Sauter la navigation
Show
Navigation ignorée

Communiqués de presse

La Banque de Montréal annonce une émission d’actions ordinaires  

MONTRÉAL le 15 décembre 2008 – La Banque de Montréal (TSX, NYSE : BMO) a annoncé aujourd’hui l’émission de 33 340 000 actions ordinaires au prix unitaire de 30 dollars canadiens par action totalisant un produit brut d’environ 1,0 milliard de dollars canadiens. Le placement fera l'objet d'une prise ferme par un syndicat financier. La Banque a octroyé aux preneurs fermes une option leur permettant d'acheter aux mêmes conditions une tranche supplémentaire de 3 334 000 actions ordinaires, qui peut être exercée, en totalité ou en partie, jusqu'à trente jours après la clôture. Le produit brut maximum tiré de l’émission totalisera environ 1,1 milliard de dollars canadiens si l’option est exercée dans sa totalité.

La date de clôture est prévue pour le 24 décembre 2008. La Banque utilisera le produit net tiré de l’émission pour ses besoins généraux. Les actions émises seront admissibles à titre de capital de première catégorie.

Le ratio de capital de première catégorie de la Banque s’établissait à 9,77 pour cent en date du 31 octobre 2008. Sur une base proforma, le rajustement découlant de l’émission d’actions ordinaires d’une valeur de 1,0 milliard de dollars canadiens, de l’émission d’actions privilégiées de série 18 totalisant 150 millions de dollars canadiens, de l’émission de billets de première catégorie de série A de BMO d’une valeur de 450 millions de dollars canadiens, du rachat d’actions privilégiées de série 6 valant 250 millions de dollars canadiens et de la mise en pratique d’une nouvelle exigence réglementaire du Nouvel accord de Bâle le 1er novembre 2008, porterait le ratio de capital de première catégorie à 10,4 %.

Les actions ordinaires seront émises par le biais d’un supplément de prospectus qui sera déposé auprès des autorités réglementaires canadiennes en vertu du prospectus que la Banque a préalablement publié le 4 janvier 2008.

Les actions ordinaires n'ont pas été et ne seront pas inscrites en vertu de la loi américaine intitulée Securities Act of 1933, dans sa version modifiée, et elles ne pourront être offertes, vendues ou livrées directement ou indirectement aux États-Unis en l'absence d'inscription ou d'une dispense des obligations d'inscription.


Le présent communiqué ne constitue pas une offre de vente ou un appel d’achat desdites actions ordinaires aux États-Unis ou dans toute autre juridiction dans laquelle ce type d’offre n’est pas autorisé par la loi.

Mise en garde concernant les déclarations prévisionnelles

Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prévisionnelles, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables et correspondent à des déclarations prospectives au sens de ces lois. Les déclarations prévisionnelles peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et priorités pour l'exercice 2009 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prévisionnelles comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent communiqué de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prévisionnelles, en raison d'un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prévisionnelles peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : la situation générale de l’économie et des marchés dans les pays où nous sommes présents, la faiblesse des marchés des capitaux et du crédit, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous oeuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer des entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, l’activité sur les marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. D’autres résultats pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Les pages 30 et 31 du Rapport de gestion de l’exercice ayant pris fin le 31 octobre 2008 donnent plus d’information sur l’incidence que pourraient avoir certains facteurs clés sur les résultats futurs de la Banque de Montréal. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prévisionnelles pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prévisionnelles. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prévisionnelles, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom, sauf si la loi l’exige. L’information prospective contenue dans le présent communiqué est présentée dans le but d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière aux dates indiquées ou pour les périodes terminées à ces dates ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques, et peut ne pas convenir à d’autres fins.

Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine en 2009 et aux conséquences de ce comportement sur nos activités sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos priorités et objectifs stratégiques et les perspectives de nos divers secteurs d‘activité. Selon certaines de nos principales hypothèses, les économies canadienne et américaine vont se contracter au cours de la première moitié de 2009 et les taux d’intérêt et d’inflation vont demeurer bas. Nous avons également supposé que les marchés de l’habituation au Canada faibliraient en 2009 et qu’ils prendraient de la vigueur au cours de la deuxième moitié de l’année aux États-Unis. Nous avons supposé que la situation des marchés financiers s’améliorerait quelque peu au cours de la deuxième moitié de 2009 et que le dollar canadien se raffermirait légèrement par rapport au dollar américain. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États-Unis et leurs agences. Les lois fiscales en vigueur dans les pays où nous sommes présents, principalement le Canada et les États-Unis, sont des facteurs importants dont nous tenons compte pour déterminer notre taux d’imposition effectif normal.

- 30 -