BMO Groupe Financier Déclare Une Augmentation De 30 % De Son Revenu Net Et Un Revenu Net Record Au Troisième Trimestre De 2006
Communiqué intégral sur les résultats trimestriels, y compris la vue d'ensemble des résultats, le tableau des faits saillants, l’analyse des résultats financiers et les états financiers non vérifiés, en format PDF.
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Principaux points de comparaison avec les résultats du troisième trimestre de l’an dernier :
· Revenu net de 710 millions de dollars, en hausse de 163 millions ou de 30 %.
· Résultat par action1(RPA) de 1,38 $ et RPA avant amortissement2 de 1,40 $, en hausse respectivement de
29 % et 27 %.
· Rendement des capitaux propres (RCP) de 20,3 %, alors qu’il était de 16,8 % l’an dernier.
· Croissance du revenu2 de 6,7 % (de 8,9 % si on fait abstraction de Harrisdirect3 et de 11,5 % si on exclut
également l’incidence de l’affaiblissement du dollar américain).
· Augmentation des frais de 2,0 % (de 6,6 % si on fait abstraction de Harrisdirect et de 9,3 % si on exclut
également l’incidence de l’affaiblissement du dollar américain).
· Amélioration de 282 points de base du ratio de productivité2, qui s’établit à 61,5 %, et amélioration de
226 points de base du ratio de productivité avant amortissement2, qui s’établit à 61,1 %.
· Provision pour créances irrécouvrables de 42 millions de dollars, alors qu’elle s’élevait à 73 millions l’an
dernier.
· Ratio du capital de première catégorie de 10,07 %, nettement au-dessus de notre cible de 8 % et en hausse
par rapport aux 9,41 % d’il y a un an, mais en baisse par rapport aux 10,20 % de la fin du deuxième trimestre.
· Revenu net des groupes d’exploitation
· Groupe Particuliers et entreprises : revenu net record de 376 millions de dollars, en hausse de 69 millions ou de 22 %.
· Groupe PE – Canada : revenu net record de 345 millions de dollars, en hausse de 68 millions ou de
25 %, grâce à la forte progression des volumes, à un taux d’imposition effectif peu élevé, dû
principalement à un recouvrement de 26 millions de dollars d’impôts sur les bénéfices d’exercices
antérieurs, et à un gain de 38 millions (25 millions après impôts) sur le premier appel public à l’épargne
(PAPE) de MasterCard International.
· Groupe PE – Services bancaires région de Chicago : 31 millions de dollars, en hausse de 1 million,
et forte croissance des revenus en devise d’origine.
· Groupe Gestion privée : 85 millions de dollars, en hausse de 22 millions ou de 35 %, grâce à la forte
croissance des revenus (abstraction faite des revenus de Harrisdirect l’an dernier).
· Groupe Services d’investissement : 201 millions de dollars, en hausse de 17 millions ou de 9,0 %, grâce
surtout à l’augmentation des revenus de négociation.
· Groupe Services d’entreprise : 48 millions de dollars, en hausse de 55 millions, grâce à la diminution
des provisions pour créances irrécouvrables et des impôts sur les bénéfices.
Principaux points de comparaison avec les résultats des neuf premiers mois de l’an dernier :
· Revenu net de 1 967 millions de dollars, en hausse de 235 millions ou de 14 %.
· RPA de 3,80 $, en hausse de 13 %, et RPA avant amortissement de 3,86 $, en hausse de 12 %. Si on fait
abstraction d’une réduction de 40 millions de dollars (26 millions après impôts) de la réserve générale effectuée en
2005, le RPA a progressé de 15 % et le RPA avant amortissement, de 13 %.
· RCP de 19,2 %, alors qu’il était de 18,4 % l’an dernier.
· Amélioration de 217 points de base du ratio de productivité, qui s’établit à 62,2 %, et amélioration de 162 points de
base du ratio de productivité avant amortissement, qui s’établit à 61,8 %.
· Provisions spécifiques pour créances irrécouvrables de 160 millions de dollars. Nous prévoyons
maintenant que les provisions spécifiques se chiffreront à 250 millions de dollars ou moins pour l’exercice,
alors que notre cible s’élevait à 400 millions et notre estimation faite à la fin du premier trimestre, à
325 millions.
1 Sauf indication contraire, lorsqu’il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s’agit toujours du résultat
dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables
généralement reconnus (PCGR) et de substituer le revenu et les impôts sur les bénéfices sur une base d’imposition comparable (bic) au
revenu et aux impôts sur les bénéfices selon les PCGR sont exposés plus loin dans la section Mesures conformes aux PCGR et mesures
connexes non conformes aux PCGR utilisées dans le Rapport de gestion, de l’Analyse des résultats financiers, où sont également
expliqués toutes les mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Les revenus et les impôts sur
les bénéfices sont indiqués dans les états financiers conformément aux PCGR. Sauf en ce qui concerne les états financiers, tous les
revenus et impôts sur les bénéfices, ainsi que les mesures qui incluent des revenus ou des impôts sur les bénéfices, qui sont présentés
dans le présent document le sont sur une base d’imposition comparable.
3 Au quatrième trimestre de 2005, BMO a conclu la vente de Harrisdirect, notre ancienne société de placement en direct aux États-
Unis. Certaines de nos mesures de la croissance des revenus et des frais et de la productivité sont présentées sur une base qui exclut les
résultats de Harrisdirect au cours des périodes comparées, afin de faciliter l’explication des résultats.
Les références aux services bancaires aux particuliers et aux entreprises concernent les activités du groupe Particuliers et entreprises et les références aux services de gestion de patrimoine concernent les activités du groupe Gestion privée.
MD Marque déposée de la Banque de Montréal.
La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l’organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l’appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal ainsi que ses filiales.
RAPPORT DE GESTION DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2006
Les commentaires contenus dans le Rapport de gestion du troisième trimestre sont en date du 22 août 2006. Sauf indication contraire, tous les montants sont en dollars canadiens et ont été établis à partir d'états financiers préparés conformément aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada. Le présent Rapport de gestion intermédiaire doit être lu en se reportant aux états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés pour les périodes terminées le 31 juillet 2006, qui sont inclus dans ce communiqué, et au Rapport de gestion de l’exercice terminé le 31 octobre 2005, qui est inclus dans le Rapport annuel 2005 de BMO.
Sommaire des résultats
Montréal, le 22 août 2006 – BMO Groupe financier déclare un revenu net de 710 millions de dollars pour le trimestre terminé le 31 juillet 2006, soit une hausse de 163 millions, ou de 30 %, par rapport à l’an dernier. Le RPA s’est accru de 0,31 $, ou de 29 %, et s’établit à 1,38 $, et le RPA avant amortissement s’est accru de 0,30 $, ou de 27 %, et s’établit à 1,40 $.
REVUE DES RÉSULTATS
« Je suis enchanté de nos résultats de ce trimestre et de notre revenu net record, a déclaré Tony Comper, président et chef de la direction de BMO Groupe financier. Tous nos groupes d’exploitation ont fortement progressé par rapport à l’an dernier et nous avons continué à investir dans des initiatives stratégiques pour soutenir notre croissance future. Je suis aussi extrêmement heureux de la nomination au cours du trimestre de nouveaux dirigeants à la tête de nos services aux particuliers et aux entreprises, tant au Canada qu’aux États-Unis, ainsi que de la profondeur de l’ensemble de notre équipe de hauts dirigeants. Je suis absolument convaincu que ces leaders contribueront à l’élaboration de nos stratégies, au développement de nos secteurs d’activité et à l’accroissement de notre profitabilité. »
Le revenu net de BMO s’est accru de 163 millions de dollars, ou de 30 %, par rapport au troisième trimestre de l’an dernier. Le revenu net du groupe Particuliers et entreprises a progressé de 69 millions de dollars, ou de 22 %, grâce à la croissance des volumes, au gain de 38 millions (25 millions après impôts) lié au premier appel public à l’épargne (PAPE) de MasterCard et à un taux d’imposition peu élevé, dû principalement au recouvrement de 26 millions de dollars d’impôts sur les bénéfices d’exercices antérieurs. Le revenu net du groupe Gestion privée a augmenté de 22 millions de dollars, ou de 35 %, ce qui est dû en partie à une perte d’exploitation de 12 millions de Harrisdirect constatée dans les résultats de l’an dernier. Une fois rajusté pour tenir compte de la vente de Harrisdirect l’an dernier, le revenu du groupe a connu une forte croissance multisectorielle. Le revenu net du groupe Services d’investissement s’est accru de 17 millions de dollars, ou de 9,0 %, grâce à la hausse des revenus de négociation et de commissions et à l’accroissement des activités dans le secteur des fusions et acquisitions. Le groupe Services d’entreprise a augmenté son revenu net de 55 millions de dollars, grâce principalement à la réduction des provisions pour créances irrécouvrables et des impôts sur les bénéfices.
« C’est notre groupe Particuliers et entreprises qui a le plus contribué à la croissance de notre revenu net par rapport au deuxième trimestre, a ajouté M. Comper. Ce groupe a réalisé un revenu net record et, comme nous l’avions prévu, il a accru la marge nette d’intérêts du groupe PE – Canada. »
Comparativement au deuxième trimestre, le revenu net de BMO s’est accru de 59 millions de dollars ou de 9,1 %. Le revenu net du groupe Particuliers et entreprises a progressé de 90 millions de dollars ou de 31 %. Le groupe PE – Canada a bénéficié d’une bonne croissance des volumes, de l’amélioration de la marge nette d’intérêts, d’un taux d’imposition effectif peu élevé, du gain lié au PAPE de MasterCard et du fait que le troisième trimestre comptait trois jours de plus que le précédent. Ces facteurs ont toutefois été partiellement neutralisés par la hausse des frais engagés pour la croissance future, notamment les frais liés à l’expansion de la force de vente de nos services aux particuliers et aux entreprises. Le groupe PE – Services bancaires région de Chicago a lui aussi contribué à la forte croissance du revenu net, grâce à la hausse de ses revenus et à la diminution de ses frais. Le revenu net du groupe Gestion privée a diminué de 11 millions de dollars, ou de 12 %. Les marchés des capitaux ont été moins actifs qu’au trimestre précédent et le volume saisonnier des transactions effectuées par les clients a diminué, alors que les frais du groupe augmentaient en raison des investissements dans sa force de vente. Le revenu net du groupe Services d’investissement a reculé de 44 millions de dollars ou de 18 %. Bien que les revenus de négociation aient été élevés, ils ont diminué par rapport aux revenus particulièrement élevés du deuxième trimestre. Les revenus des activités de prise ferme et les gains sur titres de placement ont aussi été moins élevés qu’au trimestre précédent, les revenus du groupe au deuxième trimestre ayant bénéficié d’initiatives fiscales liées aux activités d’exploitation. Le revenu net du groupe Services d’entreprise s’est accru de 24 millions de dollars, grâce principalement à l’augmentation de ses revenus et à la réduction des provisions pour créances irrécouvrables, facteurs partiellement neutralisés par la hausse des frais.
Pour les neuf premiers mois de l’exercice, le revenu net de BMO se chiffre à 1 967 millions de dollars, soit une progression de 235 millions, ou de 14 %, comparativement à la même période en 2005. Le RPA s’élève à 3,80 $, en hausse de 0,45 $ ou de 13 %, et le RPA avant amortissement atteint 3,86 $, soit une hausse de 0,40 $ ou de 12 %.
Le revenu net du groupe Particuliers et entreprises a augmenté de 68 millions de dollars, ou de 7,5 %, pour les neuf premiers mois de l’exercice. La forte croissance des volumes et le gain lié au PAPE de MasterCard n’ont été que partiellement neutralisés par les effets de la réduction de la marge nette d’intérêts, de la hausse des frais et de l’augmentation de la provision pour créances irrécouvrables. Le groupe Gestion privée a augmenté son revenu net de 62 millions de dollars ou de 29 %, la forte croissance des revenus, abstraction faite de l’incidence de la vente de Harrisdirect, ayant surpassé l’augmentation des frais liés au revenu. Le revenu net du groupe Services d’investissement s’est accru de 47 millions de dollars, ou de 7,4 %, la forte croissance des revenus ayant plus que compensé l’incidence de la hausse des coûts liés au rendement. Les résultats de la période précédente avaient bénéficié de la constatation d’un gain de 44 millions de dollars (37 millions après impôts) lié à la restructuration des entités à détenteurs de droits variables (EDDV) au deuxième trimestre de 2005. Le revenu net du groupe Services d’entreprises a progressé de 58 millions de dollars et s’établit à 56 millions, grâce surtout à des avantages fiscaux plus élevés et à la réduction de ses frais, facteurs partiellement neutralisés par la baisse des recouvrements de pertes sur prêts.
« Nous avons continué à produire de bons résultats depuis le début de l’année et nous demeurons en bonne voie d’atteindre les cibles financières que nous avons fixées pour l’exercice, a poursuivi M. Comper. Nous réussissons à établir un équilibre entre notre engagement à atteindre ces cibles et la nécessité d’investir pour assurer notre croissance future, comme le montre la récente annonce de notre intention d’acquérir bcpbank Canada, dont la clientèle est constituée principalement de la nombreuse communauté de Canadiens d’origine portugaise. Cette acquisition nous ouvrira l’un des plus importants débouchés qui s’offrent à nous : le marché des services financiers destinés à une clientèle canadienne multiculturelle et multigénérationnelle. »
Le revenu1 du trimestre a progressé de 162 millions de dollars, ou de 6,7 %, comparativement au troisième trimestre de l’an dernier et il s’élève à 2 603 millions, mais sa progression est de 210 millions, ou de 8,9 %, si on exclut les résultats de Harrisdirect. L’affaiblissement du dollar américain a diminué la croissance du revenu de 63 millions de dollars ou de 2,6 %. Le revenu du groupe Particuliers et entreprises s’est accru de 129 millions de dollars, ou de 9,8 %, grâce à la forte croissance des volumes de ses produits et au gain de 38 millions lié au PAPE de MasterCard, facteurs partiellement neutralisés par les effets du rétrécissement de la marge nette d’intérêts et de l’affaiblissement du dollar américain. Le revenu du groupe Gestion privée a diminué de 2 millions de dollars, mais il a augmenté de 46 millions, ou de 11 %, si on exclut les résultats de Harrisdirect, et de 54 millions, ou de 13 %, si on exclut également l’incidence de l’affaiblissement du dollar américain. La croissance du revenu de ce groupe s’est manifestée dans de nombreux secteurs. Le revenu du groupe Services d’investissement s’est accru de 31 millions de dollars, ou de 4,6 %, mais l’augmentation atteint 64 millions de dollars, ou 9,7 %, si on exclut l’incidence de l’affaiblissement du dollar américain. Les revenus de négociation ont augmenté grâce à une conjoncture favorable sur le marché et à l’intensification des activités des clients, particulièrement dans le secteur des instruments dérivés des produits de base. Les commissions sur titres de même que les revenus du secteur des fusions et acquisitions ont aussi augmenté. Les gains nets sur titres de placement de BMO s’élèvent à 51 millions de dollars pour le trimestre. Mais si on fait abstraction du gain de 38 millions de dollars lié au PAPE de Mastercard, les gains nets sur titres de placement ont diminué de 24 millions par rapport au troisième trimestre de 2005 et de 17 millions par rapport au deuxième trimestre de 2006.
Par rapport au deuxième trimestre, le revenu s’est accru de 100 millions de dollars, ou de 4,0 %, en partie parce que le troisième trimestre comptait trois jours de plus que le précédent. Le revenu du groupe Particuliers et entreprises a progressé de 133 millions de dollars, ou de 10 %, grâce à la croissance des volumes, au gain lié au PAPE de MasterCard, au fait que le trimestre comptait plus de jours, à l’amélioration de la marge nette d’intérêts au Canada et à l’augmentation des revenus des services de cartes, de titrisation et d’assurance. Ces facteurs ont toutefois été partiellement neutralisés par l’incidence du rétrécissement de la marge nette d’intérêts aux États-Unis et par l’affaiblissement du dollar américain. Le revenu du groupe Gestion privée a diminué de 10 millions de dollars, ou de 2,0 %, la diminution saisonnière des revenus de négociation n’ayant été que partiellement compensée par la hausse du revenu net d’intérêts. Le revenu du groupe Services d’investissement a diminué de 48 millions de dollars, ou de 6,6 %, en raison de la baisse des revenus de négociation, des gains sur titres de placement et des revenus des activités de prise ferme, baisse partiellement compensée par l’augmentation des commissions sur les fusions et acquisitions. Le revenu du groupe Services d’entreprise a augmenté de 25 millions de dollars grâce à la hausse du revenu net d’intérêts lié aux activités générales de l’entreprise.
Pour les neuf premiers mois de l’exercice, le revenu s’est accru de 310 millions de dollars, ou de 4,3 %, et s’élève à 7 618 millions de dollars, mais il a progressé de 466 millions, ou de 6,5 %, si on exclut les résultats de Harrisdirect. L’affaiblissement du dollar américain a réduit la croissance du revenu de 140 millions de dollars, ou de 1,9 %. La croissance du revenu pour les neuf premiers mois de l’exercice est due en grande partie aux mêmes facteurs qui ont augmenté le revenu du troisième trimestre par rapport au trimestre correspondant l’an dernier. Cependant, le revenu de 2005 incluait un gain de 44 millions de dollars lié à la restructuration des EDDV.
La marge nette d’intérêts1 globale de BMO pour le troisième trimestre de 2006 s’établit à 1,60 %, soit un recul de 8 points de base comparativement à l’an dernier, mais une hausse de 5 points de base par rapport au deuxième trimestre, en grande partie grâce à une amélioration de 8 points de base de la marge du groupe PE – Canada. Les marges nettes d’intérêts des groupes PE – Canada et Services d’investissement se sont toutes deux rétrécies par rapport à l’an dernier, mais elles se sont élargies comparativement au deuxième trimestre. La marge nette d’intérêts du groupe Gestion privée s’est améliorée aussi bien par rapport à l’an dernier que par rapport au deuxième trimestre, tandis que celle du groupe PE – Services bancaires région de Chicago s’est rétrécie. Les marges nettes d’intérêts sont présentées en détail dans la section Revenu de l’Analyse des résultats financiers.
Les frais autres que d’intérêts se chiffrent à 1 600 millions de dollars pour le troisième trimestre de 2006, soit une hausse de 31 millions, ou de 2,0 %, comparativement à l’an dernier, mais la hausse est de 98 millions, ou de 6,6 %, si on exclut les résultats de Harrisdirect. L’affaiblissement du dollar américain a retranché 41 millions de dollars, ou 2,7 %, à l’augmentation des frais. Les frais des services bancaires aux particuliers et aux entreprises ont augmenté en raison de la hausse des frais liés au personnel, qui est attribuable à l’augmentation des forces de vente des services aux particuliers et des services aux entreprises au Canada; aux États-Unis, après rajustement pour tenir compte de l’affaiblissement du dollar américain, ils ont aussi augmenté en raison des frais liés aux acquisitions et à l’expansion du réseau de succursales. L’augmentation des dépenses liées à des initiatives au Canada et aux États‑Unis a aussi contribué à la hausse des frais des services bancaires aux particuliers et aux entreprises. Les indemnités de départ du groupe Services d’investissement ont augmenté, de même que les coûts liés au revenu du groupe Gestion privée.
Par rapport au deuxième trimestre, les frais autres que d’intérêts ont augmenté de 40 millions de dollars, ou de 2,7 %, en partie parce que le troisième trimestre comptait trois jours de plus que le précédent. Les coûts liés au personnel ont augmenté en raison de l’expansion des forces de vente des services aux particuliers et des services aux entreprises au Canada. Les frais du groupe PE – Services bancaires région de Chicago ont diminué parce que les résultats du deuxième trimestre comportaient une hausse des frais de montage de prêts et de marketing. Les frais du groupe Gestion privée ont augmenté en raison de la hausse de notre investissement dans notre force de vente, tandis que la baisse des coûts liés au rendement du groupe Services d’investissement contribuait à la diminution globale des frais de ce groupe.
Pour les neuf premiers mois de l’exercice, les frais autres que d’intérêts ont augmenté de 34 millions de dollars, ou de 0,7 %, et s’élèvent à 4 740 millions de dollars, mais l’augmentation est de 217 millions, ou de 4,8 %, si on exclut Harrisdirect. L’affaiblissement du dollar américain a réduit la croissance des frais de 92 millions de dollars, ou de 2,0 %. L’augmentation des frais est principalement attribuable aux mêmes facteurs qui ont contribué à leur augmentation au troisième trimestre par rapport au trimestre correspondant l’an dernier. Au deuxième trimestre de 2005, les résultats comprenaient une provision de 25 millions de dollars liée à un litige, constatée dans les résultats du groupe Services d’entreprise.
Le ratio de productivité s’établit à 61,5 % pour le troisième trimestre de 2006, alors qu’il était de 64,3 % il y a un an. Le ratio de productivité avant amortissement s’est amélioré de 226 points de base et s’établit à 61,1 %, ou de 120 points de base si on exclut les résultats de Harrisdirect pour la période correspondante l’an dernier. Par rapport au deuxième trimestre, nos ratios de productivité et de productivité avant amortissement se sont améliorés respectivement de 81 et de 78 points de base. Pour les neuf premiers mois de l’exercice, notre ratio de productivité s’est amélioré de 217 points de base par rapport à la période comparable en 2005, tandis que notre ratio de productivité avant amortissement s’améliorait de 162 points de base, l’écart entre les améliorations s’expliquant en grande partie par la vente de Harrisdirect qui a eu pour conséquence de réduire l’amortissement des actifs incorporels, une charge hors trésorerie.
Les provisions pour créances irrécouvrables demeurent peu élevées, totalisant 42 millions de dollars au troisième trimestre, alors qu’elles atteignaient 73 millions il y a un an et 66 millions au deuxième trimestre. Les provisions spécifiques pour créances irrécouvrables totalisent 160 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l’exercice et il n’y a eu aucun changement à la réserve générale en 2006. Pour les neuf premiers mois de l’exercice 2005, la provision globale pour créances irrécouvrables se chiffrait à 122 millions de dollars, soit des provisions spécifiques de 162 millions et une réduction de la réserve générale de 40 millions. Nous prévoyons maintenant des provisions spécifiques pour créances irrécouvrables de 250 millions de dollars ou moins pour l’exercice 2006, alors que la cible que nous avions établie au début de l’exercice était une provision de 400 millions ou moins et que notre estimation à la fin du premier trimestre était de 325 millions.
Le revenu net provenant de nos activités aux États-Unis s’établit à 101 millions de dollars américains pour le troisième trimestre de 2006, alors qu’il s’établissait à 68 millions de dollars américains l’an dernier et à 99 millions de dollars américains au deuxième trimestre. L’amélioration par rapport à l’an dernier est due en partie à la réduction des provisions pour créances irrécouvrables en 2006 et à la perte d’exploitation de Harrisdirect au troisième trimestre de l’an dernier.
La Banque de Montréal détient une participation dans MasterCard Incorporated. Au cours du trimestre, MasterCard a effectué un premier appel public à l’épargne aux États-Unis. Dans le cadre de cette opération, une partie des intérêts de la Banque de Montréal dans MasterCard a été rachetée. BMO a alors réalisé un gain de 38 millions de dollars canadiens (25 millions de dollars canadiens après impôts) sur les actions rachetées, ce qui est conforme à l’estimation que nous avions indiquée lors de la publication de nos résultats du deuxième trimestre.
Le ratio du capital de première catégorie s’établit à 10,07 %, alors qu’il se chiffrait à 10,20 % à la fin du deuxième trimestre et à 10,30 % à la fin de 2005. Ces reculs sont principalement attribuables à la croissance de l’actif pondéré en fonction des risques, elle-même due en grande partie à la croissance des prêts des groupes Particuliers et entreprises et Services d’investissement.
Le 24 mai 2006, BMO a annoncé une hausse de la fourchette de son ratio de distribution cible, qui était de 35 % à 45 %, en la portant entre 45 % et 55 % du revenu net afférent aux actions ordinaires. Cette hausse reflète notre confiance en notre capacité d’accroître de façon soutenue notre revenu net ainsi que la solidité de notre assise financière. Notre rigueur en matière de gestion du capital nous permettra de poursuivre la mise en œuvre de nos attrayantes stratégies de croissance et de respecter notre engagement de longue date à accroître la valeur pour les actionnaires. Conformément à son nouveau ratio de distribution cible, BMO a en même temps annoncé une hausse de 17 %, ou de 0,09 $, du dividende versé à ses actionnaires ordinaires pour le troisième trimestre. Le dividende passe ainsi de 0,53 $ à 0,62 $, soit 35 % de plus qu’à la même période l'an dernier, alors qu’il était de 0,46 $. Au troisième trimestre, le rendement des actions ordinaires de BMO était le meilleur des grandes banques du Canada.
Au cours du trimestre, nous avons racheté 2 544 900 actions ordinaires de la Banque de Montréal dans le cadre de notre programme de rachat d’actions ordinaires, au prix moyen de 61,90 $ l’action, pour une somme totale de 158 millions de dollars. Nous avons racheté 5 760 700 actions ordinaires en vertu d’une offre publique de rachat dans le cours normal de nos activités, qui arrive à échéance le 5 septembre 2006 et qui nous autorise à racheter aux fins d’annulation un maximum de 15 000 000 d’actions ordinaires de la Banque de Montréal, soit environ 3 % des actions en circulation de BMO. Notre programme de rachat d’actions ordinaires vise principalement à compenser, à la longue, l’effet de dilution causé par l’exercice d’options d’achat d’actions, le Régime de réinvestissement des dividendes et la conversion d’actions convertibles. Après la fin du trimestre, le Conseil d’administration de BMO a autorisé la direction à déposer un avis d’intention de faire une nouvelle offre dans le cours normal de nos activités, sous réserve de l’approbation de la Bourse de Toronto, visant à racheter à des fins d’annulation un maximum de 15 millions d’actions ordinaires de la Banque de Montréal, soit environ 3 % des actions en circulation de BMO.
1 Sur une base d’imposition comparable – voir la section qui traite des mesures conformes et des mesures connexes non conformes aux PCGR.
Cibles pour l’exercice 2006
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Résultats cumulatifs depuis le début de l’exercice jusqu’au 31 juillet 2006
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· Croissance du RPA de 5 % à 10 % par rapport à un montant de base de 4,58 $* (excluant les changements apportés à la réserve générale).
· RCP de 17 % à 19 %.
· Provision spécifique pour créances irrécouvrables de 400 millions de dollars ou moins.
Nous prévoyons maintenant des provisions spécifiques de 250 millions ou moins pour l’exercice 2006, alors que notre estimation était de 325 millions à la fin du premier trimestre.
· Ratio du capital de première catégorie d’au moins 8,0 %.
· Amélioration du ratio de productivité avant amortissement de 100 à 150 points de base.
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· RPA de 3,80 $, en hausse de 15 % par rapport à 3,30 $ (excluant les changements apportés à la réserve générale).
· RCP annualisé de 19,2 %.
· Provision spécifique pour créances irrécouvrables de 160 millions de dollars.
· Ratio du capital de première catégorie de 10,07 %.
· Amélioration du ratio de productivité avant amortissement de 162 points de base par rapport à l’an dernier.
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* Auparavant 4,59 $. Montant retraité en raison de l’application rétroactive des modifications de la convention comptable concernant la rémunération à base d’actions.
Perspectives relatives aux résultats et à l’économie en 2006
Nous demeurons sur la bonne voie pour atteindre les cibles de l’exercice 2006 qui sont présentées ci-dessus et que nous avons établies à la fin de l’exercice 2005.
Nous nous attendons maintenant à ce que l’économie canadienne croisse au rythme modéré de 3,0 % en 2006, soit un taux assez semblable à celui de l’an dernier. Nous prévoyons que les investissements des entreprises demeureront élevés, en réaction à la croissance continue des profits des entreprises, ce qui favorisera la croissance des prêts aux entreprises. Sur le marché de l’habitation, par contre, l’activité devrait diminuer, les précédentes hausses des taux d’intérêt ayant pour effet de réduire la demande et de ralentir la construction. La force du dollar canadien continuera probablement à restreindre les exportations et l’activité manufacturière cette année. Les taux d’intérêt devraient rester stables pendant un certain temps, ce qui, combiné à l’expansion économique régulière, devrait favoriser les activités rémunérées des services bancaires d’investissement. Nous prévoyons que les provinces productrices de ressources de l’Ouest du Canada, ainsi que la province de Terre-Neuve-et-Labrador, mèneront l’économie canadienne cette année, parce que les prix des produits de base sont à des niveaux historiquement élevés.
Nous prévoyons que l’économie des États-Unis croîtra à un bon rythme 3,4 % en 2006, soit un rythme similaire à celui de l’an dernier. Après une brusque accélération plus tôt cette année, la croissance s’est ralentie en raison des taux d’intérêt à la hausse et des prix élevés de l’énergie. Les investissements des entreprises, qui resteront élevés grâce à la bonne situation des bilans, devraient favoriser la croissance des prêts aux entreprises. Par contre, les précédentes hausses de taux d’intérêt devraient continuer à atténuer la demande de prêts hypothécaires à l’habitation et de prêts à la consommation. On s’attend à ce que le dollar américain continue à se déprécier par rapport à la plupart des principales monnaies, en raison de l’importance du déficit commercial des États-Unis et de l’assouplissement prévu de la politique de la Réserve fédérale l’an prochain.
Responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière contenue dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information, en décembre 2005, BMO a déposé des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès des Autorités canadiennes en valeurs mobilières et de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exigent, au Canada, la norme multilatérale 52-109 (Attestation de l’information présentée dans les documents annuels et intermédiaires des émetteurs) et, aux États-Unis, la loi Sarbanes-Oxley, l'exactitude de l'information financière contenue dans nos documents d'information annuels ainsi que l'efficacité de nos contrôles et procédures de communication de l’information. Le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient l'exactitude de l'information financière contenue dans nos rapports intermédiaires déposés auprès des organismes de réglementation, y compris le présent Rapport de gestion et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés pour la période terminée le 31 juillet 2006 qui l’accompagnent. Ils certifient également qu’ils sont responsables de l’élaboration des contrôles et procédures relatifs à la communication de l’information financière.
Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent document et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.
On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d’activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section Rapport de gestion du Rapport annuel 2005 de BMO, accessible sur notre site Web à l’adresse www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Nous invitons également les lecteurs à visiter ce site pour y obtenir d’autres renseignements financiers trimestriels.
Documents déposés auprès des organismes de réglementation
Nos documents d’information continue, y compris nos documents intermédiaires, notre Rapport de gestion et nos États financiers consolidés vérifiés annuels, notre Notice annuelle et notre Avis de convocation à l’assemblée annuelle des actionnaires et circulaire de sollicitation de procurations, sont accessibles sur notre site Web, à www.bmo.com/relationsinvestisseurs, sur le site des autorités canadiennes en valeurs mobilières, à www.sedar.com, et dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à www.sec.gov.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent document contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans d’autres documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995, et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs et nos priorités pour l’exercice 2006 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions, pronostics, conclusions ou projections se révèlent inexacts, que nos hypothèses soient erronées et que les résultats réels diffèrent sensiblement de ces prévisions, pronostics, conclusions ou projections. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : la situation économique générale dans les pays où nous sommes présents, les fluctuations des taux d’intérêt et de change, les changements de politique monétaire, l’intensité de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les changements de législation, les procédures judiciaires ou démarches réglementaires, l’exactitude ou l’exhaustivité de l’information que nous obtenons sur nos clients et nos contreparties, notre capacité de mettre en œuvre nos plans stratégiques, de conclure des acquisitions et d’intégrer les entreprises acquises, les estimations comptables critiques, les risques opérationnels et infrastructurels, la situation politique générale, les activités des marchés financiers internationaux, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes sur nos activités, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, et les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau et les changements technologiques.
Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. D’autres facteurs pourraient influer défavorablement sur nos résultats. Pour de plus amples renseignements, le lecteur peut se reporter aux pages 29 et 30 du Rapport annuel 2005 de BMO, qui décrit en détail certains facteurs clés susceptibles d’influer sur les résultats futurs de BMO. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.
Les hypothèses relatives au comportement des économies canadienne et américaine en 2006 et aux conséquences de ce comportement sur nos activités sont des facteurs importants dont nous avons tenu compte lors de l’établissement de nos priorités et objectifs stratégiques et de nos cibles financières pour l’exercice 2006, y compris nos provisions pour créances irrécouvrables. Selon certaines de nos principales hypothèses, les économies canadienne et américaine devraient croître à un rythme vigoureux en 2006 et le taux d’inflation devrait demeurer bas. Nous avons également supposé que les taux d’intérêt augmenteraient progressivement dans les deux pays en 2006 et que le dollar canadien conserverait ses récents gains. Nous croyons que ces hypothèses sont toujours valables et nous avons continué à nous fonder sur elles pour évaluer notre capacité d’atteindre nos cibles financières pour l’exercice 2006. Pour élaborer nos prévisions en matière de croissance économique, en général et dans le secteur des services financiers, nous utilisons principalement les données économiques historiques fournies par les administrations publiques du Canada et des États-Unis et leurs agences. Les lois fiscales en vigueur dans les pays où nous sommes présents, principalement le Canada et les États-Unis, sont des facteurs importants dont nous devons tenir compte pour déterminer notre taux d’imposition effectif normal.
RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS
Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l'accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.
Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 22 août 2006 à 14 h 30 (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 416-695-9753 (région de Toronto) ou au 1-888-789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au mardi 5 septembre 2006, au 416-695-5292 (région de Toronto) ou au 1-888-742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d'accès : 6790).
La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante :
www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au lundi 27 novembre 2006.
Relations avec les médias
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, 514-877-1101
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, 416-867-3996
Relations avec les investisseurs
Viki Lazaris, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, viki.lazaris@bmo.com, 416-867-6656
Steven Bonin, directeur général, Relations avec les investisseurs, steven.bonin@bmo.com, 416-867-5452
Krista White, directrice principale, Relations avec les investisseurs, krista.white@bmo.com, 416-867-7019
Chef des finances
Karen Maidment, chef des finances et des affaires administratives,
karen.maidment@bmo.com, 416-867-6776
Secrétariat général
Robert Horte, vice-président et secrétaire général, Secrétariat général et affaires juridiques,
corp.secretary@bmo.com, 416-867-6785