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Communiqués de presse

Rapport du centre info-retraite de BMO sur les dons de bienfaisance : les baby-boomers canadiens ont donné moins durant la récession, mais ils prévoient se rattraper au cours des cinq prochaines années  

 

MONTRÉAL, le 12 novembre 2009 – La plupart des baby-boomers canadiens, soit 82 pour cent, prévoient augmenter, ou au moins maintenir, les sommes qu’ils versent à des organismes caritatifs au cours des cinq prochaines années, la majorité affirmant qu’ils le feront peu importe la situation économique. Cependant, la moitié d’entre eux sont seulement « quelque peu satisfaits » de leurs habitudes actuelles en matière de générosité. Voilà ce qui ressort d’un nouveau rapport publié aujourd’hui par le Centre Info-retraite de BMO, et intitulé The Evolution of Giving: From charity to philanthropy.

Aujourd’hui, les baby-boomers souhaitent avoir leur mot à dire, et pouvoir exercer un certain contrôle, sur la façon dont sont utilisées leurs contributions. Contrairement à leurs parents, qui avaient tendance à faire un legs à leur décès, les baby-boomers donnent tout au long de leur vie, de façon à voir quelle est l’influence de leurs dons. Mais seulement un pour cent des répondants ont admis faire appel à un conseiller financier pour la planification de leurs dons.

« Afin d’exercer toute l’influence que souhaitent les baby-boomers, faire des dons de bienfaisance demande autant de planification que d’épargner », a expliqué Tina Di Vito, directrice générale, Stratégies de retraite, BMO Groupe financier. « Un conseiller financier est en mesure d’aider à prendre des décisions éclairées en matière de philanthropie, et de s’assurer que les rêves de ceux qui donnent se réalisent, durant leur vie, mais aussi par la suite. »

« Les baby-boomers nous disent qu’ils veulent profiter d’une plus grande transparence lorsqu’ils font preuve de générosité », a déclaré Marvi Ricker, vice-présidente et directrice générale, Services conseils en philanthropie, BMO Banque privée Harris. « Ils nous ont dit qu’ils seraient davantage satisfaits s’ils connaissaient l’influence de leurs contributions, et s’ils avaient l’assurance que leur argent soit utilisé de façon avisée et efficace. Ils s’impliquent davantage sur le plan personnel, et souhaitent voir des résultats. »

Il s’agit résolument d’un changement d’attitude, selon Mme Di Vito. « Les baby-boomers, qui représentent près d’un Canadien sur trois, pourraient être la génération phare du changement social, provoquant la transition d’une nation de généreux donateurs (des gens qui se contentent d’envoyer des chèques à des organismes caritatifs) vers une nation de philanthropes engagés et tournés vers le long terme. »

Le rapport a révélé un certain nombre de points :

  • pour 68 pour cent des répondants, la raison principale de leur générosité est « De faire une différence pour une cause en laquelle je crois »;
  • la majorité des répondants, soit 94 pour cent, ont indiqué qu’il était important pour eux de donner à des organismes soutenant des causes locales;
  • près d’un répondant sur trois ayant donné de l’argent à un organisme caritatif au cours des 12 derniers mois a également pris part à des campagnes de financement ou à des activités bénévoles pour un organisme.

À propos du Centre Info-retraite de BMO

Le Centre Info-retraite de BMO, mis en place au mois d’avril 2008, propose conseils et stratégies financières à ceux qui planifient leur retraite ou qui sont déjà retraités. Le Centre a été mis en place afin d’aider les préretraités à simplifier les relations complexes qui existent entre les finances personnelles, les relations interpersonnelles et le style de vie à la retraite. N’hésitez pas à communiquer avec le Centre Info-retraite par courriel, à l’adresse bmo.retirementinstitute@bmo.com, ou à consulter le site Internet du Centre, à l’adresse www.bmo.com/retraiteavotreimage, pour obtenir un exemplaire du rapport.

À propos du rapport du Centre Info-retraite de BMO

Le sondage a été effectué à la fin du mois d’août 2009, auprès de répondants âgés de 45 et plus, qui disposent d’un patrimoine familial de plus de 50 000 $, et qui ont donné de l’argent à des organismes de bienfaisance au cours des 12 derniers mois.

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