BMO Groupe financier annonce une charge de restructuration pour axer davantage ses activités sur la croissance et l’amélioration du service à la clientèle
BMO Groupe financier (NYSE : BMO, TSX : BMO) a annoncé aujourd’hui une charge de restructuration de 135 millions de dollars (88 millions de dollars après impôts) qui sera comptabilisée dans les résultats du premier trimestre lorsqu’ils seront annoncés le 1er mars 2007.
Cette charge confirme l’intention déjà formulée par BMO d’améliorer le service à la clientèle et de mettre l’accent sur :
- l’affectation de fonds et de ressources à l’amélioration de la prestation des employés des ventes et du service en contact direct avec la clientèle;
- l’élaboration de processus et la création de systèmes plus efficaces à l’échelle de l’entreprise;
- le maintien et l’accélération du rythme de croissance de l’entreprise.
L’effort de restructuration annoncé aujourd’hui résulte d’un examen détaillé de l’efficience et de l’efficacité de toutes les fonctions, de tous les groupes d’exploitation et de tous les processus d’affaires qui soutiennent le travail des employés des ventes et du service.
La charge de restructuration est liée à la suppression d’environ 1 000 postes, essentiellement au sein de groupes dont les employés n’ont pas d’interactions directes avec la clientèle, et ce, dans toutes les fonctions de soutien et tous les groupes d’exploitation de l’entreprise. De cette somme, 117 millions de dollars sont reliés aux indemnités de licenciement et 18 millions de dollars à des frais non reliés au personnel.
L’entreprise a indiqué que les retombées de la réduction des coûts découlant de cette initiative sont importantes pour l’atteinte des objectifs financiers de 2007 dévoilés dans le communiqué sur les résultats financiers du quatrième trimestre de l’exercice 2006.
« Chez BMO, les employés constituent notre plus important avantage concurrentiel. C’est pourquoi il est toujours difficile de prendre des décisions qui entraînent la suppression d’emplois, a indiqué Tony Comper, président et chef de la direction de BMO Groupe financier. Toutefois, nous jugeons essentiel pour nos clients, nos employés et nos actionnaires de prendre des mesures pour rendre nos fonctions de soutien rationnelles et efficaces, simplifier nos processus, alléger notre structure et éliminer les chevauchements de tâches à l’échelle de l’entreprise. »
BMO entend poursuivre la mise en œuvre de ces initiatives tout au long de 2007 et au-delà. La suppression des emplois s’effectuera en grande partie au cours de l’exercice 2007.
Bill Downe, chef de l’exploitation, BMO Groupe financier a déclaré : « Une fois leur mise en œuvre complétée, ces changements aideront nos employés à améliorer leur prestation de service aux clients et nous permettront de ramener nos frais globaux à un niveau concurrentiel et viable. Les économies ainsi réalisées serviront à financer notre future croissance et nos activités de première ligne. Au cours de la dernière année, nous avons investi dans le service à la clientèle, augmenté le nombre de professionnels de la vente et créé une unité de soutien plus efficace et proactive. Ces initiatives bénéficieront à nos clients et elles faciliteront la tâche de nos employés qui seront en mesure d’offrir un service à la clientèle exceptionnel et d’élargir ainsi les relations d’affaires ».
M. Downe a ajouté : « Conformément à nos pratiques courantes, la réduction du nombre d’emplois s’effectuera de façon juste et équitable et nous avancerons rapidement et de manière décisive pour réaliser nos objectifs. »
Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier est une entreprise nord-américaine de services financiers hautement diversifiés. Fort d’un actif total de 320 milliards de dollars au 30 octobre 2006, et d’un effectif de plus de 35 000 employés, BMO offre une vaste gamme de produits et de solutions dans les domaines des services bancaires de détail, de la gestion de patrimoine et des services d’investissement. BMO Groupe financier sert ses clients dans tout le Canada par l’intermédiaire de BMO Banque de Montréal et de ses sociétés de gestion de patrimoine, BMO Nesbitt Burns, BMO Ligne d’action et BMO Banque privée Harris. BMO Marchés des capitaux, la division nord-américaine de services bancaires et d’investissement aux grandes entreprises, offre une gamme complète de produits et de services aux clients nord-américains et internationaux. Aux États-Unis, BMO sert ses clients par l’intermédiaire de Harris, société financière intégrée de Chicago, qui offre des services bancaires, de crédit, d’investissement, de planification financière, d’administration de fiducie, de gestion de portefeuille, de services financiers aux familles et de transfert de patrimoine à plus d’un million de particuliers et d’entreprises.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, et elles sont conçues comme des déclarations prospectives aux termes de ces lois. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2007 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs de ces déclarations de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : la situation économique générale dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.
Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 28 et 29 du Rapport annuel 2006 de BMO, qui décrit en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.
Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine en 2007 et aux conséquences de ce comportement sur nos activités sont des facteurs importants dont nous tenons compte lors de l’établissement de nos priorités et objectifs stratégiques et de nos cibles financières, y compris nos provisions pour créances irrécouvrables. Selon certaines de nos principales hypothèses, les économies canadienne et américaine croîtront à un rythme modéré en 2007 et le taux d’inflation demeurera bas. Nous avons également supposé que les taux d’intérêt changeront peu au Canada en 2007 mais qu’ils baisseront aux États-Unis, et que le dollar canadien conservera ses récents gains par rapport au dollar américain. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États-Unis et leurs agences. Les lois fiscales en vigueur dans les pays où nous sommes présents, principalement le Canada et les États-Unis, sont des facteurs importants dont nous devons tenir compte pour déterminer notre taux d’imposition effectif normal.
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