Sauter la navigation
Show
Navigation ignorée

Communiqués de presse

BMO Groupe financier annonce des résultats satisfaisants pour ses activités de base compte tenu de la conjoncture actuelle du marché  

Les revenus et le revenu net des Services bancaires Particuliers et entreprises - Canada continuent d’afficher une forte progression

Vigoureuse performance sous-jacente des activités de BMO Marchés des capitaux

Déjà élevé, le ratio du capital de première catégorie de BMO grimpe à 10,70 %


Points saillants des résultats financiers :

Comparaison des résultats du deuxième trimestre de 2009 avec ceux du deuxième trimestre de 2008

  • Revenu net de 358 millions de dollars, en baisse de 284 millions par rapport au niveau d’il y a un an.
  • Résultat par action1 (RPA) de 0,61 $ et RPA avant amortissement2 de 0,63 $, en baisse de 0,64 $ et de 0,63 $, respectivement, par rapport à la même période l’an dernier.
  • RPA avant amortissement rajusté2 de 0,93 $, exclusion faite des charges liées à la conjoncture des marchés financiers, d’un montant de 80 millions de dollars (0,15 $ par action) après les impôts et des indemnités de licenciement de 80 millions de dollars (0,15 $ par action) après les impôts.
  • Dotations à la provision pour pertes sur créances de 372 millions de dollars, en hausse de 221 millions par rapport à la même période l’an dernier.
  • Déjà élevé, le ratio du capital de première catégorie de BMO grimpe à 10,70 %

Comparaison des résultats du premier semestre de 2009 avec ceux du premier semestre de 2008

  • Revenu net de 583 millions de dollars, comparativement à 897 millions de dollars en 2008.
  • RPA de 1,00 $ comparativement à 1,72 $ et RPA avant amortissement de 1,03 $ comparativement à 1,75 $.
  • RPA avant amortissement rajusté2 de 2,02 $, exclusion faite des charges liées à la conjoncture des marchés financiers, d’un montant de 439 millions de dollars (0,84 $ par action) après les impôts et des indemnités de licenciement de 80 millions de dollars (0,15 $ par action) après les impôts.

 

1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question du résultat par action (RPA) dans le présent document, il s’agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont exposés dans la section Mesures non conformes aux PCGR, à la fin du rapport de gestion, où sont également expliqués ces mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Le RPA avant amortissement rajusté est également une mesure non conforme aux PCGR. Il y a lieu de se reporter à l’information présentée à la section Incidence de la conjoncture des marchés financiers sur les résultats du deuxième trimestre de même qu’à la section Mesures non conformes aux PCGR.

 

Toronto, le 26 mai 2009 – BMO Groupe financier a annoncé un revenu net de 358 millions de dollars, ou de 0,61 $ par action, pour le deuxième trimestre terminé le 30 avril 2009. Les services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada ont enregistré d’excellents résultats, avec un revenu net de 350 millions de dollars, en hausse de 30 millions de dollars, ou de 9 % par rapport à la même période l’an dernier, tandis que le revenu net de BMO Marchés des capitaux a affiché une progression de 62 millions de dollars, ou de 33 %, pour atteindre 249 millions de dollars. Les résultats incluent des pertes de 80 millions de dollars après impôts (0,15 $ par action) attribuables aux charges liées à la conjoncture des marchés financiers, dont le détail est fourni dans la section intitulée Incidence de la conjoncture des marchés financiers sur les résultats du deuxième trimestre, de même que des indemnités de licenciement de 80 millions de dollars après impôts (0,15 $ par action) essentiellement imputables à la rationalisation de notre structure de gestion.

« Une fois de plus, nos secteurs d’activité de base se sont bien comportés, particulièrement compte tenu de la récession », a déclaré Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier. « Les revenus et le revenu net de PE Canada, qui regroupe nos services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada, continuent de fortement progresser au fil des ans; le revenu s’est accru de 8 % et le revenu net a augmenté de 9 % pour s’établir à 350 millions de dollars. Nous fidélisons nos clients en leur prêtant une oreille attentive afin de comprendre leurs besoins et en leur offrant des conseils qui les aident à prendre de meilleures décisions financières. Comme nous continuons d’offrir du crédit aux Canadiens et à leurs entreprises, les prêts de PE Canada ne cessent de croître d’une année à l’autre. Notre approche centrée sur le client s’avère payante pour eux autant que pour nous. »

« La condition des marchés du crédit et financiers demeurent difficiles. Toutefois, nous sommes bien placés pour faire face à ce contexte. La robustesse de notre capital et de nos liquidités nous permet de procéder à des acquisitions opportunistes, comme celle des opérations d’assurance-vie canadiennes que nous avons menée à terme au cours du trimestre.

« BMO Marchés des capitaux a dégagé des résultats vigoureux : son revenu s’est accru de 17 % d’un exercice à l’autre et son revenu net a enregistré une hausse de 33 % pour s’établir à 249 millions de dollars. Les résultats de plusieurs secteurs se sont améliorés d’une année à l’autre, notamment ceux des services aux grandes entreprises, des secteurs sensibles aux taux d’intérêt et des prises fermes de titres de participation, qui ont affiché une progression importante », a affirmé M. Downe. Le rendement global de BMO Marchés des capitaux a subi l’incidence de charges de 80 millions de dollars après impôts, comme nous l’expliquons dans la section intitulée Incidence de la conjoncture des marchés financiers sur les résultats du deuxième trimestre.

Les services bancaires aux particuliers et aux entreprises aux États-Unis ont affiché une croissance interne des prêts et des dépôts d’un exercice à l’autre et ils ont également vu leur marge nette d’intérêts s’améliorer. Les résultats du deuxième trimestre ont diminué par rapport à ceux de la même période il y a un an, mais si l’on tient compte du gain net relatif au premier appel public à l’épargne de Visa enregistré au cours de cette période, ils ont augmenté. Le contexte moins favorable du crédit influe sur les résultats, mais nous continuons d’accorder des prêts et d’offrir des services de dépôt à nos clients tout en gérant efficacement les coûts. M. Downe a poursuivi avec cette explication : « La récente étude de J.D. Power and Associates intitulée « 2009 Retail Banking Satisfaction Study » a accordé à Harris le premier rang au chapitre de la satisfaction de la clientèle dans la région du Midwest. L’attention que nous portons à bien servir nos clients porte ses fruits et le nombre de nouveaux foyers s’étant ajoutés à notre clientèle affiche une croissance substantielle. »

« Dans nos services de gestion de patrimoine, nous continuons d’enregistrer une forte croissance des dépôts à terme, mais les résultats ont subi le contrecoup de la baisse des actifs gérés et administrés attribuable principalement aux reculs importants des marchés boursiers. Nous continuons de maintenir des normes élevées en matière de service et gérons les coûts de façon responsable tout en tenant compte de la faiblesse du marché. », a déclaré M. Downe.

Les pressions exercées à l’échelle mondiale par la récession continuent d’influer sur nos résultats. Les dotations à la provision pour pertes sur créances s’élèvent à 372 millions de dollars pour le trimestre et sont constituées de dotations à la provision spécifique de 127 millions au Canada et de 245 millions aux États-Unis, la provision générale n’ayant pas augmenté. Les dotations à la provision spécifique ont augmenté de 221 millions par rapport à la même période l’an dernier, ce qui est surtout attribuable aux prêts de nos services aux particuliers et aux entreprises aux États-Unis, mais elles ont reculé de 56 millions par rapport à celles du premier trimestre. Nous prévoyons que le contexte du crédit demeurera ardu pour le reste de 2009 étant donné la faiblesse persistante de l’économie mondiale.

BMO a recours à une méthode selon la perte prévue pour l’établissement de ses provisions aux termes de laquelle les pertes sur créances prévues sont imputées aux groupes d’exploitation et l’écart entre les pertes prévues et les pertes réelles est porté au débit ou au crédit des Services d’entreprise.

« Nos résultats trimestriels comprennent des indemnités de licenciement découlant principalement de la rationalisation de la structure de gestion de l’ensemble de nos secteurs et de nos services de soutien administratifs dans le cadre de laquelle nous avons éliminé des paliers et avons élargi les mandats. Ces changements devraient donner lieu à une réduction des coûts continus et permettre à nos secteurs de faire croître leurs revenus et d’améliorer leur rentabilité sans nuire au service à la clientèle », a conclu M. Downe. Nous prévoyons que, une fois ces changements apportés à notre structure, les économies annuelles que nous réaliserons au chapitre des frais courants seront supérieures aux indemnités de licenciement de 118 millions de dollars.

Les résultats des Services d’entreprise ont augmenté par rapport à ceux du premier trimestre, exclusion faite des indemnités de licenciement comptabilisées au trimestre considéré, grimpant de façon notable grâce à la hausse des revenus et au recul des dotations à la provision pour pertes sur créances. L’accroissement des revenus reflète les mesures prises pour réduire le portage négatif de certaines positions de taux d’intérêt servant à la gestion de l’actif et du passif et de certaines positions de gestion de trésorerie de même que les gains découlant de l’évaluation à la valeur de marché sur certaines activités de couverture comparativement à des pertes au premier trimestre. Les résultats ont reculé par rapport à ceux d’il y a un an en raison de la baisse des revenus et de la hausse des dotations à la provision pour pertes sur créances. Les revenus moins élevés s’expliquent par le portage négatif de certaines positions de taux d’intérêt servant à la gestion de l’actif et du passif et par l’incidence continue des activités de financement qui ont eu pour effet d’accroître notre solide position en matière de liquidités. La quasi-totalité des besoins en matière de financement à terme qui avaient été estimés pour 2009 sont maintenant satisfaits.

Nous avons annoncé aujourd’hui un dividende de 0,70 $ par action ordinaire pour le troisième trimestre, soit un montant inchangé par rapport à celui du trimestre précédent, ce qui correspond à un dividende annuel de 2,80 $ par action ordinaire.


Revue des résultats des groupes d’exploitation
PE Canada
Le revenu net s’établit à 350 millions de dollars, soit une hausse de 30 millions ou de 9,1 % par rapport à il y a un an. Les revenus des services aux particuliers, des services aux entreprises et des services de cartes ont progressé, ce qui s’explique par l’augmentation des volumes de la plupart des produits ainsi que par l’amélioration de la marge nette d’intérêts. Compte tenu d’un rajustement au titre de l’incidence d’un recouvrement d’impôts sur le capital l’an dernier, le levier d’exploitation avant amortissement du trimestre s’établit à plus de 3,0 %.

Nous continuons d’obtenir d’excellents résultats même si les conditions de marché sont difficiles.

Notre promesse à la clientèle, c’est-à-dire l’aider à faire des choix éclairés afin qu’elle opte, en toutes circonstances, pour les meilleures solutions qui soient, reflète notre engagement de transparence. Notre objectif demeure d’élargir notre part de marché malgré le ralentissement de la croissance.

Dans le secteur des services aux particuliers, les efforts déployés pour rehausser la gestion du rendement, les investissements faits dans notre réseau de succursales et le lancement de nouveaux produits ont porté fruit, tel qu’en témoignent l’augmentation des revenus et l’accélération de l’essor des produits de dépôt. Au cours du trimestre, nous avons inauguré quatre nouvelles succursales et, comme nous l’avions annoncé, nous avons fermé 68 succursales en magasin. La plupart de nos clients préfèrent avoir accès à une gamme complète de services bancaires, dont des conseils professionnels et une capacité de gestion des relations, en un seul endroit. Ils apprécient également la commodité de nos services bancaires en ligne. Nous avons choisi d’investir dans les canaux qui créent une expérience client exceptionnelle. Ce faisant, nous nous rapprochons de plus en plus du chef de file du secteur sur le plan des taux de fidélisation de la clientèle, et le nombre de nos produits par client augmente sans cesse.

Dans le secteur des services bancaires aux entreprises, nous gardons le cap sur notre objectif, soit devenir la banque de choix des entreprises partout au Canada. Quant à notre part de marché, nous nous classons au deuxième rang. Malgré le contexte actuel du resserrement du crédit, nous continuons de permettre à notre clientèle formée de petites et moyennes entreprises d’accéder au crédit. Nous avons réussi à augmenter nos prêts de 3,2 % et à élargir encore notre part de marché, celle-ci s’étant accrue de 37 points de base depuis la même période l’an dernier et de 4 points de base depuis le trimestre précédent, pour s’établir à 19,97 %. Sur douze mois, le taux de fidélisation de nos clients qui sont des entreprises et le nombre de produits par client ont augmenté.

Nos services de cartes ont eux aussi connu une croissance. Le marketing de la marque, les promotions et une meilleure intégration des ventes de cartes dans l’ensemble des succursales ont contribué à l’essor continu du portefeuille de cartes.

PE États-Unis (tous les montants sont en dollars américains)
Le revenu net s’établit à 21 millions de dollars, en baisse de 9 millions ou de 31 % par rapport à la même période l’an dernier. Le revenu net avant amortissement s’élève à 27 millions, ce qui traduit un recul de 8 millions ou de 23 %. Le revenu net constaté un an plus tôt tenait compte d’un gain après impôts de 13 millions réalisé sur le premier appel public à l’épargne de Visa Inc., déduction faite d’une provision au titre d’un litige. Exclusion faite de cet élément, le revenu net a monté de 4 millions ou de 24 % depuis la même période de l’exercice précédent. Les résultats ont bénéficié de la croissance interne des prêts et des dépôts ainsi que de l’élargissement des écarts sur les dépôts et de l’amélioration de la marge nette d’intérêts.

Les mauvaises conditions de crédit continuent d’affaiblir les résultats puisque les prêts douteux et les frais de gestion de ce portefeuille augmentent. Leur hausse a réduit de 11 millions le résultat net du trimestre, comparativement à une baisse de 5 millions il y a un an.

Les revenus ont fléchi de 20 millions ou de 7,8 %. Compte non tenu du gain généré par le premier appel public à l’épargne de Visa, les revenus se sont accrus de 18 millions, ce qui est en grande partie attribuable aux acquisitions au Wisconsin et à l’essor des dépôts. Ces facteurs ont été atténués par les répercussions plus percutantes, d’un montant de 7 millions, qu’a eues la détérioration des marchés du crédit. Depuis un an, la marge nette d’intérêts s’est élargie à la faveur des nouveaux dépôts et des mesures prises pour atténuer les conséquences de la hausse des coûts de financement à long terme.

Nous nous efforçons toujours de gérer nos frais avec rigueur et de recruter de nouveaux clients des services aux particuliers et aux entreprises, tout en continuant d’accorder des prêts et de fournir des services de dépôt à nos clients. Le nombre net de ménages qui s’est ajouté à notre clientèle dépasse largement celui de l’an dernier, et des tendances positives au chapitre des dépôts de base se dessinent.

Selon une récente étude dans laquelle J.D. Power and Associates a analysé le taux de satisfaction de la clientèle à l’égard des services bancaires aux particuliers, Harris s’est classée au premier rang des 21 banques visées par l’étude et, pour quatre des cinq mesures d’évaluation, elle a obtenu des résultats supérieurs à ceux de la plupart de ses concurrents.

Notre taux de recommandation net, lequel constitue une mesure de la fidélité des clients, s’est accru de deux points depuis le trimestre précédent et la période correspondante de 2008 et a atteint 44 alors que le taux de plusieurs de nos concurrents a fléchi.

Groupe Gestion privée
Le revenu net s’établit à 62 millions de dollars, contre 107 millions pour la même période l’an dernier, les résultats ayant subi les contrecoups du manque de tonus des marchés boursiers et de la faiblesse des taux d’intérêt. Dans le trimestre à l’étude, le revenu a fléchi de 63 millions ou de 12 %, et ce, à cause surtout de la réduction des revenus tirés des commissions et des services tarifés des activités de placement traditionnels et des fonds d’investissement, les actifs ayant été largement inférieurs. Le revenu net d’intérêts a baissé en grande partie à cause de la compression des écarts sur les soldes des dépôts de nos services de courtage, ce qui a découlé du climat de concurrence créé par les faibles taux d’intérêt.

Une conjoncture peu propice a nui aux actifs sous gestion et sous administration, lesquels ont reculé de 21 milliards de dollars ou de 8,7 % malgré l’avantage de 13 milliards inhérent à l’appréciation du dollar américain. Les dépôts à terme ont connu une forte hausse puisqu’ils se sont accrus de 9 milliards ou de 21 % par rapport à la même période l’an dernier. Vu les récents défis de l’économie mondiale et des marchés boursiers, nous adaptons notre mode d’engagement des dépenses et d’affectation des ressources. Nous continuerons d’offrir le niveau élevé de service auquel nos clients s’attendent tout en gérant de manière responsable les coûts liés à notre personnel et les dépenses discrétionnaires dans le contexte difficile qui prévaut actuellement.

Le 1er avril, nous avons mené à terme l’acquisition de La Compagnie d’Assurance-Vie AIG du Canada (qui arbore désormais la marque BMO Société d’assurance-vie), à un coût de 330 millions de dollars. Cette acquisition a consolidé la position concurrentielle de BMO Groupe financier, lui ayant immédiatement procuré la taille et les compétences lui permettant de faire sa place sur le marché de l’assurance-vie et de combler les besoins d’assurance des clients. Pour maintenir leur niveau de vie et jouir d’une retraite confortable, nos clients recherchent des solutions d’investissement et d’assurance efficaces sur le plan fiscal. BMO Nesbitt Burns Inc. leur propose l’aide de plus de 800 conseillers en placement qui sont aussi des agents d’assurance-vie et, au Québec, celle des conseillers en sécurité financière de BMO NB Services financiers Inc. Grâce à l’acquisition précitée, BMO Société d’assurance-vie a consolidé ses assises par l’ajout de 300 employés d’expérience et d’environ 400 000 clients et a désormais accès à un réseau comptant plus de 5 000 courtiers indépendants partout au pays. Ainsi, cette acquisition augmente grandement notre capacité de répondre aux besoins de gestion de patrimoine de nos clients et s’inscrit dans notre stratégie axée sur la clientèle. BMO Société d’assurance-vie est maintenant l’une des plus grandes sociétés d’assurance-vie détenues par une banque, sa part de ce marché au Canada se classant dans les dix premières.

À compter du troisième trimestre, toutes les activités de BMO Société d’assurance-vie seront intégrées au groupe Gestion privée puisqu’elles s’harmonisent parfaitement avec la stratégie de gestion de patrimoine et que l’objectif est de réunir la capacité en matière d’assurance et les compétences qui caractérisent déjà ce groupe.

Le groupe Gestion privée continue d’être reconnu pour ses produits et services. BMO Fonds de dividendes a remporté le Prix Lipper 2009 attribué au fonds de la catégorie Dividendes et revenus d’actions canadiennes qui s’est le plus démarqué sur dix ans. Le programme Lipper Fund Awards récompense les fonds qui s’illustrent en offrant constamment un excellent rendement pondéré en fonction des risques par rapport à leurs pairs.

BMO Marchés des capitaux
Le revenu net du trimestre s’élève à 249 millions de dollars, en hausse de 62 millions ou de 33 % par rapport au même trimestre de l’exercice précédent. Cette progression a résulté essentiellement des revenus qui ont été générés et qui sont attribuables à l’amélioration notable des revenus tirés des services bancaires aux grandes entreprises par suite de l’élargissement des écarts et des commissions sur prêts, à la hausse des revenus des secteurs sensibles aux taux d’intérêt et à l’essor des commissions de prise ferme de titres de participation. En plus d’accroître les revenus, nous avons instauré diverses mesures de gestion des frais. À cause du manque de tonus de l’économie et des marchés financiers, les résultats du trimestre tiennent compte de charges de 117 millions (80 millions après impôts), tel qu’il est décrit dans la section Incidence de la conjoncture des marchés financiers sur les résultats du deuxième trimestre. Les résultats d’il y a un an incluaient un avantage net de 42 millions (28 millions après impôts), tel qu’il est indiqué dans la section Éléments notables figurant à la fin du présent Rapport de gestion.

Malgré les charges liées aux conditions des marchés financiers, BMO Marchés des capitaux a enregistré un résultat net élevé pour le trimestre, ce qui reflète la vigueur de nos activités de base sous-jacentes et notre orientation stratégique, soit optimiser le rapport risque-rendement total du groupe. Le fait de concentrer nos efforts sur notre clientèle de base et de gérer activement notre bilan nous permet de faire croître des activités qui s’inscrivent dans notre stratégie axée sur le client, telles celles ayant trait aux obligations municipales américaines. Les initiatives mises de l’avant dans les services bancaires aux grandes entreprises au cours des derniers trimestres ont grandement rehaussé le rendement de nos services de prêt.

BMO Marchés des capitaux a participé à 116 nouvelles émissions au cours du trimestre, soit 33 émissions de titres de créance d’entreprises, 38 émissions de titres de créance d’administrations publiques, 35 émissions d’actions ordinaires et 10 émissions d’actions privilégiées, pour un total de 47,1 milliards de dollars, en hausse de 3,8 milliards par rapport au trimestre précédent.


Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières canadiens ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2009 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale et la conjoncture des marchés dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 30 et 31 du Rapport annuel 2008 de BMO, qui décrivent en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur nos résultats futurs. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent document est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.

Les hypothèses relatives à notre capacité de mener des activités rentables sans avoir à pourvoir à nouveau les postes qui seront abolis sont des éléments importants dont nous avons tenu compte lorsque nous avons établi que les économies, exprimées en rendement annualisé, devraient être supérieures aux indemnités de licenciement versées.

Les hypothèses relatives aux ventes d’actifs, aux prix de vente prévus pour les actifs, au coût net de mobilisation des fonds, à la qualité du crédit et au risque de défaillance et de pertes sur défaillance des actifs sous-jacents des entités de gestion de placements structurés sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos attentes concernant les entités de gestion de placements structurés dont il est question dans le présent document, y compris le montant qui pourrait être retiré en vertu des facilités de trésorerie fournies par BMO et la perspective que la protection de premier niveau fournie par les billets de capital subordonnés dépasse les pertes futures. Selon certaines de nos principales hypothèses, les actifs continueront à être vendus dans le but de réduire la taille des entités de gestion de placements structurés, selon diverses hypothèses de prix d’actifs et le niveau des défauts et des pertes sera conforme à la qualité du crédit des actifs sous-jacents et à nos attentes actuelles concernant la persistance des difficultés sur les marchés.

Les hypothèses relatives au niveau des défauts et aux pertes en cas de défaut sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos attentes concernant les résultats futurs des transactions que Apex Trust a conclues. Selon certaines de nos principales hypothèses, le niveau des défauts et les pertes en cas de défaut seraient comparables à ceux de l’expérience historique. En établissant nos attentes concernant le risque de pertes sur créances lié à Apex Trust dans l’avenir, nous avons tenu compte de facteurs importants dont la diversification sectorielle, la qualité initiale du crédit de chaque portefeuille et la protection de premier niveau intégrée à la structure.

Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine en 2009 et aux conséquences de ce comportement sur nos activités sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos priorités et objectifs stratégiques et des perspectives de nos divers secteurs d’activité. Selon certaines de nos principales hypothèses, les économies canadienne et américaine se contracteraient au cours de la première moitié de 2009 et les taux d’intérêt et d’inflation demeureraient bas. La conjoncture économique et les marchés du crédit devraient s’affaiblir et les taux d’intérêt devraient baisser plus que nous l’avions prévu à la fin de l’exercice 2008. Nous avons également supposé que les marchés de l’habitation au Canada faibliraient en 2009 et qu’ils prendraient de la vigueur au cours de la deuxième moitié de l’année aux États Unis. Nous avons supposé que la situation des marchés financiers s’améliorerait quelque peu au cours de la deuxième moitié de 2009 et que le dollar canadien se raffermirait légèrement par rapport au dollar américain. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États-Unis et leurs agences. Les lois fiscales en vigueur dans les pays où nous sommes présents, principalement le Canada et les États-Unis, sont des facteurs importants dont nous tenons compte pour déterminer notre taux d’imposition effectif normal.


Perspectives économiques
L’économie canadienne devrait se contracter de 2,5 % en 2009, mais son repli devrait s’atténuer au fil des mois. La mollesse de la demande mondiale continuera de réduire les exportations. L’essor des marchés de l’habitation et des prêts hypothécaires à l’habitation devrait continuer à ralentir, mais un accès à la propriété plus abordable devrait contribuer à la stabilisation de ces marchés plus tard dans l’année. Malgré les creux historiques auxquels se situent les taux d’intérêt, la croissance des dépenses de consommation et des prêts aux particuliers devrait encore ralentir à cause de la montée du chômage. Le repli que les prix des produits de base ont accusé l’an dernier et la poursuite de la restructuration du secteur automobile devraient réduire fortement les nouveaux investissements et emprunts des entreprises. Le taux de chômage pourrait dépasser 9 % d’ici l’automne, pour une hausse de plus de 3 % par rapport au taux le plus bas enregistré l’an dernier, mais demeurerait quand même largement inférieur aux taux records des récessions précédentes. La Banque du Canada devrait maintenir à près de zéro les taux du financement à un jour au moins jusqu'à l’an prochain, et l’on peut espérer que des politiques monétaires et budgétaires stimulantes favoriseront une reprise économique, certes modeste, mais réelle vers la fin de 2009. Le dollar canadien devrait s’apprécier au rythme du renforcement des prix des produits de base, une reprise de l’économie mondiale étant prévue plus tard dans l’année.

La profonde récession que traversent les États-Unis devrait perdurer dans la première moitié de 2009, mais par la suite, une reprise devrait s’amorcer à la faveur de mesures monétaires et budgétaires axées sur l’expansion et de prix du pétrole beaucoup plus bas que ceux en vigueur au milieu de 2008. Les marchés de l’habitation commencent à montrer des signes de stabilisation parce que l’accès à la propriété n’a jamais été aussi abordable, et ce, même si le resserrement des normes de crédit et des pertes massives d’emplois laissent présager la faiblesse continue de la demande de prêts hypothécaires à l’habitation. Les dépenses de consommation ont quelque peu progressé, mais devraient demeurer faibles, les ménages augmentant leur taux d’épargne et remboursant leurs dettes. Tout porte à croire que les sociétés continueront de comprimer leurs dépenses, ce qui freinera la croissance du crédit aux entreprises. Le taux de chômage devrait atteindre environ 10 % plus tard dans l’année, ce qui serait le taux le plus élevé depuis 26 ans. La Réserve fédérale devrait maintenir ses taux à près de zéro jusqu’au printemps 2010 et mettre en œuvre un large éventail de programmes de prêt et d’achat d’actifs spéciaux afin de permettre aux entreprises et aux ménages d’accéder plus facilement au crédit. Les marchés financiers devraient continuer de se redresser au fur et à mesure que les incertitudes pesant sur les marchés du crédit et l’économie s’estomperont.

La section Perspectives économiques contient des déclarations prospectives. Voir la mise en garde concernant les déclarations prospectives.

Incidence de la conjoncture des marchés financiers sur les résultats du deuxième trimestre
Les marchés demeurent chancelants. Les résultats du deuxième trimestre de 2009 ont été marqués par des charges liées à la conjoncture des marchés financiers de 117 millions de dollars (80 millions après impôts et 0,15 $ par action) qu’ont enregistrées BMO Marchés des capitaux, charges composées des éléments suivants :

des charges de 215 millions de dollars (147 millions après impôts) relatives à des expositions à une entité canadienne qui fournit une protection contre le risque de crédit (Apex); et
un avantage au titre de rajustements d’évaluation du crédit (REC) de 98 millions de dollars avant impôts (67 millions après impôts).

Les charges ci-dessus ont réduit de 117 millions de dollars le revenu autre que d’intérêts lié aux activités de négociation.

Les charges de 215 millions de dollars inhérentes aux expositions à l’entité de protection contre le risque de crédit sont constituées de pertes non réalisées de 41 millions et liées à l’évaluation à la valeur de marché de l’investissement de BMO dans les billets à moyen terme de l’entité et d’une charge de 174 millions associée à la renégociation du swap sur rendement total (SRT) visant 600 millions de dollars de billets. La charge non récurrente de 174 millions est composée d’un montant de 78 millions lié à la radiation de la valeur de l’actif du SRT initial ainsi que d’un autre montant de 96 millions associé à la restructuration du SRT visant à harmoniser son échéance avec celle des billets, et ce, à prix fixe. En restructurant le SRT, nous avons aboli le risque inhérent à la révision de prix et avons grandement réduit la fluctuation du revenu inhérente à l’opération mettant en jeu le SRT.


Éléments notables
Deuxième trimestre de 2009

Le revenu net du deuxième trimestre de 2009 a été affaibli par des charges liées à la conjoncture des marchés financiers et à des indemnités de licenciement de 235 millions de dollars (160 millions après impôts et 0,30 $ par action).

Les résultats tiennent compte de charges liées à la conjoncture des marchés financiers de 117 millions de dollars (80 millions après impôts et 0,15 $ par action) qu’a enregistrées BMO Marchés des capitaux, charges composées des éléments suivants :

des charges de 215 millions de dollars (147 millions après impôts) relatives à des expositions à une entité canadienne qui fournit une protection contre le risque de crédit (Apex);
un avantage au titre de rajustements d’évaluation du crédit (REC) de 98 millions de dollars avant impôts (67 millions après impôts).

Les charges ci-dessus ont réduit de 117 millions de dollars le revenu autre que d’intérêts lié aux activités de négociation. D’autres détails sur ces charges sont présentés dans la section intitulée Incidence de la conjoncture des marchés financiers sur les résultats du deuxième trimestre.

Les résultats tiennent également compte de charges liées aux indemnités de licenciement de 118 millions de dollars (80 millions après impôts et 0,15 $ par action) qu’ont inscrites les Services d’entreprise.

Deuxième trimestre de 2008
Les résultats de BMO dans le deuxième trimestre de 2008 tenaient compte d’un avantage net de 42 millions de dollars (28 millions après impôts et 0,06 $ par action) lié à la conjoncture des marchés financiers.

L’avantage net de 42 millions de dollars indiqué ci-dessus était reflété dans le revenu autre que d’intérêts lié aux activités de négociation (71 millions), les autres revenus (6 millions) et les gains sur titres de placement (-35 millions).

Premier trimestre de 2009
Les résultats du premier trimestre de 2009 ont été affaiblis par des charges de 528 millions de dollars (359 millions après impôts ou 0,69 $ par action) liées à la conjoncture des marchés financiers. BMO Marchés des capitaux a constaté des charges non réalisées liées à la conjoncture des marchés financiers de 511 millions (348 millions après impôts) et le groupe Gestion privée a inscrit des charges de 17 millions (11 millions après impôts) liées à des titres à enchères.

Les charges de 528 millions de dollars indiquées plus haut ont réduit le revenu autre que d’intérêts lié aux activités de négociation (285 millions), les gains sur titres de placement (226 millions) et les autres revenus (17 millions).

Premier semestre de 2009
Le revenu net du premier semestre de 2009 a été touché par des charges de 763 millions de dollars (519 millions après impôts et 0,99 $ par action) liées à la conjoncture des marchés financiers et aux indemnités de licenciement. BMO Marchés des capitaux a inscrit des charges de 628 millions (428 millions après impôts) liées à la conjoncture des marchés financiers et le groupe Gestion privée a constaté des charges de 17 millions (11 millions après impôts) en rapport avec des titres à enchères. Les Services d’entreprise ont également comptabilisé des charges liées aux indemnités de licenciement de 118 millions (80 millions après impôts).

Le revenu autre que d’intérêts du premier semestre de 2009 a été réduit par les charges de 645 millions de dollars dont il est fait mention ci-dessus. Le revenu autre que d’intérêts lié aux activités de négociation (402 millions), les gains sur titres de placement (226 millions) et les autres revenus (17 millions) ont baissé.

Premier semestre de 2008
Le revenu net du premier semestre de 2008 a été réduit par des charges de 506 millions de dollars (334 millions après impôts et 0,66 $ par action) au titre de certaines activités de négociation, de rajustements d’évaluation et de l’augmentation de la provision générale pour pertes sur créances. Ces charges ont compris un montant de 446 millions (296 millions après impôts) lié à la conjoncture des marchés financiers qu’a constaté BMO Marchés des capitaux ainsi qu’une hausse de 60 millions (38 millions après impôts) de la provision générale pour pertes sur créances, hausse que les Services d’entreprise ont inscrite afin de refléter la croissance du portefeuille et le déplacement du risque.

Le revenu autre que d’intérêts du premier semestre de 2008 a été réduit par les charges de 446 millions de dollars dont il est fait mention ci-dessus. Le revenu autre que d’intérêts lié aux activités de négociation (349 millions), les gains sur titres de placement (58 millions) et les autres revenus (39 millions) ont fléchi.


Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :

Les faits saillants financiers  
Rapport de gestion  
Les états financiers non vérifiés  

RENSEIGNEMENTS À L’INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 26 mai 2009 à 14 h 00 (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 416-695-9753 (région de Toronto) ou au 1-888-789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L’enregistrement de la conférence sera accessible jusqu’au lundi 24 août 2009, au 416-695-5800 (région de Toronto) ou au 1-800-408-3053 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d’accès 3278111).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au lundi 24 août 2009.

Relations avec les médias
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, 416-867-3996
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, 514-877-1873

Relations avec les investisseurs
Viki Lazaris, première vice-présidente, viki.lazaris@bmo.com, 416-867-6656
Steven Bonin, directeur général, steven.bonin@bmo.com, 416-867-5452
Andrew Chin, directeur principal, andrew.chin@bmo.com, 416-867-7019

Chef des finances
Russel Robertson, chef des finances intérimaire
russ.robertson@bmo.com, 416-867-7360

Secrétariat général
Blair Morrison, vice-président et secrétaire général
corp.secretary@bmo.com, 416-867-6785

Pour plus de renseignements: