façon que nous avons pu augmenter, d’un exercice à l’autre, le nombre moyen de catégories de produits qu’utilise notre clientèle des services aux particuliers et aux entreprises.
Pour ce qui est des services aux particuliers, les soldes de nos prêts hypothécaires ont, durant le trimestre et pour la première fois depuis que nous avons quitté le marché des courtiers, progressé. Nous avons lancé en mars notre campagne hypothécaire printanière, laquelle a pour objet d’aider notre clientèle à prendre les bonnes décisions de financement hypothécaire en lui donnant de judicieux conseils. Soucieux de combler ses besoins, nous lui proposons une gamme complète de produits attrayants, dont la MargExpress sur valeur domiciliaire et notre nouveau prêt hypothécaire à taux fixe réduit, un produit d’une grande simplicité.
Dans le cas des services aux entreprises, nous offrons toujours la Formule futée BMO pour entreprises afin que les propriétaires de petites entreprises puissent obtenir aisément des conseils sur la façon de mieux gérer leurs affaires. Au cours des trois mois à l’étude, nous avons démontré notre soutien indéfectible au secteur de l’agriculture en lançant le programme Agri-Investissement et le Programme d’aide financière aux victimes d’inondations dans les Prairies. Nous détenons toujours la deuxième part du marché canadien des prêts aux entreprises, et notre but est de devenir la banque de choix des entreprises canadiennes.
Sur la base des volumes de transactions, nous sommes le plus important émetteur de cartes MasterCard du Canada. Nous faisons croître nos services de cartes tout en assurant une gestion prudente du crédit, et nos taux de pertes sur créances sont largement inférieurs à la moyenne de nos pairs. Durant le trimestre, BMO a lancé deux nouvelles cartes de crédit qui offrent aux propriétaires de petites entreprises de faibles taux, des frais modiques et des choix simples. Ces nouvelles cartes procurent l’adhésion gratuite comme membre Privilège du programme Assistance sur mesure BMO, lequel aide ces clients, qui sont très occupés, à diriger et à protéger leur entreprise, tout en leur faisant réaliser des économies substantielles grâce à de meilleures récompenses et à l’abolition des frais de cartes annuels.
PE États-Unis (tous les montants sont en dollars américains)
Le revenu net s’est chiffré à 38 millions de dollars, ayant baissé de 14 millions ou de 27 % depuis un an. Sa diminution a découlé essentiellement de la hausse des dotations à la provision pour pertes sur créances, selon les pertes prévues, de l’incidence des prêts douteux et d’un rajustement de la valeur de notre portefeuille de prêts hypothécaires sous gestion par suite du recul des taux d’intérêt à long terme. Les répercussions favorables de l’amélioration des marges sur les prêts et de l’essor des soldes de dépôts ont été contrebalancées en grande partie par les conséquences du recul des soldes de prêts aux entreprises qu’a causé une utilisation moins grande des prêts de la part de ces clients ainsi que par la compression des marges sur les dépôts.
Après rajustement pour tenir compte de l’incidence des prêts douteux, d’une réduction de la provision constituée au titre du litige impliquant Visa et des coûts d’intégration, le revenu net du trimestre écoulé s’est chiffré à 54 millions de dollars, en baisse de 11 millions ou de 17 % depuis un an. Le ratio de productivité avant amortissement a été de 72,6 %, ou de 66,2 % compte tenu d’un tel rajustement.
Au deuxième trimestre, nous avions annoncé l’acquisition de certains actifs et la prise en charge de certains passifs d'AMCORE Bank N.A., banque située à Rockford, en Illinois. Depuis la clôture de cette opération, nous avons stabilisé les activités ainsi acquises, réalisé d’importants progrès dans l’atteinte d’étapes d’intégration clés et mis de l’avant un programme de communication avec la clientèle afin de rejoindre nos principaux clients. Notre projet de conversion de l’entreprise en vue de l’intégrer à la bannière Harris se déroule comme prévu et devrait être parachevé au cours du quatrième trimestre.
Nous nous rapprochons de notre objectif, soit positionner PE États-Unis en vue de sa croissance par le regroupement de moyennes entreprises américaines clientes sous un modèle de services bancaires aux entreprises. Afin de mieux centrer nos efforts et d’offrir à nos clients des conseils d’une qualité supérieure, nous avons accru les ressources affectées au soutien de secteurs précis. Le fait de tirer parti de la notoriété de la marque Harris et de la portée plus vaste qu’offre ce regroupement de services bancaires aux entreprises devrait nous permettre de recruter de nouveaux clients et d’accroître plus rapidement les revenus tout en rehaussant notre productivité globale.
Dans le secteur des services bancaires aux particuliers, nous avons créé un programme appelé Harris Helpful Steps. Lancé en juin, celui-ci propose aux consommateurs cinq moyens fort simples d’économiser, de mieux gérer leurs dépenses et de prendre le contrôle de leurs finances.
Le centre d’appels Harris a, pour la deuxième année d’affilée, obtenu l’accréditation de centre d’excellence de la part de BenchmarkPortal. Parrainé par le Center for Customer-Driven Quality (CCDQ) de l’Université Purdue, BenchmarkPortal est un chef de file reconnu de l’évaluation du rendement et de l’attestation des centres d’appels. Seulement 10 % des centres qui en font la demande obtiennent cette accréditation.
Groupe Gestion privée
Le revenu net a été de 108 millions de dollars, accusant une baisse de 5 millions ou de 5,5 % en regard du même trimestre de l’exercice précédent. Les résultats de cette période tenaient compte d’un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures de 23 millions.
Le revenu net du groupe Gestion privée, compte non tenu des activités d’assurance, a été de 74 millions de dollars, affichant une forte progression en regard d’il y a un an, soit 28 millions ou 54 %, ce qui a résulté de la croissance continue de toutes les unités. Le revenu net des activités d’assurance s’est établi à 34 millions pour le trimestre, en baisse de 33 millions ou de 48 %, ce qui s’explique en grande partie par la constatation d’un recouvrement d’impôts un an plus tôt. Les activités d’assurance ont vu leurs primes nettes augmenter fortement, facteur dont l’avantage a été plus que contrebalancé par l’incidence de variations défavorables des taux d’intérêt et des marchés boursiers sur les passifs attribuables aux titulaires de police.
Les revenus du groupe Gestion privée ont augmenté de 23 millions de dollars ou de 4,5 %, ayant fortement progressé dans la majeure partie des unités, ce qui a découlé d’une hausse de 9,5 % (11 % en monnaie d’origine) des actifs de clients sous gestion et sous administration. Les revenus des activités d’assurance ont, dans l’ensemble, baissé car la montée des primes nettes a été plus qu’annulée par l’incidence des variations défavorables des marchés sur les passifs attribuables aux titulaires de police. Nous entendons toujours offrir à nos clients la qualité de services et de conseils à laquelle ils s’attendent, et ce, surtout dans le contexte économique actuel.
Au cours du trimestre, le groupe Gestion privée a lancé huit nouveaux fonds négociables en bourse (FNB), portant ainsi à 30 le nombre de FNB qu’il offre. Les nouveaux fonds diversifient davantage les secteurs visés puisqu’ils englobent ceux des soins de santé et du pétrole et du gaz et témoignent de notre engagement à devenir un chef de file au Canada sur le marché en croissance qu’est celui des FNB et d’offrir aux investisseurs une gamme complète de produits de placement.
BMO Marchés des capitaux
Le revenu net s’est situé à 130 millions de dollars, soit 180 millions ou 58 % de moins qu’il y a un an. Après avoir été fort élevés et soutenus par des conditions favorables au cours des quatre trimestres antérieurs, les revenus ont fléchi durant le trimestre à l’étude. Leur recul depuis un an et depuis le deuxième trimestre est imputable aux conséquences négatives de l’augmentation des écarts de taux, à la baisse des marges sur négociation et à la raréfaction des occasions sur les marchés. Dans le cas des services bancaires aux grandes entreprises, la dégradation de la conjoncture économique a également contribué à la baisse des revenus depuis un an.
BMO Marchés des capitaux a participé à 114 nouvelles émissions au cours du trimestre, soit 34 émissions de titres d’emprunt d’entreprises, 32 émissions de titres d’administrations publiques, 42 émissions d’actions ordinaires et six émissions d’actions privilégiées, pour un total de 51 milliards de dollars, soit 12 milliards de plus qu’au trimestre précédent.
Services d’entreprise
Les Services d’entreprise ont subi une perte nette de 35 millions de dollars pour le trimestre, ce qui représente une amélioration de 251 millions en regard d’il y a un an, amélioration résultant essentiellement de la réduction des dotations à la provision pour pertes sur créances. La progression des revenus a été annulée en grande partie par la hausse des frais. Les dotations à la provision pour pertes sur créances imputées aux Services d’entreprise ont diminué de 272 millions. Aux termes de la méthode que BMO utilise aux fins de la présentation de ses résultats sectoriels, les pertes sur créances prévues sont imputées aux groupes d’exploitation clients, et l’écart entre les pertes prévues et les pertes réelles est porté au débit (ou au crédit) des Services d’entreprise.
Mise en garde
Les sections précédentes renferment des déclarations prospectives. Voir la mise en garde concernant les déclarations prospectives.
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2010 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.
Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 32 et 33 du Rapport annuel 2009 de BMO, qui décrivent en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.
Pour conclure que nous procéderons à la conversion des établissements acquis dans le cadre de l’opération réalisée au deuxième trimestre et visant une banque située à Rockford, en Illinois, nous avons supposé qu’il ne surgirait aucun événement de nature prioritaire qui aurait préséance sur la dotation en personnel et les ressources techniques requises et que la conversion ne causerait aucun problème majeur touchant les systèmes.
Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine ainsi qu’aux conditions de marché générales et à l’ensemble de leurs répercussions sur nos activités, incluant ce qui est décrit sous la rubrique intitulée Perspectives économiques et survol, sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l’établissement de nos priorités stratégiques, de nos objectifs et de nos attentes pour ce qui est de nos activités. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États Unis et leurs agences.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
Les faits saillants financiers |
|
Rapport de gestion |
|
Les états financiers non vérifiés |
|
RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS
Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter notre Rapport annuel 2009, le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site au www.bmo.com/relationsinvestisseurs.
Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont également invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 24 août 2010 à 14 h 00 (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 416-695-9753 (région de Toronto) ou au 1-888-789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L’enregistrement de la téléconférence sera accessible jusqu’au lundi 6 décembre 2010, au 416-695-5800 (région de Toronto) ou au 1-800-408-3053 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d’accès 7878814).
La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au lundi 6 décembre 2010.
Relations avec les médias
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, 416-867-3996
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, 514-877-1873
Relations avec les investisseurs
Viki Lazaris, première vice-présidente, viki.lazaris@bmo.com, 416-867-6656
Steven Bonin, directeur général, steven.bonin@bmo.com, 416-867-5452
Andrew Chin, directeur principal, andrew.chin@bmo.com, 416-867-7019
Chef des finances
Russel Robertson, chef des finances
russ.robertson@bmo.com, 416-867-7360
Secrétaire général
Blair Morrison, premier vice-président, conseil général délégué,
Affaires générales, et secrétaire général
corp.secretary@bmo.com, 416-867-6785
Assemblée annuelle de 2011
La prochaine assemblée annuelle des actionnaires aura lieu le mardi 22 mars 2011 à Vancouver, en Colombie-Britannique.