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Communiqués de presse

BMO Groupe financier annonce de très bons résultats pour le premier trimestre  




Un revenu net élevé, une croissance des revenus pour un quatrième trimestre consécutif et un engagement constant envers la gestion des frais de tous les groupes d’exploitation

Le groupe Services bancaires Particuliers et entreprises – Canada accroît, une fois encore, ses revenus et son revenu net en regard de la même période de l’exercice précédent

À 12,53 %, le ratio du capital de première catégorie demeure solide


Points saillants des résultats financiers :

  • Revenu net de 657 millions de dollars, pour une augmentation de 432 millions par rapport à il y a un an
  • Résultat par action1 (RPA) de 1,12 $ et RPA avant amortissement2 de 1,13 $, tous deux en hausse de 0,73 $ par rapport à la même période l’an dernier
  • Revenus de plus de 3 milliards de dollars et frais stables depuis un an
  • Dotations à la provision pour pertes sur créances de 333 millions de dollars, soit 95 millions de moins qu’un an plus tôt

Toronto, le 2 mars 2010 – BMO Groupe financier a annoncé un revenu net de 657 millions de dollars, ou de 1,12 $ par action, pour le premier trimestre terminé le 31 janvier 2010. Les Services bancaires Particuliers et entreprises – Canada ont enregistré de très bons résultats, le revenu net atteignant 403 millions de dollars, en hausse de 88 millions ou de 28 % par rapport à la même période l’an dernier. Le revenu net du groupe Gestion privée a lui aussi été fort élevé, soit 113 millions de dollars, ce qui représente 45 millions ou 68 % de plus qu’il y a un an.

BMO a annoncé aujourd’hui un dividende de 0,70 $ par action ordinaire pour le deuxième trimestre de l’exercice 2010, soit le même montant que pour le trimestre précédent, ce qui correspond à un dividende annuel de 2,80 $ par action ordinaire.

« L’excellent rendement obtenu ce trimestre illustre avec éloquence la rentabilité de nos secteurs de base et confirme que nous avons raison de croire en notre stratégie », a déclaré Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier. « C’est en filigrane de ce rendement que s’inscrit notre engagement sans faille envers notre clientèle, engagement qui se manifeste partout dans notre entreprise. »

« PE Canada continue de donner le ton. Reflétant de très bons résultats trimestriels, le revenu net est de 403 millions de dollars, soit 28 % de plus qu’il y a un an. Nous avons continué d’investir afin de rehausser l’expérience client et notre position concurrentielle tout en gérant nos frais avec rigueur. Profitant de l’essor des volumes de la majeure partie des produits et d’une amélioration de la marge nette d’intérêts, les revenus ont progressé de 12 %. »

« Nous appuyons pleinement les mesures, car nous les jugeons prudentes, que le ministre des Finances du Canada a annoncées il y a deux semaines et qui visent à favoriser la stabilité à long terme du marché immobilier canadien et à empêcher toute bulle spéculative que pourraient causer des emprunts hypothécaires excessifs. BMO continue de fournir des conseils et de mettre au point des produits qui sont en harmonie avec la politique du gouvernement, soit assurer la stabilité à long terme d’un secteur essentiel à notre économie et veiller au bien-être financier des familles canadiennes. Il s’agit simplement là d’une autre façon de clarifier les questions d’argent pour nos clients. »

« Le rendement de BMO Marchés des capitaux est, lui aussi, excellent, le revenu net atteignant 248 millions de dollars. Même s’ils se sont grandement améliorés depuis un an, les résultats ont été plus faibles que ceux des récents trimestres, lesquels avaient bénéficié de bonnes conditions de négociation. Au cours des trois derniers trimestres, le RCP de BMO Marchés des capitaux a été d’au moins 18 %. Nous entendons dégager un revenu net élevé au cours d’un même cycle économique et croyons que l’amélioration continue de la conjoncture en Amérique du Nord génèrera, sur les marchés financiers, des occasions encore plus intéressantes, et ce, surtout pour les services de banque d’investissement. »

« Les résultats du groupe Gestion privée ont enregistré une forte progression depuis un an, ce qui a découlé de la meilleure tenue des marchés boursiers, de la hausse des niveaux d’actifs et des revenus provenant des activités d’assurance ainsi que de l’incidence des charges constatées l’exercice précédent en lien avec notre décision d’aider nos clients à composer avec un contexte difficile. Le revenu net s’établit à 113 millions de dollars, soit 45 millions ou 68 % de plus qu’à la même période de l’exercice précédent. Le ratio de productivité avant amortissement s’est encore amélioré, passant de 82,0 % un an plus tôt et de 74,0 % au trimestre précédent à 72,0 %. »

« Une reprise s’amorce sur le marché du Midwest américain et nous prévoyons que les entreprises commenceront à reconstituer leur capital et leurs stocks. Nous avons mis en œuvre une stratégie afin de tirer parti de ces circonstances uniques, lesquelles surviennent à un moment où nombre de nos concurrents semblent préoccupés par d’autres questions, et nous continuons d’élargir la portée de nos services aux entreprises. Nous avons commencé à analyser les besoins des clients de BMO Marchés des capitaux qui contractent des emprunts afin de repérer ceux qui bénéficieraient davantage d’un modèle de services bancaires aux entreprises. Nous transférerons leurs comptes de BMO Marchés des capitaux à PE États-Unis afin de mieux harmoniser nos ressources et notre capital et leurs besoins. Ainsi, nous pourrons servir une clientèle beaucoup plus vaste, à moindres coûts et de manière plus efficace, tout en augmentant la taille et la portée de nos services aux entreprises aux États-Unis. Cela permettra également à BMO Marchés des capitaux de se concentrer sur les occasions de prestation de services de banque d’investissement. Pour mettre les choses en perspective, précisons que ce transfert fera plus que doubler la taille du portefeuille de prêts aux entreprises de PE États-Unis. Ces changements intensifieront l’expansion qu’a récemment connue ce groupe d’exploitation, lequel a vu ses dépôts augmenter et ses activités d’octroi de prêts à la moyenne entreprise, de prêts hypothécaires et de prêts automobiles prendre de l’ampleur. »

« Bref, la situation financière de BMO est excellente et lui procure la marge de manœuvre dont elle a besoin pour recruter des clients et investir en vue de l’avenir. Nous prévoyons continuer d’innover et d’offrir les nouveaux produits et services que notre clientèle recherche, créant par le fait même une valeur durable pour elle ainsi que pour nos actionnaires », a ajouté M. Downe.

1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question du résultat par action (RPA) dans le présent document, il s’agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont exposés dans la section Mesures non conformes aux PCGR, à la fin du Rapport de gestion, où sont également expliqués ces mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR.

Revue des résultats des groupes d’exploitation

PE Canada
Le revenu net est élevé et atteint 403 millions de dollars, en hausse de 88 millions ou de 28 % depuis un an. Les revenus générés par les services aux particuliers, les services aux entreprises et les services de cartes ont tous progressé fortement, ce qui s’explique par l’élargissement des volumes de la plupart des produits et de la marge nette d’intérêts. L’essor des dépôts des particuliers et des entreprises a été particulièrement important. Une bonne croissance des revenus alliée à une gestion efficace des dépenses d’exploitation, ce qui n’a pas empêché des investissements en vue de l’avenir, se sont traduites par un excellent levier d’exploitation avant amortissement, soit 11,1 %.

Notre objectif est d’être la banque modèle en matière d’expérience client exceptionnelle, et notre clientèle nous confirme que nous sommes sur la bonne voie. Nous avons rétréci, comparativement à ce qu’il était il y a un an, l’écart entre nos taux de fidélité des particuliers et des entreprises et ceux du chef de file du secteur. Depuis cette période, le nombre moyen de catégories de produits qu’utilisent nos clients des services aux particuliers et aux entreprises a augmenté, ce qui reflète notre engagement à les écouter, à les comprendre et à bien les conseiller.

Pour ce qui est des services aux particuliers, nous continuons d’élargir et de rehausser notre réseau de succursales dans les marchés jugés prioritaires, de stimuler la croissance des revenus et d’accroître la fidélité de notre clientèle grâce à une utilisation efficace de notre excellent système de gestion du rendement. Au cours du trimestre à l’étude, nous avons inauguré trois nouvelles succursales, en avons réorganisé trois et en avons fermé une.

En ce qui concerne le secteur des services aux entreprises, nous avons lancé Les indispensables BMO Entreprises ainsi que la Formule futée BMO pour entreprise. Ces gammes offrent à ces clients des solutions conçues pour leur secteur d’activité et visent à combler leurs besoins spécifiques. Nous détenons toujours la deuxième part du marché canadien des prêts aux entreprises et notre but est de devenir la banque de choix des entreprises canadiennes. De plus, nous continuons de tirer parti de notre gamme intégrée de produits afin d’alimenter notre réussite dans le secteur des services aux moyennes entreprises.

Dans le secteur des cartes, nous sommes l’un des plus importants émetteurs de cartes MasterCard du Canada. Nous assurons la croissance de ce secteur grâce à une gestion prudente du crédit, et nos taux de pertes sur créances sont faibles en regard de ceux de nos pairs.

Le 31 décembre 2009, nous avons mené à terme l’acquisition de la franchise nord-américaine de Diners Club auprès de Citigroup. Diners Club est reconnu à l'échelle mondiale comme un prestigieux programme de cartes de dépenses de voyage et de représentation pour employés. La franchise nord-américaine bénéficie en outre de l’acceptation des cartes MasterCard partout dans le monde. Cette acquisition nous place parmi les principaux émetteurs de cartes d’entreprise en Amérique du Nord. Elle nous permet également de joindre nos forces à celles d’autres franchisés Diners Club partout dans le monde et ainsi d’offrir, à l’échelle internationale, un éventail haut de gamme de cartes de voyage et de représentation à nos clients multinationaux et de devenir un choix incontournable pour les entreprises nord-américaines.

PE États-Unis (tous les montants sont en dollars américains)
Le revenu net a fléchi de 12 millions de dollars ou de 43 % depuis un an, pour s’établir à 16 millions. Les revenus générés par l’élargissement des marges sur les prêts ont été plus qu’annulés par la contraction de celles sur les dépôts, par l’incidence accrue des prêts douteux depuis un an et par le fait qu’en 2009, la provision constituée au titre du litige impliquant Visa avait été réduite.

Après rajustement pour tenir compte de l’incidence des prêts douteux, le revenu net avant amortissement se chiffre à 35 millions de dollars et le ratio de productivité avant amortissement est de 72,1 %.

En 2010, nous veillerons à réaliser une croissance rentable des prêts et des dépôts tout en gérant efficacement nos frais. Depuis un an, les dépôts ont monté de 1,0 milliard de dollars ou de 5,2 %, ce qui est survenu surtout dans les comptes d’entreprise. Les volumes des nouveaux prêts hypothécaires et prêts automobiles demeurent élevés, chaque catégorie ayant augmenté de plus de 80 % depuis l’exercice précédent, ce qui reflète l’attention soutenue que nous lui accordons. Nos taux de pertes et de défaut des prêts à la consommation demeurent nettement inférieurs à ceux de nos concurrents.

Comme en témoignent nos taux élevés de fidélité de la clientèle, l’expérience client est toujours au cœur de nos préoccupations. Notre taux de recommandation net est de 40 pour le premier trimestre de 2010, contre 43 pour le quatrième trimestre de 2009. Ce taux demeure très élevé en comparaison de ceux de nos principaux concurrents.

Les lauréats des prix d’excellence Greenwich pour 2009 ont récemment été annoncés, et notre équipe des services bancaires aux entreprises a reçu plusieurs récompenses. Plus de 750 banques ont été évaluées en fonction d’entrevues menées auprès de plus de 13 000 clients. Ainsi, 33 et 43 banques, respectivement, ont été encensées pour la qualité de leurs services aux moyennes entreprises et aux petites entreprises. Notre secteur des services aux moyennes entreprises a obtenu un prix pour la satisfaction globale de sa clientèle, et ce, à l’échelle régionale et nationale. Quant à notre secteur des services aux petites entreprises, il s’est distingué sur le plan de la stabilité financière et de la gestion des relations à l’échelle nationale. Enfin, les services de gestion de la trésorerie de Harris ont mérité un prix d’excellence pour la satisfaction globale de sa clientèle à l’échelle régionale.

Groupe Gestion privée
Le revenu net du premier trimestre, d’un montant de 113 millions de dollars, a augmenté de 45 millions ou de 68 % depuis un an. L’acquisition de BMO Société d’assurance-vie a accru le revenu net de 7 millions.

Le revenu net du groupe Gestion privée, exclusion faite des activités d’assurance, est de 70 millions de dollars, en hausse de 34 millions ou de 93 % depuis un an. Les efforts déployés pour obtenir des actifs de nouveaux clients ainsi que l’amélioration continue des marchés boursiers ont permis aux revenus de ce groupe, exclusion faite de ceux d’assurance, de s’accroître de 11 %. Les résultats du même trimestre de l’exercice précédent tenaient compte d’une charge de 17 millions (11 millions après impôts) liée à la décision d’aider certains de nos clients américains à composer avec la mauvaise conjoncture en rachetant des titres à enchères qu’ils détenaient dans leur compte. Le revenu net des activités d’assurance se chiffre à 43 millions pour le trimestre à l’étude, en hausse de 11 millions ou de 38 % depuis un an, ce qui a résulté de l’acquisition de BMO Société d’assurance-vie et d’une croissance interne. Les actifs sous gestion et sous administration ont augmenté de 40 milliards de dollars ou de 18 %, après un rajustement visant à exclure l’incidence de la dépréciation du dollar américain.

Pour la quatrième année de suite, Dalbar Inc. a classé BMO Fonds d’investissement au premier rang des sociétés de fonds de placement canadiennes pour la qualité de ses services dans les deux langues officielles et a accordé à BMO Ligne d’action la deuxième place du secteur des services de courtage en direct.

Le groupe Gestion privée a lancé neuf nouveaux fonds négociables en bourse (FNB) BMO, dont trois de titres à revenu fixe, ainsi que des fonds liés à un pays ou à un secteur donné, tels la Chine et l’Inde, les services publics, les petites aurifères et les infrastructures mondiales. Cette importante expansion sur le marché des FNB porte à 22 le nombre de ceux que nous offrons et démontre notre intérêt envers ce secteur en croissance ainsi que notre engagement à fournir aux investisseurs un éventail complet de produits d’investissement.

BMO Marchés des capitaux
Comme le démontrent ses résultats du trimestre, BMO Marchés des capitaux a démarré l’exercice d’un bon pied. Le revenu net s’élève à 248 millions de dollars, soit 71 millions ou 40 % de plus qu’il y a un an. Les revenus se sont améliorés de 193 millions, pour se situer à 920 millions. L’attention continue que nous accordons à nos clients et le maintien d’une gamme d’activités diversifiée ont contribué à la réalisation de ces excellents résultats. Les activités de fusion et acquisition ainsi que de prise ferme de titres d’emprunt ont retrouvé leur élan grâce à de meilleures conditions de marché. Des gains sur les titres de placement ont été enregistrés alors que, au cours de l’exercice précédent, des charges importantes l’avaient été à cause de l’essoufflement des marchés financiers. La hausse des commissions sur prêts a été contrebalancée par le recul du revenu net d’intérêts lié aux services aux grandes entreprises, recul survenu en raison de la baisse des niveaux d’actifs. Les revenus de négociation avaient été élevés au premier trimestre de 2009 grâce à un contexte de négociation favorable, mais dans l’ensemble, les résultats à ce chapitre avaient été affaiblis par certaines charges liées à la conjoncture des marchés financiers. Le fait que la plus grande stabilité de ces marchés ait réduit les occasions et que les marges se soient contractées a eu pour conséquence de ramener, au premier trimestre de 2010, les revenus de négociation à des niveaux plus courants.

Au trimestre précédent, nous avons annoncé la conclusion d’un accord avec Paloma Securities en vue de l’embauche de son équipe mondiale de prêt de titres. Cette dernière, dont l’intégration a débuté en décembre 2009, nous permet d’élargir la portée de nos activités de prêt de titres en Amérique du Nord et nous offre une plateforme grâce à laquelle nous pourrons exploiter de nouvelles occasions de croissance.

BMO Marchés des capitaux a participé à 130 nouvelles émissions au cours du trimestre, soit 40 émissions de titres d’emprunt d’entreprises, 36 émissions de titres d’emprunt d’administrations publiques, six émissions d’actions privilégiées et 48 émissions d’actions ordinaires, pour un total de 53,7 milliards de dollars, soit 7,9 milliards de plus qu’au trimestre précédent.

Services d’entreprise
Les Services d’entreprise ont enregistré une perte de 124 millions de dollars pour le trimestre, ce qui s’explique principalement par les dotations à la provision pour pertes sur créances et par la faiblesse des revenus. Cette perte est toutefois de 245 millions inférieure à celle d’il y a un an. Les revenus se sont renforcés de 212 millions ou de 65 % en raison surtout du recul du portage négatif de certaines positions de taux d’intérêt d’actifs ou de passifs par suite des mesures prises par la direction et de la plus grande stabilité des marchés et parce que des gains d’évaluation à la valeur de marché sur les activités de couverture ont été enregistrés au cours du trimestre considéré, alors que des pertes l’avaient été au cours de l’exercice précédent. Ces facteurs ont été atténués par le recul des revenus de titrisation. Les dotations à la provision pour pertes sur créances ont baissé de 158 millions parce que des dotations moins élevées ont été imputées aux Services d’entreprise. Aux termes de la méthode que BMO utilise aux fins de la présentation de ses résultats sectoriels, les pertes sur créances prévues sont imputées aux groupes d’exploitation clients, et l’écart entre les pertes prévues et les pertes réelles est porté au débit (ou au crédit) des Services d’entreprise.

Mise en garde
Les sections précédentes renferment des déclarations prospectives. Voir la mise en garde concernant les déclarations prospectives.


Mise en garde concernant les déclarations prospectives

Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2010 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 32 et 33 du Rapport annuel 2009 de BMO, qui décrivent en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.

Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine ainsi qu’aux conditions de marché générales et à l’ensemble de leurs répercussions sur nos activités, incluant ce qui est décrit sous la rubrique intitulée Perspectives économiques et survol, sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l’établissement de nos priorités stratégiques, de nos objectifs et de nos attentes pour ce qui est de nos activités. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États Unis et leurs agences.


Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :

Les faits saillants financiers  
Rapport de gestion  
Les états financiers non vérifiés  

RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter notre Rapport annuel 2009, le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont également invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 2 mars 2010 à 14 h (HNE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 416-695-9753 (région de Toronto) ou au 1-888-789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L’enregistrement de la téléconférence sera accessible jusqu’au mardi 25 mai 2010, au 416-695-5800 (région de Toronto) ou au 1-800-408-3053 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d’accès 1645426).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au mardi 25 mai 2010.

Relations avec les médias
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, 416-867-3996
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, 514-877-1873

Relations avec les investisseurs
Viki Lazaris, première vice-présidente, viki.lazaris@bmo.com, 416-867-6656
Steven Bonin, directeur général, steven.bonin@bmo.com, 416-867-5452
Andrew Chin, directeur principal, andrew.chin@bmo.com, 416-867-7019

Chef des finances
Russel Robertson, chef des finances
russ.robertson@bmo.com, 416-867-7360

Secrétariat général
Blair Morrison, premier vice-président, conseil général délégué,
Affaires générales, et secrétaire général
corp.secretary@bmo.com, 416-867-6785


Assemblée annuelle de 2010
L’assemblée annuelle des actionnaires aura lieu le mardi 23 mars 2010, à 9 h 30 HAC (10 h 30 HAE) à Winnipeg, au Manitoba.

Pour plus de renseignements: