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Communiqués de presse

BMO met plus l’accent sur les ventes des succursales, déclare Bill Downe, président et chef de la direction  

Prenant la parole à l’occasion du Sommet financier 2007 de Scotia Capitaux, Bill Downe, président et chef de la direction de BMO Groupe financier, a déclaré que son organisation accorde une plus grande importance au service à la clientèle et à la croissance de ses secteurs d’activité de base.

BMO EST BIEN POSITIONNÉ DANS LA CONJONCTURE ÉCONOMIQUE ACTUELLE
Faisant allusion à un discours du président de la Réserve fédérale des États-Unis, Ben Bernanke, qui déclarait récemment que le taux des prêts en souffrance dans le secteur des prêts hypothécaires à risques à taux variable avait atteint environ 13,5 % en juin, M. Downe a souligné : « Harris n’octroie pas de prêts hypothécaires à risques et son exposition directe à des risques liés à des prêts aux particuliers ayant certaines caractéristiques de prêts à risques est très faible. Le taux global de prêts en souffrance de Harris était de 0,4 % en juin. »

NOUVEAU PERSONNEL
Commentant le renouvellement majeur de la direction des services bancaires de détail de BMO au Canada, M. Downe a déclaré : « La nouvelle équipe dirigeante possède une vaste expérience du travail effectué sur le terrain et, dans l’ensemble de l’organisation, les directeurs sont plus près des clients et les décisions se prennent plus près du personnel de première ligne. Plus du tiers des 28 chefs de région occupent leur poste depuis peu. »

DE NOUVELLES SUCCURSALES PLUS VERTES
« Notre réseau de succursales est au cœur de notre stratégie. Nous concentrerons nos investissements dans notre réseau de succursales dans des secteurs à forte croissance. De plus, nous prenons le virage « vert », en utilisant de l’électricité non polluante en vertu d’un contrat qui pourra finalement s’appliquer à 53 succursales. Ce qui devrait faire de BMO la première institution financière au Canada à figurer sur l’indice vert Bullfrog Power », a ajouté M. Downe.

DE NOUVELLES OFFRES FRÉQUENTES ET AMÉLIORÉES
« Un autre programme conçu pour accroître notre part de marché est notre programme de fidélisation de la clientèle, qui permet aux adhérents AIR MILES d’obtenir des milles de récompense à chaque achat qu’ils règlent avec leur carte de débit. Nous sommes convaincus que cette offre stimulera la croissance des dépôts. Par exemple, en juillet, soit le premier mois complet depuis le lancement du programme, les ouvertures de compte ont augmenté de 25 % par rapport à l’an dernier », a ajouté M. Downe.

LIBÉRER LE PERSONNEL POUR QU’IL CONSACRE PLUS DE TEMPS AUX CLIENTS
M. Downe a déclaré : « Nous avons mis à la disposition de nos banquiers des outils qui leur permettent de consacrer au moins 40 minutes de plus par jour à la clientèle. »

REVENU NET RECORD DES SERVICES AUX PARTICULIERS ET AUX ENTREPRISES AU CANADA
Les services bancaires aux particuliers et aux entreprises de BMO au Canada ont affiché un revenu net record de 350 millions de dollars au troisième trimestre, soit une hausse de 14 % par rapport à l’an dernier, abstraction faite du gain provenant du premier appel public à l’épargne lié à Mastercard International et des recouvrements d’impôts. Le ratio de productivité avant amortissement se chiffrait à 53,3 %, ce qui constitue aussi un record. Par rapport à l’an dernier, le revenu des services bancaires aux entreprises a progressé de près de 7 %, les prêts ont augmenté de 7,7 % et les dépôts, de 9,6 %, notre part de marché s’étant accrue fortement pour un deuxième trimestre de suite, progressant de 56 points de base comparativement à l’an dernier.

LA STRATÉGIE AXÉE SUR LES VENTES DES SUCCURSALES PORTE SES FRUITS
M. Downe a fait remarquer que l’accent mis par BMO sur les produits vendus par nos succursales porte ses fruits dans le secteur des services de cartes, dont les revenus de base ont augmenté de 13 % sur un an. Pour les neuf premiers mois de l’exercice, le nombre des nouveaux titulaires de carte de BMO a progressé de 40 % et le nombre des demandes provenant des succursales a bondi de 118 %. M. Downe a ajouté que BMO est à la recherche de la meilleure façon de distribuer d’autres produits dans ses succursales. « Dans le marché des prêts hypothécaires, nous avons quitté le circuit des courtiers, qui offre des marges moins élevées et moins de possibilités de ventes croisées. Nous engageons plus de spécialistes des prêts hypothécaires. Nous avons l’intention d’augmenter nos volumes de prêts et de regagner la part de marché que nous avons perdue, mais en bénéficiant d’une marge beaucoup plus élevée », a poursuivi M. Downe.

LA PROGRESSION DE BMO EST MULTISECTORIELLE
Commentant les résultats du groupe Gestion privée, M. Downe a expliqué : « Le groupe Gestion privée obtient des résultats remarquables. Le niveau d’efficience de ce groupe se situe dans le premier décile et son ratio de productivité avant amortissement s’établit à 68,4 %. »

Le revenu net de BMO Marchés des capitaux se chiffrait à 196 millions de dollars pour le troisième trimestre. « Si on fait abstraction de l’incidence des pertes sur produits de base, il s’agit là de résultats exceptionnels », a souligné M. Downe. Après rajustement pour tenir compte de ces pertes, le revenu net du groupe s’établit à 293 millions de dollars, soit une progression de 45 % par rapport à l’an dernier.

AMÉLIORER LA PERFORMANCE DE HARRIS
Harris, la société de services bancaires aux particuliers et aux entreprises de BMO qui est basée à Chicago, a comptabilisé, au cours des trois derniers trimestres, des coûts d’intégration des acquisitions de 4 à 6 millions de dollars en moyenne. Mais si on fait abstraction de ces coûts, Harris a accru son revenu net au cours de chacun des trois premiers trimestres du présent exercice, l’augmentant de 19 % depuis le quatrième trimestre de 2006. M. Downe a ajouté : « Nous avons une filiale très solide, qui est dotée d’un réseau enviable d’établissements de grande qualité, qui affiche des niveaux de satisfaction et de fidélité de la clientèle élevés et qui offre une gamme de services que ses concurrentes de plus petite taille ne peuvent égaler. Nous voyons une réelle possibilité de développement dans le secteur des services bancaires aux entreprises. Et nous pourrons nous appuyer sur un levier vraiment plus puissant en ajoutant d’autres succursales à notre réseau. »

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La présentation de M. Downe ainsi que le compte rendu de la période de questions et réponses seront conservés pendant un an après la conférence sur le site www.bmo.com/relationsinvestisseurs.

Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2007 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment la situation économique générale dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 28 et 29 du Rapport annuel 2006 de BMO, qui décrit en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.

Les hypothèses relatives au comportement futur des économies canadienne et américaine et aux conséquences de ce comportement sur nos activités étaient des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos priorités et objectifs stratégiques et de nos cibles financières, y compris notre dotation à la provision pour pertes sur créances. Selon certaines de nos principales hypothèses, les économies canadienne et américaine croîtraient à un rythme modéré en 2007 et le taux d’inflation demeurerait bas. Nous avons également supposé que les taux d’intérêt changeraient peu au Canada en 2007 mais qu’ils baisseraient aux États-Unis, et que le dollar canadien conserverait sa valeur par rapport au dollar américain. Le dollar canadien s’est renforcé par rapport au dollar américain et les taux d’intérêt ont augmenté aux États-Unis, mais nous croyons que nos autres hypothèses demeurent valides. Dans l’analyse de notre capacité à atteindre nos cibles pour 2007, nous avons continué à nous fier à ces hypothèses. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États-Unis et leurs agences. Les lois fiscales en vigueur dans les pays où nous sommes présents, principalement le Canada et les États-Unis, sont des facteurs importants dont nous devons tenir compte pour déterminer notre taux d’imposition effectif normal.