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Communiqués de presse

BMO Groupe financier annonce de très bons résultats pour le deuxième trimestre, ayant dégagé un revenu net de 745 millions de dollars  

Des revenus et un revenu net en hausse pour un cinquième trimestre consécutif

PE Canada affiche toujours un excellent rendement

Les dotations à la provision pour pertes sur créances diminuent encore

À 13,27 %, le ratio du capital de première catégorie demeure solide


Points saillants des résultats financiers :

Comparaison du deuxième trimestre de 2010 et du deuxième trimestre de 2009

  • Revenu net de 745 millions de dollars, pour une augmentation de 387 millions par rapport à il y a un an
  • RPA1 de 1,26 $ et RPA avant amortissement2 de 1,28 $, tous deux en hausse de 0,65 $ par rapport à la même période l’an dernier
  • Rendement des capitaux propres de 16,4 %, contre 8,1 % à la même période de l’exercice précédent
  • Dotations à la provision pour pertes sur créances de 249 millions de dollars, soit 123 millions de moins qu’un an plus tôt

Comparaison du premier semestre de 2010 et du premier semestre de 2009

  • Revenu net de 1 402 millions de dollars, contre 583 millions il y a un an
  • RPA de 2,38 $, comparativement à 1,00 $, et RPA avant amortissement de 2,41 $, contre 1,03 $

Toronto, le 26 mai 2010 – BMO Groupe financier a annoncé un revenu net de 745 millions de dollars, ou de 1,26 $ par action, pour le deuxième trimestre terminé le 30 avril 2010. Les résultats ont été excellents partout dans l’entreprise. Les Services bancaires Particuliers et entreprises – Canada ont obtenu un bon rendement, le revenu net atteignant 396 millions, en hausse de 56 millions ou de 16 % par rapport à la même période l’an dernier. Le revenu net du groupe Gestion privée a bondi de 64 %, pour s’établir à 118 millions, et celui de BMO Marchés des capitaux s’est situé à 259 millions, en hausse de 38 %.

BMO a annoncé aujourd’hui un dividende de 0,70 $ par action ordinaire pour le troisième trimestre de l’exercice 2010, soit le même montant que pour le trimestre précédent, ce qui correspond à un dividende annuel de 2,80 $ par action ordinaire.

« Grâce à une stratégie clairement définie et à son profond désir d’aider sa clientèle à réussir, BMO a pu, pour un cinquième trimestre d’affilée, accroître ses revenus ainsi que son revenu net », a déclaré Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier. « Nos résultats se résument ainsi : un revenu net fort élevé, la progression continue de nos revenus et la baisse des dotations à la provision pour pertes sur créances, ce qui rend compte de l’amélioration constante des conditions de crédit. »

« Vers la fin du trimestre, nous avons acquis certains actifs et pris en charge certains passifs d’une banque ayant son siège social à Rockford, en Illinois, ce qui a enrichi notre réseau de ses 52 succursales de l’Illinois et du Wisconsin. Cette acquisition s’inscrit parfaitement dans notre stratégie, soit assurer l’expansion de PE États-Unis dans le Midwest. Nous sommes fiers d’accueillir nos nouveaux clients et nouveaux employés et de consolider nos assises dans un marché que nous connaissons bien et où notre marque a déjà acquis une grande notoriété. »

« PE Canada a encore enregistré d’excellents résultats, son revenu net ayant atteint 396 millions de dollars, soit 16 % de plus qu’il y a un an. Nous avons accru de manière appréciable les revenus des unités des services bancaires aux particuliers, des services bancaires aux entreprises et des services de cartes grâce à l’essor des volumes de la plupart des produits, à l’élargissement de la marge nette d’intérêts et à l’attention soutenue que nous accordons à notre part de marché. »

« Les résultats de BMO Marchés des capitaux ont eux aussi été très bons, le revenu net atteignant 259 millions de dollars, soit 38 % de plus que pour les trois mêmes mois de l’exercice précédent. Durant le trimestre, BMO Marchés des capitaux a continué de tirer parti des occasions du marché pour recruter du personnel qui compte parmi le meilleur du secteur et qui nous permettra de poursuivre notre croissance dans des domaines clés. »

« Le revenu net du groupe Gestion privée a été élevé et a progressé de 64 % depuis un an pour atteindre 118 millions de dollars, car le renforcement des marchés boursiers et l’ajout net d’actifs de nouveaux clients ont accru les revenus tirés des services tarifés. »

« Quant au revenu net de PE États-Unis, il a été de 45 millions de dollars américains, ce qui témoigne de l’attention stratégique accordée à notre modèle de services bancaires aux entreprises, lequel consiste à intégrer tous nos clients américains qui sont des entreprises dans ce secteur d’activité. Nous avons déjà la structure qui nous permettra de l’élargir, et l’équipe de direction qui en est responsable est des plus compétentes. »

« Nos résultats confirment que l’approche centrée sur le client que nous avons adoptée il y a trois ans porte fruit. Notre force financière nous procure la marge de manœuvre dont nous avons besoin pour recruter les meilleurs employés qui soient et attirer de nouveaux clients et ainsi accroître notre présence en Amérique du Nord, tout en obtenant un excellent rendement », a ajouté M. Downe.

1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question du résultat par action (RPA) dans le présent document, il s’agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont exposés dans la section Mesures non conformes aux PCGR, à la fin du Rapport de gestion, où sont également expliqués ces mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR.

Revue des résultats des groupes d’exploitation

Au cours du trimestre à l’étude, nous avons repéré des moyennes entreprises américaines clientes qui pouvaient bénéficier d’un modèle de services bancaires aux entreprises et avons transféré leurs comptes de BMO Marchés des capitaux à PE États-Unis. Les chiffres des périodes antérieures ont été retraités afin de refléter l’incidence de ce transfert et le mode de présentation adopté pour le trimestre à l’étude.

PE Canada
Le revenu net a été élevé, atteignant 396 millions de dollars, en hausse de 56 millions ou de 16 % depuis un an. Les revenus générés par les services aux particuliers, les services aux entreprises et les services de cartes ont tous progressé fortement, ce qui s’explique par l’accroissement des volumes de la plupart des produits, par la prise en compte de Diners Club dans les résultats financiers et par l’élargissement de la marge nette d’intérêts. Alliée à une gestion efficace des dépenses d’exploitation, la saine croissance des revenus s’est traduite par un excellent levier d’exploitation avant amortissement, soit 6,1 %.

Notre objectif est d’être la banque modèle en matière d’expérience client exceptionnelle. En regard d’il y a un an, nous avons rétréci l’écart entre nos taux de fidélité des particuliers et des entreprises et ceux du chef de file du secteur, et le nombre moyen de catégories de produits qu’utilisent nos clients des services aux particuliers et aux entreprises a augmenté. Ces réalisations témoignent de notre engagement à écouter, à comprendre et à bien conseiller nos clients.

Pour ce qui est des services aux particuliers, notre campagne hypothécaire du printemps 2010 a pour objet d’aider notre clientèle à prendre les bonnes décisions de financement hypothécaire en lui donnant de judicieux conseils. Nous avons lancé un nouveau produit facile à comprendre, soit un prêt hypothécaire à taux fixe réduit fermé, et avons simplifié la façon dont nos clients peuvent rejoindre un spécialiste – Prêts hypothécaires ou faire une demande de prêt en ligne. Nous faisons également une promotion active de notre MargExpress sur valeur domiciliaire, un produit fort apprécié qui permet aux clients d’utiliser la valeur de leur propriété pour financer des rénovations ou tout autre projet.

Dans le cas des services aux entreprises, nous avons lancé la Formule futée BMO pour entreprises afin que les propriétaires de petites entreprises puissent obtenir facilement des conseils sur la façon de mieux gérer leurs affaires. Nous détenons toujours la deuxième part du marché canadien des prêts aux entreprises et notre but est de devenir la banque de choix des entreprises canadiennes.

Nous sommes l’un des plus importants émetteurs de cartes MasterCard du Canada. Nous faisons croître nos services de cartes tout en assurant une gestion prudente du crédit, et nos taux de pertes sur créances sont largement inférieurs à ceux de nos pairs. Durant le trimestre, BMO est devenue la première banque canadienne à offrir la carte MasterCard World Elite, une carte de prestige qui offre un niveau de service supérieur ainsi que des avantages et une assurance-voyage de première classe.

PE États-Unis (tous les montants sont en dollars américains)
Le revenu net s’est chiffré à 45 millions de dollars, ayant baissé de 20 millions ou de 31 % depuis un an. Les revenus provenant de l’amélioration des marges sur les prêts ont été plus qu’annulés par la baisse des soldes de prêts aux entreprises en raison de la moins grande utilisation de prêts par les clients, par la compression des marges sur les dépôts et par l’incidence des prêts douteux.

Après rajustement pour tenir compte de l’incidence des prêts douteux, le revenu net du trimestre à l’étude s’est chiffré à 61 millions de dollars. Compte tenu d’un tel rajustement, le ratio de productivité avant amortissement s’est établi à 62,3 %.

Afin de mieux préparer nos services bancaires aux entreprises à une croissance en cette période qui marque la fin de la récession aux États-Unis, nous avons repéré des moyennes entreprises américaines clientes qui pouvaient bénéficier d’un modèle de services bancaires aux entreprises et avons transféré leurs comptes de BMO Marchés des capitaux à PE États-Unis. Ainsi, PE États-Unis a pris en charge 5,4 milliards de dollars de prêts et 3,2 milliards de dollars de dépôts. Les résultats des périodes antérieures ont été retraités afin de rendre compte de ce transfert. Nous entendons profiter de ce regroupement de comptes pour renforcer nos liens avec nos clients existants et en recruter de nouveaux. Nous prévoyons réaliser des avantages économiques en réduisant le coût des services de chaque compte et en faisant valoir notre réputation fort enviable de prêteur aux entreprises bâtie grâce à la marque Harris. Le fait d’avoir transféré à PE États-Unis des comptes relevant essentiellement du crédit permettra à BMO Marchés des capitaux de se concentrer sur les secteurs et les clients auprès desquels il détient un atout concurrentiel unique et d’axer ses efforts sur l’obtention de nouveaux mandats de banque d’investissement.

Dans le secteur des services bancaires aux particuliers, nous continuons de tout mettre en œuvre pour respecter notre promesse envers nos clients, soit clarifier les questions d’argent. Nous inspirant d’un programme qui a fait ses preuves, la Formule futée BMO, nous en avons créé un autre appelé Harris Helpful Steps. Lancé en juin par voie d’une vaste campagne intégrée de commercialisation et de vente multicircuits, ce programme propose aux consommateurs cinq moyens fort simples d’économiser, de mieux gérer leurs dépenses et de prendre le contrôle de leurs finances.

Le 23 avril 2010, nous avons annoncé l’acquisition de certains actifs et la prise en charge de certains passifs d’une banque située à Rockford, en Illinois, auprès de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC). Cette opération est entrée immédiatement en vigueur, et dès le lendemain, les 52 succursales de cette banque arboraient l’enseigne Harris. Cette acquisition a ajouté environ 2,2 milliards de dollars américains de dépôts et 2,5 milliards de dollars américains d’actifs. Cette opération, d’une grande importance stratégique, stimulera notre croissance en nous dotant d’établissements de qualité et d’une précieuse clientèle, et elle a étendu notre réseau de succursales dans des villes du nord de l’Illinois et du sud du Wisconsin, régions où notre présence en tant que fournisseur de services bancaires aux entreprises est solide et de plus en plus imposante. Comme l’exige souvent une acquisition, nous analysons les chevauchements des activités et des succursales afin de réaliser des synergies.

Groupe Gestion privée
Le revenu net, soit 118 millions de dollars, a bondi de 46 millions ou de 64 % depuis un an.

Le revenu net du groupe Gestion privée, exclusion faite des activités d’assurance, a été de 73 millions de dollars, ayant augmenté de 31 millions ou de 79 % depuis un an. Dans le cas de celui des activités d’assurance, il s’est situé à 45 millions, ce qui traduit une hausse de 15 millions ou de 43 % en regard de la même période de 2009, hausse qui a résulté d’une croissance interne et de l’incidence favorable, d’un montant de 8 millions, de l’acquisition de BMO Société d’assurance-vie. Les revenus du groupe Gestion privée ont augmenté de 91 millions ou de 19 % en raison de l’embellie des marchés boursiers et de notre capacité à obtenir des actifs de nouveaux clients. Ces facteurs ont permis à toutes les unités d’augmenter leurs revenus. L’acquisition de BMO Société d’assurance-vie a elle aussi favorisé l’essor des revenus. Le ratio de productivité avant amortissement, soit 71,2 %, a progressé de 800 points de base depuis l’exercice précédent.

Les actifs sous gestion et sous administration ont monté de 45 milliards de dollars ou de 20 % depuis un an, après rajustement pour exclure l’incidence de la dépréciation du dollar américain.

Au cours du trimestre, le groupe Gestion privée a lancé six nouveaux portefeuilles de fonds négociables en bourse (FNB) grâce auxquels les investisseurs bénéficient d’un meilleur choix et d’un accès plus simple au marché en croissance qu’est celui des FNB. Les nouveaux produits offerts comprennent deux fonds à gestion tactique et quatre portefeuilles à gestion stratégique assortis de niveaux de risque différents. Ces fonds, qui permettent de constituer un portefeuille de FNB dans le cadre d’une solution de placement tout-en-un, sont regroupés dans une structure de fonds d’investissement que les investisseurs connaissent bien.

BMO Marchés des capitaux
Après un premier trimestre couronné de succès, BMO Marchés des capitaux a poursuivi sur sa lancée au cours du deuxième, dégageant un revenu net de 259 millions de dollars, soit 71 millions ou 38 % de plus qu’il y a un an. Le rendement des capitaux propres a été de 24,8 %, comparativement à 12,8 % pour la même période de l’exercice précédent. Les revenus ont crû de 186 millions de dollars ou de 27 %, pour s’établir à 864 millions. L’attention que nous accordons à nos clients et le maintien d’une gamme d’activités diversifiée ont encore favorisé la hausse des revenus. Les revenus de négociation ont été nettement supérieurs à ceux d’il y a un an car ceux-ci avaient été affaiblis par des pertes liées à notre entité canadienne de protection de crédit. Les gains sur titres de placement ont été positifs pour les trois mois à l’étude alors que dans la période correspondante de 2009, des charges liées à la mauvaise conjoncture des marchés financiers avaient été constatées. Les revenus tirés des prêts aux grandes entreprises ont reculé à cause de la forte diminution des actifs et de la baisse des commissions. Les résultats des activités de banque d’investissement se sont également dégradés depuis un an, mais celles-ci devraient s’intensifier grâce aux occasions prometteuses qui s’offrent à nous.

Durant le trimestre, son souci du service à la clientèle a valu à BMO Marchés des capitaux d’être nommé meilleure banque d’investissement au monde pour le secteur des métaux et des mines par le magazine Global Finance, ce qui témoigne de notre expérience et de notre profonde connaissance du secteur. Notre équipe Opérations de change s’est classée au premier rang pour ce qui est de la croissance de la part du marché des opérations de change au terme du sondage annuel du magazine Euromoney, sondage qui constitue la mesure de référence dans le secteur du change. BMO Marchés des capitaux a continué de rehausser ses compétences dans divers champs d’activité, dont les prêts de titres, le financement sur levier financier, les fusions et acquisitions, les ventes et la négociation, la recherche et les financements par actions et par emprunt, afin de se positionner en vue de sa croissance à venir.

BMO Marchés des capitaux a participé à 119 nouvelles émissions au cours du trimestre, soit 25 émissions de titres d’emprunt d’entreprises, 36 émissions de titres d’administrations publiques, 53 émissions d’actions ordinaires et cinq émissions d’actions privilégiées, pour un total de 39 milliards de dollars.

Services d’entreprise
Les Services d’entreprise ont subi une perte nette de 74 millions de dollars au cours du trimestre. Cette perte représente une amélioration de 249 millions en regard de celle d’il y a un an, ce qui a résulté de la progression des revenus et de la réduction des frais et des dotations à la provision pour pertes sur créances. Les frais ont baissé car ceux de la même période de l’exercice précédent tenaient compte de charges de 118 millions au titre des indemnités de licenciement. Les dotations à la provision pour pertes sur créances imputées aux Services d’entreprise ont diminué de 187 millions. Aux termes de la méthode que BMO utilise aux fins de la présentation de ses résultats sectoriels, les pertes sur créances prévues sont imputées aux groupes d’exploitation clients, et l’écart entre les pertes prévues et les pertes réelles est porté au débit (ou au crédit) des Services d’entreprise.

Mise en garde
Les sections précédentes renferment des déclarations prospectives. Voir la mise en garde concernant les déclarations prospectives.


Mise en garde concernant les déclarations prospectives

Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2010 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 32 et 33 du Rapport annuel 2009 de BMO, qui décrivent en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.

Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine ainsi qu’aux conditions de marché générales et à l’ensemble de leurs répercussions sur nos activités, incluant ce qui est décrit sous la rubrique intitulée Perspectives économiques et survol, sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l’établissement de nos priorités stratégiques, de nos objectifs et de nos attentes pour ce qui est de nos activités. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États-Unis et leurs agences.


Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :

Les faits saillants financiers  
Rapport de gestion  
Les états financiers non vérifiés  

RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter notre Rapport annuel 2009, le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site au www.bmo.com/relationsinvestisseurs.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont également invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mercredi 26 mai 2010 à 14 h 00 (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 416-695-9753 (région de Toronto) ou au 1-888-789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L’enregistrement de la téléconférence sera accessible jusqu’au lundi 23 août 2010, au 416-695-5800 (région de Toronto) ou au 1-800-408-3053 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d’accès 4451142).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au lundi 23 août 2010.

Relations avec les médias
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, 416-867-3996
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, 514-877-1873

Relations avec les investisseurs
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Steven Bonin, directeur général, steven.bonin@bmo.com, 416-867-5452
Andrew Chin, directeur principal, andrew.chin@bmo.com, 416-867-7019

Chef des finances
Russel Robertson, chef des finances
russ.robertson@bmo.com, 416-867-7360

Secrétaire général
Blair Morrison, premier vice-président, conseil général délégué,
Affaires générales, et secrétaire général
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