BMO Groupe financier annonce de bons résultats pour le troisième trimestre ainsi qu’un montant record de revenus
Les revenus et le revenu net des Services bancaires Particuliers et entreprises – Canada sont toujours en forte progression
Tirant parti de la diversification de ses services et d’occasions sur le marché, les activités de BMO Marchés des capitaux enregistrent une excellente performance
Déjà élevé, le ratio du capital de première catégorie grimpe à 11,71 %
Points saillants des résultats financiers :
Comparaison des résultats du troisième trimestre de 2009 avec ceux du troisième trimestre de 2008
- Revenu net de 557 millions de dollars, en hausse de 36 millions ou de 6,9 % par rapport à il y a un an.
- Résultat par action1 (RPA) de 0,97 $ et RPA avant amortissement2 de 0,98 $, en baisse de 0,01 $ et de 0,02 $, respectivement, par rapport à la même période l’an dernier.
- RPA avant amortissement rajusté2 de 1,05 $, exclusion faite d’une hausse de 39 millions de dollars après impôts de la provision générale (0,07 $ par action).
- Dotations à la provision pour pertes sur créances de 417 millions de dollars, soit des dotations à la provision spécifique de 357 millions et des dotations à la provision générale de 60 millions, comparativement à des dotations totalisant 484 millions et composées de dotations à la provision spécifique de 434 millions et de dotations à la provision générale de 50 millions un an plus tôt.
- Déjà élevé, le ratio du capital de première catégorie de BMO grimpe à 11,71 %.
Comparaison des résultats des neuf premiers mois de 2009 avec ceux des neuf premiers mois de 2008
- Revenu net de 1 140 millions de dollars, comparativement à 1 418 millions en 2008.
- RPA de 1,97 $, contre 2,70 $, et RPA avant amortissement de 2,01 $, comparativement à 2,75 $.
- RPA avant amortissement rajusté de 3,07 $, exclusion faite des charges liées à la conjoncture des marchés financiers de 439 millions de dollars après impôts (0,84 $ par action) des premier et deuxième trimestres, des indemnités de licenciement de 80 millions après impôts (0,15 $ par action) du deuxième trimestre et des dotations à la provision générale de 39 millions après impôts (0,07 $ par action) du troisième trimestre.
Toronto, le 25 août 2009 – BMO Groupe financier a annoncé un revenu net de 557 millions de dollars, ou de 0,97 $ par action ordinaire, pour le troisième trimestre terminé le 31 juillet 2009. Les services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada ont enregistré de solides résultats, avec un revenu net de 356 millions de dollars, en hausse de 41 millions ou de 13 % par rapport à la même période l’an dernier, et le revenu net de BMO Marchés des capitaux a progressé de 80 millions, ou de 30 %, pour atteindre 343 millions.
Nous avons annoncé aujourd’hui un dividende de 0,70 $ par action ordinaire pour le quatrième trimestre, soit le même montant que pour le trimestre précédent, ce qui correspond à un dividende annuel de 2,80 $ par action ordinaire.
« Les mesures instaurées au cours des trois dernières années pour renforcer nos activités de base ainsi que les efforts déployés pour consolider notre présence sur le marché et nous y démarquer se traduisent par un revenu net et des dividendes », a déclaré Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier. « Notre stratégie, c’est-à-dire proposer à nos clients des produits et services de qualité qui les aident à clarifier les questions d’argent et de placement pour qu’ils prennent des décisions qui ont du sens pour eux, donne d’excellents résultats. »
« PE Canada a connu un très bon trimestre, dégageant un revenu net de 356 millions de dollars, soit 13 % de plus qu’il y a un an. Avec une hausse de ses revenus de 17 % et l’augmentation, à plus de 20 %, de sa part du marché des prêts à la petite et moyenne entreprise, le secteur des services bancaires aux entreprises a connu une croissance particulièrement remarquable. Nos taux de fidélité de la clientèle des services bancaires aux particuliers ne cessent de monter d’une année à l’autre et, plus important encore, nos clients sont pour nous de véritables ambassadeurs. Également, en annonçant récemment les lauréats de ses prix des meilleurs services bancaires pour 2009, l’institut d’études de marché international Synovate a reconnu que la Banque de Montréal était celle qui, des cinq grandes banques, avait le plus amélioré la qualité de ses services, lui décernant trois prix, dont celui de l’excellence des services en succursale. La performance de BMO Marchés des capitaux est elle aussi digne de mention puisque, conjuguée à une position fort solide sur le plan de la trésorerie et du capital, la faiblesse des taux d’intérêt lui a permis d’exploiter de nombreuses occasions d’affaires. Les revenus de négociation ont fortement augmenté depuis un an, tout comme l’a fait le revenu net d’intérêts des services bancaires aux grandes entreprises. Les résultats du groupe Gestion privée ont eux aussi été supérieurs à ceux du deuxième trimestre puisque les revenus provenant des courtiers et les actifs des fonds d’investissement se sont accrus à la faveur d’un redressement des marchés boursiers. Les taux de fidélité de nos clients des services bancaires aux particuliers offerts aux États-Unis demeurent élevés alors que ceux de nos concurrents fléchissent. Nos pertes sur prêts sont inférieures à la moyenne de notre groupe de référence, et notre taux de maintien des dépôts qui arrivent à échéance est excellent, ce qui témoigne de notre souci d’offrir à la clientèle des produits et services qui lui conviennent parfaitement. »
« Dans l’ensemble, nos groupes d’exploitation ont connu un bon trimestre. Il devient manifeste que les problèmes économiques s’estompent et que, peu à peu, la situation redevient plus normale. BMO sera parfaitement en mesure de poursuivre sa croissance au fil de l’amélioration de la conjoncture », a ajouté M. Downe.
1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question du résultat par action (RPA) dans le présent document, il s’agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont exposés dans la section Mesures non conformes aux PCGR, à la fin du Rapport de gestion, où sont également expliqués ces mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Le RPA avant amortissement rajusté est également une mesure non conforme aux PCGR. Il y a lieu de se reporter à la section Éléments notables de même qu’à la section Mesures non conformes aux PCGR.
Revue des résultats des groupes d’exploitation
PE Canada
Le revenu net s’établit à 356 millions de dollars, en hausse de 41 millions ou de 13 % depuis un an. Les revenus des services aux particuliers, des services aux entreprises et des services de cartes ont tous progressé, ce qui s’explique principalement par l’augmentation des volumes de la plupart des produits et l’amélioration de la marge nette d’intérêts. Nous continuons d’obtenir d’excellents résultats en dépit de conditions de marché plutôt difficiles.
Aider notre clientèle à opter pour les meilleures solutions qui soient dans le contexte économique actuel, tel est notre engagement. C’est également ainsi que nous continuons de rétrécir, comparativement à il y a un an, l’écart entre nos taux de fidélité des particuliers et des entreprises et ceux du chef de file du secteur.
Pour ce qui est des services aux particuliers, les efforts déployés pour rehausser la gestion du rendement, les investissements dans le réseau de succursales et le lancement de nouveaux produits ont permis d’accroître les revenus et d’accélérer la croissance des produits de dépôt. Au cours du trimestre, nous avons lancé la Formule futée BMO pour aider nos clients à épargner, à emprunter judicieusement et à gérer leurs affaires financières grâce à des astuces fort simples. Depuis le début de l’exercice, nous avons inauguré huit nouvelles succursales, en avons réorganisé cinq et en avons rénové trois. Nous avons également fermé 88 succursales en magasin car nos clients préfèrent avoir accès à une gamme complète de services bancaires, dont des conseils professionnels et une capacité de gestion des relations, en un seul endroit et apprécient également la commodité de nos services bancaires en ligne.
Dans le secteur des services bancaires aux entreprises, nous gardons le cap sur notre objectif, soit devenir la banque de choix des entreprises canadiennes. Nous détenons la deuxième part de ce marché au Canada. BMO continue de donner à sa clientèle formée de petites et moyennes entreprises un accès au crédit. Même si la croissance des prêts a été pour ainsi dire inexistante, nous avons accru notre part de marché de 21 points de base depuis un an et de 13 points de base depuis le trimestre précédent, la portant ainsi à 20,1 %.
Nous élargissons également nos activités de cartes tout en faisant preuve de la prudence que commandent les conditions de crédit actuelles. Nous avons simplifié et rehaussé notre gamme de cartes de crédit en éliminant les frais annuels de 400 000 clients et en doublant les milles de récompense AIR MILES de 1,2 million d’autres clients. Pour la quatrième année consécutive, notre groupe a reçu le Global Quality Standards Platinum Award, prix décerné par MasterCard Worldwide pour souligner une performance supérieure dans les principaux secteurs qui influent sur l’expérience client lors des achats.
Au cours du troisième trimestre, les activités de placements à terme ont été intégrées à PE Canada, ce qui reflète plus fidèlement la stratégie de ce groupe en matière de produits destinés aux particuliers. Parallèlement, toutes les activités d’assurance de BMO sont désormais menées par le groupe Gestion privée.
PE États-Unis (tous les montants sont en dollars américains)
Le revenu net s’établit à 23 millions de dollars, en baisse de 5 millions ou de 16 % par rapport à la même période l’an dernier. Le revenu net avant amortissement s’élève à 29 millions, ce qui traduit un recul de 6 millions ou de 15 %. Les résultats ont bénéficié de l’élargissement des marges sur les prêts et du maintien des dépôts ainsi que de la hausse des gains sur les ventes de prêts hypothécaires.
Le revenu net avant amortissement, calculé de manière à tenir compte d’un rajustement au titre de l’incidence des prêts douteux, des coûts d’intégration et des gains et charges liés à Visa, a dépassé 40 millions de dollars dans les cinq derniers trimestres et atteint un sommet de 43 millions pour le trimestre à l’étude.
Depuis le deuxième trimestre, le revenu net a monté de 2 millions de dollars ou de 16 %, de meilleurs écarts de taux des prêts ayant élargi la marge nette d’intérêts.
Les prêts douteux ont augmenté tout comme l’ont fait les frais de gestion de ce portefeuille, ce qui a réduit le revenu net du trimestre de 13 millions de dollars, comparativement à 5 millions il y a un an.
Les revenus ont fléchi de 1 million de dollars ou de 0,5 % en regard de ceux de la même période de 2008. Abstraction faite de l’incidence du portefeuille de prêts douteux, les revenus se sont accrus de 8 millions ou de 3,3 %, ce qui a découlé en grande partie des gains sur les ventes de prêts hypothécaires. Depuis un an, la marge nette d’intérêts s’est élargie grâce aux nouveaux dépôts et aux mesures d’établissement des prix.
Nous nous efforçons toujours de recruter de nouveaux clients des services aux particuliers et aux entreprises, et nous continuons d’accorder des prêts et de fournir des services de dépôt à notre clientèle, tout en gérant nos frais. Ces efforts devraient nous permettre de tirer pleinement parti de la fin de la présente récession. Le volume de nouveaux prêts hypothécaires est élevé et la majorité d’entre eux est vendue sur le marché secondaire. Nous avons aboli les prêts sur valeur domiciliaire assortis d’une quotité de financement élevée. Nous avons amélioré notre processus d’examen de la qualité des prêts destiné aux groupes chargés du montage de prêts, avons instauré une nouvelle stratégie de gestion de la gamme de prêts dont le ratio de quotité de financement est élevé et avons peaufiné nos méthodes de surveillance. En ce qui concerne les dépôts, nous enregistrons d’excellents taux de maintien de ceux qui arrivent à échéance, ce qui reflète notre souci d’offrir à la clientèle les bons produits et services.
Le centre d’appels Harris a récemment obtenu l’accréditation de centre d’excellence de la part du Center for Customer-Driven Quality (CCDQ) de Purdue University, ce qui constitue une remarquable réalisation. En effet, le CCDQ, chef de file reconnu de l’évaluation du rendement et de l’attestation des centres d’appels, ne décerne cette accréditation qu’à seulement 10 % de ceux qui en font la demande.
Notre taux de recommandation net, qui constitue une mesure de la fidélité de la clientèle, est toujours élevé et stable alors que celui de plusieurs de nos concurrents fléchit.
Groupe Gestion privée
Depuis le troisième trimestre, toutes les activités d’assurance de BMO sont désormais menées par le groupe Gestion privée, ce qui renforce l’orientation de notre stratégie de gestion de patrimoine et intègre notre capacité en matière d’assurance et les compétences qui caractérisent déjà ce groupe. Concurremment, les activités de placement à terme ont été transférées à PE Canada, reflétant ainsi plus fidèlement sa stratégie de produits destinés aux particuliers.
Le revenu net du trimestre s’établit à 120 millions de dollars, en hausse de 42 millions ou de 54 % par rapport à celui du deuxième trimestre. Tous nos secteurs d’activité ont réussi à hausser leurs revenus car nous axons toujours nos efforts sur la prestation de services et de conseils dont la qualité est celle à laquelle notre clientèle s’attend, et ce, surtout dans la conjoncture actuelle.
Exclusion faite des activités d’assurance, le revenu net du groupe Gestion privée a été de 53 millions de dollars, en hausse de 6 millions ou de 14 % depuis le deuxième trimestre, ses revenus ayant progressé de 8,3 % à la faveur de marchés boursiers plus propices et des efforts consentis à l’obtention de nouveaux actifs de clients. Les actifs sous gestion et sous administration ont monté de 6 milliards de dollars ou de 2,7 %, et de 6,5 % dans leur monnaie d’origine.
Le revenu net des activités d’assurance a été de 67 millions de dollars, incluant un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures de 23 millions. L’acquisition de BMO Société d’assurance-vie a accru le revenu net de 3 millions puisque, pour le trimestre précédent, seulement un mois de son revenu net avait été pris en compte.
Pour le troisième trimestre, le revenu net du groupe Gestion privée a fléchi de 5 millions de dollars ou de 4,2 % en regard d’il y a un an à cause de la mollesse des marchés boursiers et de la faiblesse des taux d’intérêt. Le revenu net de la période à l’étude a été soutenu par un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures ainsi que par l’acquisition de BMO Société d’assurance-vie.
Le groupe Gestion privée a fait son entrée sur le marché des fonds indiciels négociables en bourse (FINB) en lançant quatre de ces fonds au cours du trimestre, l’objectif étant d’accroître le nombre de solutions d’investissement offertes à notre clientèle. Nous sommes ainsi devenus la seule grande institution financière du Canada à offrir une gamme de FINB, lesquels constituent des véhicules de placement à faibles coûts qui sont faciles à comprendre et qui assurent une diversification des risques. Nos premiers FINB procurent aux épargnants des bases à partir desquelles ils peuvent bâtir un portefeuille bien diversifié et comprennent le FINB BMO obligations de l’État canadien, le FINB BMO Dow Jones Canada Titans 60, le FINB BMO Actions américaines et le FINB BMO Dow Jones DiamondsMS.
BMO Marchés des capitaux
Le revenu net du trimestre est de 343 millions de dollars, en hausse de 80 millions ou de 30 % par rapport à celui du trimestre correspondant de l’exercice précédent. Aucune charge liée à la conjoncture des marchés financiers n’a été désignée comme élément notable dans le trimestre à l’étude en raison des montants relativement peu élevés en cause. Les résultats de la même période de l’exercice précédent avaient été affaiblis par un montant net de 14 millions qui tenait compte de charges de 134 millions (96 millions après impôts) liées à la conjoncture des marchés financiers, tel qu’il est décrit dans la section Éléments notables à la fin du Rapport de gestion, ainsi que d’un recouvrement d’impôts sur les bénéfices de périodes antérieures de 82 millions.
La forte amélioration du rendement depuis la période correspondante de l’exercice précédent a résulté entre autres de la hausse appréciable des revenus de négociation ainsi que de la meilleure performance des services bancaires aux grandes entreprises. Les résultats du trimestre témoignent de la vigueur et de la résilience de nos activités de base et démontrent les avantages d’un portefeuille dynamique et diversifié. L’essor des commissions de prise ferme de titres de créance au Canada et des revenus générés par le secteur des finances publiques aux États-Unis illustre avec brio la grande diversité de nos activités. Nous continuons d’étendre notre réseau de services aux États-Unis sur le plan des produits financiers et des distributeurs tiers, ce qui stimule les revenus.
BMO Marchés des capitaux a participé à 115 nouvelles émissions au cours du trimestre, soit 33 émissions de titres de créance d’entreprises, 29 émissions de titres de créance d’administrations publiques, 48 émissions d’actions ordinaires et cinq émissions d’actions privilégiées, pour un total de 50,6 milliards de dollars, soit 3,5 milliards de plus qu’au trimestre précédent.
Services d’entreprise
La perte nette s’est chiffrée à 287 millions de dollars pour le trimestre, perte dont environ la moitié a résulté des dotations à la provision pour pertes sur créances et le solde, surtout de la faiblesse des revenus. La perte nette a diminué depuis le deuxième trimestre grâce essentiellement au fait que des charges au titre des indemnités de licenciement avaient été constatées dans cette période. Le revenu net d’intérêts s’est grandement renforcé en raison notamment des mesures prises par la direction pour réduire le portage négatif de certaines positions de taux d’intérêt d’actifs ou de passifs et de positions de trésorerie ainsi que de conditions de marché plus stables. Le total des revenus a légèrement baissé, le revenu autre que d’intérêts s’étant affaibli à cause principalement du recul des revenus de titrisation et des pertes découlant de l’évaluation à la valeur de marché sur certaines activités de couverture, alors que des gains avaient été enregistrés au deuxième trimestre. Comme il fallait s’y attendre, le portefeuille de prêts continue d’être touché par l’évolution négative du risque de crédit mais, dans plusieurs segments, le rythme de cette évolution ralentit.
Aux termes de la méthode que BMO utilise aux fins de la présentation des résultats sectoriels, les pertes sur créances prévues sont imputées chaque trimestre aux groupes d’exploitation en fonction de leur quote-part de ces pertes pour un cycle économique. L’écart entre les charges trimestrielles calculées selon les pertes prévues et les dotations à la provision trimestrielles requises d’après les pertes réelles est porté au débit (ou au crédit) des Services d’entreprise.
Cette section contient des déclarations prospectives. Voir la mise en garde concernant les déclarations prospectives.
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2009 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.
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Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 30 et 31 du Rapport annuel 2008 de BMO, qui décrivent en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur nos résultats futurs. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.
Les hypothèses relatives aux ventes d’actifs, aux prix de vente prévus pour les actifs, au coût net de mobilisation des fonds, à la qualité du crédit et au risque de défaillance et de pertes sur défaillance des actifs sous-jacents des entités de gestion de placements structurés sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos attentes concernant les entités de gestion de placements structurés dont il est question dans le présent document, y compris le montant qui pourrait être retiré en vertu des facilités de trésorerie fournies par BMO et la perspective que la protection de premier niveau fournie par les billets de capital subordonnés dépasse les pertes futures. Selon certaines de nos principales hypothèses, les actifs continueront à être vendus dans le but de réduire la taille des entités de gestion de placements structurés, selon diverses hypothèses de prix d’actifs et le niveau des défauts et des pertes sera conforme à la qualité du crédit des actifs sous-jacents et à nos attentes actuelles concernant la persistance des difficultés sur les marchés.
Les hypothèses relatives au niveau des défauts et aux pertes en cas de défaut sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos attentes concernant les résultats futurs des transactions que Apex Trust a conclues. Selon certaines de nos principales hypothèses, le niveau des défauts et les pertes en cas de défaut seraient comparables à ceux de l’expérience historique. En établissant nos attentes concernant le risque de pertes sur créances lié à Apex Trust dans l’avenir, nous avons tenu compte de facteurs importants dont la diversification sectorielle, la qualité initiale du crédit de chaque portefeuille et la protection de premier niveau intégrée à la structure.
Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine ainsi qu’aux conditions de marché générales et à l’ensemble de leurs répercussions sur nos activités, incluant ce qui est décrit sous la rubrique Perspectives économiques, sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l’établissement de nos priorités stratégiques, de nos objectifs et de nos attentes pour ce qui est de nos activités. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États Unis et leurs agences.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
Les faits saillants financiers |
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Rapport de gestion |
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Les états financiers non vérifiés |
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Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
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