Communiqués de presse

MONTRÉAL, le 4 août 2010 – Selon les résultats d’un sondage de BMO publiés aujourd’hui, la majorité des entrepreneurs canadiens (77 pour cent) sont d’avis qu’une reprise économique s’amorce. Cette vision positive de l’économie est partagée par une proportion notable des répondants (80 pour cent) qui affirment investir ou dépenser de façon active pour leur entreprise, ce qui indique que les entrepreneurs misent de nouveau sur les occasions de croissance.

« Les dépenses des entreprises canadiennes pour faire l’acquisition de nouveaux équipements et machineries ont augmenté depuis l’automne, ce qui est un pas dans la bonne direction, explique Gail Cocker, vice-présidente – Services bancaires aux entreprises, BMO Banque de Montréal. Cette réalité, accompagnée d’une tendance visant à rehausser la formation des employés et à saisir des occasions d’accroître la productivité, renforcera la position concurrentielle des entreprises canadiennes au pays et à l’international. BMO travaille en étroite collaboration avec ses clients afin de leur proposer des solutions et des conseils qui leur permettront de se démarquer. »

Autres conclusions importantes du sondage de BMO :

• Les entrepreneurs de l’Ouest canadien et des provinces de l’Atlantique sont plus enclins à dépenser et à investir que ceux du Québec.
• Les trois principaux signaux incitant à dépenser ou à investir sont les suivants : l’augmentation des flux de trésorerie (22 pour cent), la reprise économique aux États-Unis, par suite de la récession (19 pour cent), et l’amélioration de la confiance des consommateurs (14 pour cent).
• Les entrepreneurs du Manitoba, de la Saskatchewan et de l’Ontario sont plus portés à placer l’expansion des marchés internationaux au sommet de leurs priorités que ceux de l’Atlantique.
• Près de 90 pour cent des entrepreneurs du Manitoba et de la Saskatchewan, et 79 pour cent de ceux de l’Ouest canadien disent percevoir la reprise économique.

« Au chapitre de la productivité, nous observons enfin certains signes d’amélioration, poursuit Sal Guatieri, économiste en chef, BMO Marchés des capitaux. Les entreprises ont pu profiter de prix inférieurs sur l’équipement importé, du fait de la vigueur du dollar canadien. Cela a pour effet de favoriser la compétitivité de nos entreprises. »

Ce sondage téléphonique a été effectué par la firme Harris/Decima du 3 au 19 mai 2010, auprès d’un échantillon de 427 entreprises canadiennes disposant de 50 à 499 employés, et de revenus annuels de 5 à 75 millions de dollars. *Les résultats ont été pondérés par rapport à l’univers connu pour des entreprises canadiennes de cette taille. *Un échantillon d’une taille de 427 répondants permet d’obtenir des résultats fiables à ± 4,7 points de pourcentage, 19 fois sur 20.

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¹Dans ce communiqué, on entend par « entreprises ou entrepreneurs canadiens » ceux qui emploient entre 50 et 499 personnes et dont le revenu annuel totalise entre 5 millions de dollars et 75 millions de dollars.

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Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, (514) 877-1873