Sauter la navigation
Show
Navigation ignorée

Communiqués de presse

BMO fait des commentaires sur les fiducies Apex et Sitka  

BMO a confirmé que, malgré la réduction de la cote des billets des fiducies Apex et Sitka par DBRS hier, des discussions se poursuivent au sujet de la restructuration des deux fiducies. BMO a aussi confirmé qu’il y a un délai de correction de deux jours ouvrables après que le fiduciaire désigné par l’acte constitutif a donné aux fiducies un avis de défaut concernant l’incapacité des fiducies de reconduire leurs billets. BMO a déclaré que bien que les discussions concernant la restructuration des fiducies se poursuivent, il n’est pas possible de prédire le résultat de ces discussions. Ce résultat n’aura pas de répercussions sur la volonté de BMO de mener ses activités en mettant nettement l’accent sur la clientèle et sur la gestion du rendement.

BMO avait précédemment indiqué que si les efforts de restructuration des fiducies n’étaient pas fructueux, elle radierait ses investissements restants dans les fiducies.

BMO ne fournit pas de soutien de trésorerie aux fiducies et ne l’a jamais fait.

De plus, BMO a noté que ces événements n’ont pas de répercussions sur les cotes des conduits parrainés par BMO à qui BMO fournit du soutien de trésorerie de type international, ni sur le soutien que BMO leur accorde.

BMO a aussi noté qu’il existe un risque de litige si les fiducies ne sont pas restructurées fructueusement. Un porteur de billets de la fiducie conteste le remboursement d’un versement qui lui a été fait par erreur et une contrepartie de swap conteste ses obligations en vertu d’une entente et au sujet d’une transaction de swap sur rendement total qu’elle avait confirmé précédemment. Pour l’instant, il n’est pas possible de déterminer le montant ni la probabilité de pertes éventuelles.

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2008 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 28 et 29 du Rapport annuel 2007 de BMO, qui décrit en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom. Les renseignements prospectifs qui figurent dans le présent document sont présentés afin d’aider nos actionnaires à comprendre notre situation financière pendant les périodes terminées aux dates présentées et à la fin de celles-ci ainsi que nos priorités et objectifs stratégiques. Ils peuvent ne pas convenir à d’autres fins.

- 30 -