Les craintes accentuées d’une récession aux États-Unis signifient que les investisseurs devront se montrer particulièrement agiles s’ils veulent obtenir des rendements acceptables en 2008
Les chefs des placements de BMO et de la Harris Private Bank tiendront une conférence téléphonique à l’intention des médias afin de discuter des marchés boursiers et des économies d’Amérique du Nord et des répercussions pour les investisseurs
Événement :
Vous êtes invités à vous joindre aux chefs des placements canadien et américain de BMO Banque privée Harris et de la Harris Private Bank, afin d’entendre leurs points de vue sur la différence entre un ralentissement de la croissance et une véritable récession, et sur les conséquences pour les marchés boursiers canadiens et américains.
Selon Paul Taylor et Jack Ablin, alors qu’augmentent les probabilités d’une récession aux États-Unis, il en va de même de la probabilité d’assister à de nouveaux glissements sur les marchés boursiers canadiens et américains, particulièrement durant la première moitié de l’année 2008. Cependant, les deux chefs des placements affirment que tout nouveau glissement devrait être limité, du fait des évaluations actuellement modérées des deux côtés de la frontière.
Durant la conférence téléphonique, il sera question des points suivants :
Ce ralentissement sera-t-il limité au marché américain ?
Selon les deux chefs des placements, les entreprises axées sur l’exportation devraient obtenir de bons résultats aux États-Unis, tandis que les sociétés qui se concentrent sur les marchés intérieurs devraient réussir partout ailleurs. On s’attend toujours à une poursuite de la croissance en Chine et en Inde, malgré les risques de ralentissement de la croissance aux États-Unis.
Historiquement, les récessions aux États-Unis ont eu davantage de répercussions sur les actions des sociétés canadiennes que sur celles des entreprises américaines. Ce fut même le cas lorsque l’économie canadienne est parvenue à éviter la récession, contrairement à l’économie américaine, en 2001. « Lorsque l’économie américaine a éternué, les actions des sociétés canadiennes se sont enrhumées », a expliqué M. Taylor.
Perspectives sur les devises
Il est difficile de définir avec précision ce qu’il adviendra sur le marché des devises, en particulier avec un nombre aussi important de facteurs qui entrent en jeu. Voici deux scénarios susceptibles de se dessiner :
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le dollar américain pourrait se redresser, à court terme, par rapport aux devises des pays développés, y compris le dollar canadien;
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le dollar canadien pourrait également continuer à s’apprécier par rapport au billet vert, pour diverses raisons. De solides fondamentaux, tels que des excédents commerciaux et budgétaires au Canada, pourraient contribuer à cette vigueur du huard.
Conséquences de l’effondrement du marché immobilier
Les conséquences de l’effondrement du marché immobilier commencent à se faire sentir dans le secteur manufacturier. Par ailleurs, la consommation est légèrement en retrait, du fait des inquiétudes concernant le marché immobilier.
Occasions d’enrichissement
Même dans un environnement plus difficile, il existe des possibilités d’enrichissement. Entre autres exemples, citons le cas des actions sur les engrais et fertilisants, de l’or et des produits de première nécessité.
Selon les deux chefs des placements, il continue d’être préférable, dans l’environnement actuel des marchés, de privilégier des stratégies fortement diversifiées sur le marché des actions de sociétés canadiennes, stratégies englobant des actions de sociétés importantes qui disposent d’un bilan solide, de bénéfices plus facilement prévisibles et de meilleurs taux de rendement des actions.
Pour de plus amples commentaires et analyses au sujet des marchés canadiens et américains et des répercussions pour les investisseurs, les représentants des médias sont invités à se joindre à une conférence interactive, qui aura lieu le jeudi 24 janvier 2008, à 11 h 30.
Conférence téléphonique à l’intention des représentants des médias
Qui :
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Animateur : Graham Parsons, vice-président à la direction – Gestion bancaire privée, BMO Banque privée Harris.
Paul Taylor, chef des placements, BMO Banque privée Harris, Toronto.
Jack Ablin, chef des placements, Harris Private Bank, Chicago
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Quand :
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Jeudi 24 janvier 2008
11 h 30, HNE |
Numéro à composer :
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416-695-7806 ou 888-789-9572 |
Mot de passe pour les participants :
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3249657# |
L’appel sera archivé à l’adresse www.bmobanquepriveeharris.com pour une durée de sept jours, et une transcription écrite de la conférence sera disponible sur demande.
BMO Banque privée Harris et la Harris Private Bank sont membres du groupe Gestion privée de BMO Groupe financier. Le groupe Gestion privée offre des services de gestion de patrimoine intégrés au Canada et aux États-Unis. Le total de l’actif sous gestion et sous administration et des placements à terme du groupe Gestion privée s’élevait à 275 milliards de dollars au 31 octobre 2007.
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