Un revenu net élevé reflète une saine croissance des revenus, car l’attention que BMO accorde à ses clients porte fruit, ainsi qu’une bonne gestion des frais
Le groupe Services bancaires Particuliers et entreprises – Canada a vu ses revenus et son revenu net enregistrer, une fois encore, une forte hausse et sa position concurrentielle se renforcer
À 12,24 %, le ratio du capital de première catégorie demeure solide
Points saillants des résultats financiers :
Quatrième trimestre de 2009 :
- Revenu net de 647 millions de dollars, pour une augmentation de 87 millions ou de 16 % par rapport à il y a un an
- Résultat par action1 (RPA) de 1,11 $ et RPA avant amortissement2 de 1,13 $, tous deux en hausse de 0,05 $ par rapport à la même période l’an dernier
- Progression des revenus de 6,3 % et baisse des frais de 2,2 % en regard des trois mois correspondants de l’exercice précédent
- Dotations à la provision pour pertes sur créances de 386 millions de dollars, soit 79 millions de moins qu’un an plus tôt. Au quatrième trimestre de 2008, la provision générale avait été haussée de 150 millions alors qu’aucun changement n’y a été apporté au cours du trimestre à l’étude.
Exercice 2009 :
- Revenu net de 1 787 millions de dollars, comparativement à 1 978 millions en 2008
- RPA de 3,08 $, contre 3,76 $ l’exercice précédent, et RPA avant amortissement de 3,14 $, comparativement à 3,83 $ l’exercice précédent
- Revenu avant les dotations à la provision pour pertes sur créances et les impôts sur les bénéfices de 3,7 milliards de dollars pour l’exercice 2009, contre 3,3 milliards l’exercice précédent
- Dotations à la provision pour pertes sur créances de 1 603 millions de dollars, soit des dotations à la provision spécifique de 1 543 millions et une augmentation de la provision générale de 60 millions, contre des dotations à la provision pour pertes sur créances de 1 330 millions l’exercice précédent, à savoir des dotations à la provision spécifique de 1 070 millions et une augmentation de la provision générale de 260 millions
- RPA avant amortissement rajusté2 de 4,02 $, exclusion faite de certaines charges liées à la conjoncture des marchés financiers et s’élevant à 355 millions de dollars après impôts (0,66 $ par action), des indemnités de licenciement de 80 millions après impôts (0,15 $ par action) au deuxième trimestre et d’une augmentation de la provision générale de 39 millions après impôts (0,07 $ par action) au troisième trimestre
Toronto, le 24 novembre 2009 – BMO Groupe financier a annoncé un revenu net de 647 millions de dollars, ou de 1,11 $ par action ordinaire, pour le quatrième trimestre terminé le 31 octobre 2009. Les services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada ont enregistré de très bons résultats, avec un revenu net de 394 millions de dollars, en hausse de 70 millions ou de 22 % par rapport à la même période l’an dernier.
Nous avons annoncé aujourd’hui un dividende de 0,70 $ par action ordinaire pour le premier trimestre de l’exercice 2010, soit le même montant que pour le trimestre précédent, ce qui correspond à un dividende annuel de 2,80 $ par action ordinaire.
« Créer une expérience client exceptionnelle signifie offrir des produits et des services qui reflètent réellement les préférences de nos clients, et ce, dans chacun des échanges que nous avons avec eux. C’est une approche qui, certes, exige de la rigueur, mais qui donne des résultats », a déclaré Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier. « Dans la dernière année, les particuliers et les entreprises ont eu plus que jamais besoin de savoir qu’ils pouvaient compter sur leur banquier. BMO les a épaulés, écoutés, aidés à comprendre les effets de la conjoncture sur leur situation et a travaillé avec eux afin qu’ils soient en mesure de tirer parti de la reprise. Ce faisant, nous avons recruté de nouveaux clients qui recherchaient une meilleure expérience bancaire. »
« PE Canada a connu un autre très bon trimestre, dégageant un revenu net de 394 millions de dollars, soit 22 % de plus qu’il y a un an. Le secteur des services bancaires aux entreprises a de nouveau affiché une forte croissance, ses revenus ayant progressé de 55 millions ou de 16 %. Notre part du marché des prêts à la petite et moyenne entreprise s’est élargie depuis un an. Les efforts que nous déployons pour nous rapprocher de nos clients et pour les aider à économiser et à choisir les produits qui leur conviennent le mieux portent fruit. Nous avons réussi à rétrécir, comparativement à ce qu’il était il y a un an, l’écart entre nos taux de fidélité des particuliers et des entreprises et ceux du chef de file du secteur. »
« Les résultats trimestriels de BMO Marchés des capitaux ont, eux aussi, été excellents. Même si le revenu net est comparable à celui dégagé un an plus tôt, il faut savoir que nous avions bénéficié dans cette période d’importants recouvrements d’impôts sur les bénéfices. Les revenus provenant des services bancaires aux grandes entreprises ainsi que les commissions de prise ferme ont augmenté. En 2009, la croissance des revenus a été soutenue, alors que celle des frais a été faible, ce qui témoigne d’une gestion rigoureuse. Le revenu net a bondi de 49 %, pour atteindre plus de 1 milliard de dollars. »
« Les revenus des secteurs d’activité du groupe Gestion privée ont, pour un deuxième trimestre d’affilée, enregistré une bonne progression, ce qui a découlé de la meilleure tenue des marchés boursiers et de l’attention accordée au recrutement de clients. Le revenu net a grandement augmenté en regard de la même période de l’exercice précédent, les résultats d’alors ayant été affaiblis par des charges liées à la conjoncture des marchés financiers, mais il a quelque peu baissé par rapport au troisième trimestre, période durant laquelle il avait été soutenu par un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures. Le revenu net des services bancaires aux particuliers aux États-Unis a été semblable à celui du troisième trimestre, mais supérieur à celui d’il y a un an. Les mesures que nous prenons pour élargir notre clientèle, nos dépôts et nos prêts rehaussent la réputation dont nous jouissons dans le Midwest américain, soit celle d’une banque véritablement à l’écoute de ses clients. »
« Les résultats de nos secteurs se sont renforcés au cours de l’exercice 2009, et nous avons réussi à hausser fortement nos revenus tout en gérant rigoureusement nos frais, la taille de notre effectif et les coûts imputables à nos fournisseurs de même qu’en trouvant d’autres façons de simplifier nos procédés. Nous entamons l’exercice 2010 forts d’un capital et de liquidités très élevés, mais surtout avec l’assurance que notre approche fait de nos clients de véritables ambassadeurs. Même si nous pensons que les pertes sur créances demeureront élevées au cours de l’exercice à venir, nous croyons être parfaitement en mesure de poursuivre notre croissance au fil de l’amélioration de la conjoncture », a ajouté M. Downe.
1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question du résultat par action (RPA) dans le présent document, il s’agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont exposés dans la section Mesures non conformes aux PCGR, à la fin du Rapport de gestion, où sont également expliqués ces mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Le RPA avant amortissement rajusté est également une mesure non conforme aux PCGR. Il y a lieu de se reporter à la section Éléments notables de même qu’à la section Mesures conformes aux PCGR et mesures connexes non conformes aux PCGR.
Revue des résultats des groupes d’exploitation
PE Canada
Le revenu net, fort élevé, s’établit à 394 millions de dollars, en hausse de 70 millions ou de 22 % depuis un an. Les revenus générés par les services aux particuliers, les services aux entreprises et les services de cartes ont tous progressé, ce qui s’explique principalement par l’élargissement des volumes de la plupart des produits et de la marge nette d’intérêts. L’essor des dépôts des particuliers et des entreprises a été particulièrement important. Une saine croissance des revenus et une gestion efficace des dépenses d’exploitation, laquelle n’a pas empêché des investissements en vue de l’avenir, se sont traduites par un excellent levier d’exploitation avant amortissement, soit 8,7 %.
Notre stratégie, c’est-à-dire veiller à créer une expérience client exceptionnelle et à améliorer la productivité, se révèle des plus efficaces. Nous avons réussi à rétrécir, comparativement à ce qu’il était il y a un an, l’écart entre nos taux de fidélité des particuliers et des entreprises et ceux du chef de file du secteur.
Pour ce qui est des services aux particuliers, nous mettons l’accent sur les gammes de produits qui reflètent les promesses de notre marque, telle la Formule futée BMO. Depuis le lancement de ce programme, plus de 100 000 clients ont profité d’au moins une astuce que nous leur proposons pour qu’ils puissent en faire plus avec leur argent durement gagné. La Trousse d’achat première maison, conçue à l’intention des acheteurs d’une première résidence et lancée en novembre 2008, s’est révélée très populaire et fort utile pour nos clients dans la dernière année. Nous continuons d’élargir et de rehausser notre réseau de succursales dans les marchés qui nous sont prioritaires ainsi que de stimuler la croissance du revenu et d’accroître la fidélité de la clientèle. Pour ce faire, nous utilisons efficacement un système de gestion du rendement qui a fait ses preuves. Au cours de l’exercice 2009, nous avons inauguré 12 nouvelles succursales, en avons réorganisé 20 et en avons fermé deux. Nous avons également fermé 93 succursales en magasin puisque nos clients préfèrent avoir accès à une gamme complète de services bancaires, dont des conseils professionnels et une capacité de gestion des relations, en un seul endroit et apprécient également la commodité de nos services bancaires en ligne.
Dans le secteur des services bancaires aux entreprises, notre objectif est de devenir la banque de choix des entreprises canadiennes. Nous détenons la deuxième part de ce marché. Forts de cette réalisation, nous augmentons nos revenus en procédant à des échanges enrichissants avec nos clients, en leur proposant des solutions d’affaires et personnelles qui leur conviennent parfaitement et en leur offrant une gamme complète de services. C’est pourquoi ils nous perçoivent comme un conseiller de confiance qui sait combler tous leurs besoins financiers.
Dans le secteur des cartes, nous sommes le plus important émetteur de cartes MasterCard du Canada. Nous avons simplifié et amélioré notre gamme de cartes de crédit en éliminant les frais annuels de 400 000 clients, en doublant les milles de récompense AIR MILES de 1,2 million d’autres et en proposant à l’ensemble de notre clientèle le meilleur éventail de produits qui soit. Nous assurons la croissance de ce secteur grâce à une gestion prudente du crédit, et notre taux de pertes sur créances est faible en regard de celui de nos pairs.
Aujourd'hui, nous avons annoncé la signature d'une convention définitive d'achat de la franchise nord-américaine de Diners Club de Citigroup, une transaction qui, lorsqu'elle sera conclue, fera plus que doubler le portefeuille de cartes d'entreprise de BMO. La transaction confère à BMO les droits exclusifs d'émission des cartes Diners Club aux entreprises et professionnels des États-Unis et du Canada, et ajoutera des sommes à recevoir d’un montant net de près de 1 milliard de dollars américains. Diners Club est reconnu à l'échelle mondiale comme programme de cartes de dépenses de voyage et de représentation pour employés de tout premier plan et la franchise nord-américaine bénéficiera en outre de l'acceptation de la carte MasterCard partout dans le monde. L'acquisition rehaussera immédiatement notre position concurrentielle en nous élevant parmi les principaux émetteurs de cartes d'entreprise en Amérique du Nord. La transaction, qui est assujettie à la satisfaction de certaines conditions de conclusion dont l'approbation réglementaire, devrait être conclue avant le 31 mars 2010.
PE États-Unis (tous les montants sont en dollars américains)
Le revenu net a augmenté de 12 millions de dollars depuis un an, pour s’établir à 23 millions. Les résultats ont bénéficié de réductions des coûts d’intégration et de changements dans la provision constituée au titre du litige impliquant Visa. La hausse des prêts douteux et les coûts de gestion de ce portefeuille ont réduit de 12 millions le revenu net du trimestre (9 millions il y a un an).
Après rajustement pour tenir compte de l’incidence des prêts douteux, des coûts d’intégration et de la provision constituée au titre du litige impliquant Visa, le revenu net avant amortissement se chiffre à 39 millions de dollars, ce qui inclut une charge au titre des indemnités de licenciement de 2,4 millions après impôts. Ce résultat se rapproche de celui des cinq derniers trimestres, où le revenu net avant amortissement ainsi calculé dépassait 40 millions.
Les dépôts se sont accrus de 1,5 milliard de dollars ou de 7,7 %. Cette hausse témoigne de notre souci d’offrir à la clientèle les bons produits et services. Dans les marchés de la région de Chicago, nous occupons toujours le deuxième rang pour ce qui est des dépôts des particuliers alors que les banques de réseau ont vu leur part de marché s’effriter.
Nous nous efforçons toujours de recruter de nouveaux clients des services aux particuliers et aux entreprises tout en continuant d’accorder des prêts et de fournir des services de dépôt à notre clientèle existante et de gérer étroitement nos frais. Le volume de nouveaux prêts hypothécaires a quelque peu fléchi au cours du trimestre, mais demeure élevé, le nombre d’acheteurs d’une première résidence ayant légèrement augmenté. Tel qu’en témoignent des taux de fidélité toujours élevés, nous nous efforçons constamment d’offrir à notre clientèle la meilleure expérience qui soit. Notre taux de recommandation net est de 44 pour 2009, contre 42 pour 2008, alors que les taux moyens des grandes banques qui nous font concurrence ont baissé. Grâce à ces efforts, nous serons en mesure de profiter pleinement de la reprise qui s’amorce.
Compte tenu du contexte économique qui a prévalu au cours de l’exercice 2009 et de son incidence sur nos portefeuilles de prêts, nous avons resserré nos procédés d’examen et de surveillance. En outre, nous avons doté de nouvelles compétences nos équipes chargées des prêts problèmes afin d’aider nos clients et d’assurer une gestion efficace des risques auxquels nous sommes exposés.
Groupe Gestion privée
Le revenu net du quatrième trimestre, d’un montant de 110 millions de dollars, a augmenté de 26 millions ou de 32 % depuis un an. Les résultats du même trimestre de l’exercice précédent tenaient compte de charges de 31 millions (19 millions après impôts) liées à la décision d’acheter certaines positions auprès de clients américains, les conditions de marché étant alors fort difficiles. L’acquisition de BMO Société d’assurance-vie a accru le revenu net de 9 millions. Les revenus des services de courtage ont fléchi, mais une gestion rigoureuse des frais a favorisé l’amélioration des résultats.
Le revenu net a baissé de 10 millions de dollars depuis le troisième trimestre. Les résultats de cette période tenaient compte d’un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures de 23 millions. Nos secteurs d’activité ont réussi, pour un deuxième trimestre de suite, à hausser leurs revenus de façon appréciable, car nous axons toujours nos efforts sur la prestation de services et de conseils dont la qualité est celle à laquelle notre clientèle s’attend, et ce, surtout dans la conjoncture actuelle.
Exclusion faite des activités d’assurance, le revenu net du groupe Gestion privée est de 69 millions de dollars, en hausse de 16 millions ou de 29 % depuis le troisième trimestre. Ses revenus ont progressé de 6,1 % car les marchés boursiers n’ont cessé de se redresser et nous avons tout mis en œuvre pour que de nouveaux clients nous confient leurs actifs. Les actifs sous gestion et sous administration ont monté de 9 milliards de dollars ou de 3,7 %.
Le revenu net des activités d’assurance se chiffre à 41 millions de dollars, soit 26 millions de moins qu’au troisième trimestre, ce qui est essentiellement imputable au recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures de 23 millions qui avait été constaté durant cette période.
Le groupe Gestion privée a annoncé l’élargissement de sa gamme de fonds indiciels négociables en bourse (FINB) en lançant neuf nouveaux fonds, ce qui en a porté le total à 13. Fidèles à notre engagement, qui est de proposer à notre clientèle l’éventail de produits et de solutions le plus vaste qui soit, de bien l’informer et de lui fournir un soutien en matière d’investissement, les FINB témoignent de notre désir de clarifier les questions d’argent afin que nos clients prennent des décisions qui ont du sens pour eux. BMO demeure la seule grande institution financière du Canada à offrir une gamme de FINB, lesquels constituent des véhicules de placement à faibles coûts qui sont faciles à comprendre et qui assurent une diversification des risques.
Dans son classement des courtiers en ligne pour 2009, The Globe and Mail a classé BMO Ligne d’action au premier rang des sociétés de courtage en ligne appartenant à une banque.
BMO Marchés des capitaux
Le revenu net du trimestre s’élève à 289 millions de dollars, soit environ le même montant qu’il y a un an. Cependant, les résultats du trimestre correspondant de l’exercice précédent avaient bénéficié d’un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures de 52 millions et d’une proportion plus élevée du revenu exonéré d’impôt. Aucune charge liée à la conjoncture des marchés financiers n’a été constatée pour le trimestre à l’étude alors qu’un an plus tôt, des gains et pertes en grande partie compensatoires avaient été enregistrés en lien avec l’état de ces marchés.
Les revenus du trimestre ont monté de 172 millions de dollars depuis un an, pour s’établir à 894 millions. Ceux générés par les services bancaires aux grandes entreprises ont fortement augmenté en raison surtout de la hausse des commissions sur prêts et du revenu net d’intérêts. Les commissions de prise ferme de titres de participation et de titres d’emprunt ont également progressé depuis un an. Quant aux revenus de négociation, ils ont fléchi en regard des trois mêmes mois de l’exercice 2008, mais les gains sur titres de placement ont monté.
Soucieux d’offrir à notre clientèle des services sur les marchés financiers mieux ciblés et mieux intégrés, nous avons annoncé le 16 novembre 2009 la conclusion d’un accord définitif avec Paloma Securities, L.L.C. en vue de l'embauche de son équipe de prêt de titres et de l'acquisition de l'actif utilisé dans ses activités de prêt de titres. L'ajout de cette équipe permettra à BMO Marchés des capitaux d’élargir la portée de ses activités de prêt de titres en Amérique du Nord. Cette opération, qui est assujettie à l’approbation des organismes de réglementation, devrait être conclue vers le milieu de décembre.
Notre engagement sans faille envers nos clients nous vaut de nombreux honneurs. Au cours du trimestre, FX Week a nommé BMO Marchés des capitaux meilleure banque pour les opérations de change en dollars canadiens dans le cadre de son classement annuel et le magazine European CEO a désigné ce groupe meilleure banque de change au Canada. En outre, par suite de son enquête annuelle sur les titres à revenu fixe au Canada, Greenwich Associates, société de recherche indépendante, nous a accordé la première place pour ce qui est de la part de marché et de la qualité des services de recherche.
BMO Marchés des capitaux a participé à 131 nouvelles émissions au cours du trimestre, soit 25 émissions de titres de créance d’entreprises, 27 émissions de titres de créance d’administrations publiques, huit émissions d’actions privilégiées et 71 émissions d’actions ordinaires, pour un total de 45,8 milliards de dollars, soit 4,8 milliards de moins qu’au trimestre précédent.
Services d’entreprise
La perte nette se chiffre à 171 millions de dollars pour le trimestre, perte dont environ les deux tiers résultent des dotations à la provision pour pertes sur créances et le solde, de la faiblesse des revenus. La perte nette a grandement diminué depuis le troisième trimestre, et les revenus se sont nettement améliorés. Les dotations à la provision pour pertes sur créances ont été inférieures à celles du trimestre précédent.
La perte nette se situe à 171 millions de dollars pour le trimestre, comparativement à une perte nette de 150 millions un an plus tôt. Le recul des revenus a été compensé en partie par la diminution des dotations à la provision pour pertes sur créances. Grâce, notamment, aux mesures de la direction et à des conditions de marché plus stables, le revenu net d’intérêts et le revenu net des Services d’entreprise se sont accrus au cours de chaque trimestre de 2009.
Aux termes de la méthode que BMO utilise aux fins de la présentation des résultats sectoriels, les pertes sur créances prévues sont imputées chaque trimestre aux groupes d’exploitation en fonction de leur quote-part de ces pertes. L’écart entre les charges trimestrielles calculées selon les pertes prévues et les dotations à la provision trimestrielles fondées sur les pertes réelles est porté au débit (ou au crédit) des Services d’entreprise.
Mise en garde
Les sections précédentes renferment des déclarations prospectives. Voir la mise en garde concernant les déclarations prospectives.
Objectifs de rendement à moyen terme
Les objectifs à moyen terme de BMO consistent à accroître, au fil du temps, le RPA de 10 % en moyenne par année, d’obtenir un RCP annuel moyen allant de 17 % à 20 %, de réaliser un levier d’exploitation avant amortissement annuel moyen d’au moins 2 points de pourcentage et de conserver un solide capital réglementaire.
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2009 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.
Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 30 et 31 du Rapport annuel 2008 de BMO, qui décrivent en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur nos résultats futurs. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.
Les hypothèses relatives aux ventes d’actifs, aux prix de vente prévus pour les actifs, au coût net de mobilisation des fonds, à la qualité du crédit et au risque de défaillance et de pertes sur défaillance des actifs sous-jacents des entités de gestion de placements structurés sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos attentes concernant les entités de gestion de placements structurés dont il est question dans le présent document, y compris le montant qui pourrait être retiré en vertu des facilités de trésorerie fournies par BMO et la perspective que la protection de premier niveau fournie par les billets de capital subordonnés dépasse les pertes futures. Selon certaines de nos principales hypothèses, les actifs continueront à être vendus dans le but de réduire la taille des entités de gestion de placements structurés, selon diverses hypothèses de prix d’actifs, et le niveau des défauts et des pertes sera conforme à la qualité du crédit des actifs sous-jacents et à nos attentes actuelles concernant la persistance des difficultés sur les marchés.
Les hypothèses relatives au niveau des défauts et aux pertes en cas de défaut sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos attentes concernant les résultats futurs des transactions que Apex Trust a conclues. Selon certaines de nos principales hypothèses, le niveau des défauts et les pertes en cas de défaut seraient comparables à ceux de l’expérience historique. En établissant nos attentes concernant le risque de perte sur créances lié à Apex Trust dans l’avenir et le risque de perte pour BMO, nous avons tenu compte de facteurs importants dont la diversification sectorielle, la qualité initiale du crédit de chaque portefeuille, la protection de premier niveau intégrée à la structure ainsi que des couvertures que BMO a mises en place.
Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine ainsi qu’aux conditions de marché générales et à l’ensemble de leurs répercussions sur nos activités, incluant ce qui est décrit sous la rubrique Perspectives économiques, sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l’établissement de nos priorités stratégiques, de nos objectifs et de nos attentes pour ce qui est de nos activités. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États Unis et leurs agences.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
Les faits saillants financiers |
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Rapport de gestion |
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Les états financiers non vérifiés |
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RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS
Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs.
Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont également invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 24 novembre 2009 à 14 h 00 (HNE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 416-695-9753 (région de Toronto) ou au 1-888-789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L’enregistrement de la téléconférence sera accessible jusqu’au lundi 1er mars 2010, au 416-695-5800 (région de Toronto) ou au 1-800-408-3053 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d’accès 3278113).
La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au lundi 1er mars 2010.
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Assemblée annuelle de 2010
La prochaine assemblée annuelle des actionnaires aura lieu le mardi 23 mars 2010 à Winnipeg, au Manitoba.