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Communiqués de presse

BMO Groupe financier déclarera au deuxième trimestre des pertes commerciales sur les marchandises à la valeur marchande de 350 à 450 millions de dollars (avant impôts)  

BMO Groupe financier (Bourse de New York : BMO, Bourse de Toronto : BMO) a déclaré aujourd’hui qu’il déclarera au deuxième trimestre de son exercice 2007 des pertes commerciales sur les marchandises à la valeur marchande dans une fourchette estimée entre 350 et 450 millions de dollars canadiens, avant impôts. L’impact de ces pertes sur les bénéfices de BMO Groupe financier au deuxième trimestre, qui seront annoncés le 23 mai 2007, est estimé à une fourchette de 45 à 55 cents par action.

Un certain nombre de facteurs ont contribué à ces pertes commerciales sur les marchandises à la valeur marchande. Au cours du trimestre, des positions détenues par BMO Groupe financier sur le marché de l'énergie, essentiellement dans le secteur du gaz naturel, ont subi les répercussions défavorables des conditions du marché. En particulier, le marché est devenu de moins en moins liquide, et la volatilité a touché ses niveaux les plus bas jamais enregistrés. Parallèlement à cette évolution, BMO a perfectionné sa méthode d'estimation de la valeur marchande de ce portefeuille.

Bill Downe, président et chef de la direction de BMO Groupe financier, a déclaré :
« Les pertes commerciales sur les marchandises ont découlé de décisions qui ne tenaient pas suffisamment compte de la vulnérabilité du portefeuille aux variations de la volatilité des marchés. Nous effectuons un examen minutieux de la situation actuelle et nous avons pris des mesures pour la corriger et pour réduire la probabilité qu'elle se produise de nouveau. Les pertes commerciales sur les marchandises sont particulièrement décevantes, car notre entreprise poursuit sur une lancée opérationnelle favorable. Nous continuons de nous engager à offrir le niveau de service élevé que nos clients du secteur de l'énergie attendent de BMO Marchés des capitaux. »

BMO continuera de repositionner ce portefeuille vers un niveau moins élevé et viable, conforme au maintien de son activité principale qui consiste à servir sa clientèle du secteur de l'énergie. Dans l'avenir, la valeur de ce portefeuille sera sujette aux conditions du marché.

Il est possible qu'avec le repositionnement de ce portefeuille, celui-ci connaisse des gains ou des pertes par la suite, selon les conditions futures du marché. BMO prévoit toutefois, même avec les hypothèses les plus défavorables, que les pertes éventuelles se situeront dans une fourchette sensiblement moins élevée que celle annoncée aujourd'hui.

BMO a aussi déclaré que son ratio de capital de première catégorie était de 9,90 % à la fin du premier trimestre et que l'impact de ces pertes sur ce ratio sera inférieur à 20 points de base. Par conséquent, cette perte ne réduit pas la capacité de l'entreprise à poursuivre son orientation stratégique.

Il y aura une conférence téléphonique où Bill Downe, président et chef de la direction, BMO Groupe financier, Karen Maidment, chef des finances et des affaires administratives, BMO Groupe financier, Yvan Bourdeau, chef de la direction, BMO Marchés des capitaux, et chef du groupe Services d'investissement et Bob McGlashan, chef de la gestion globale des risques, BMO Groupe financier, commenteront cette annonce et répondront aux questions du milieu de l'investissement le vendredi 27 avril 2007, de 9 h à 9 h 30 (HAE).

Les parties intéressées sont invitées à écouter cette conférence téléphonique. On peut accéder à celle-ci par téléphone au numéro 416-695-9753 (de Toronto) ou 1 888 789 0089 (sans frais, de l'extérieur de Toronto). On pourra l’écouter en reprise jusqu'au 11 mai 2007 en composant le 416 695 5275 (de Toronto) ou le 1 888 509 0081 (sans frais de l’extérieur de Toronto) et en entrant le code 643819#.

On pourra accéder à une webdiffusion en direct sur notre site Internet à l'adresse http://www.bmo.com/relationsinvestisseurs. On pourra trouver sur le site une reprise jusqu'au jeudi 12 juillet 2007.

Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995, loi américaine, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables et correspondent à des déclarations prospectives au sens de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2007 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : la situation économique générale dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et des taux de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, l’activité sur les marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.

Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, consulter les pages 28 et 29 du rapport annuel de BMO, qui décrivent de façon détaillée certains facteurs pouvant influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.

Les hypothèses relatives au comportement des marchés du gaz naturel et du pétrole brut et aux conséquences de ce comportement sur le rendement de nos activités dans les marchandises ont été des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos estimations des pertes commerciales que nous décrivons dans le présent communiqué. Selon certaines de nos principales hypothèses, les cours des marchandises et la volatilité implicite seront stables, et nous continuerons de gérer nos positions afin de repositionner le portefeuille à un niveau moins élevé et viable.

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