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Communiqués de presse

Les PME devraient accorder plus d’importance à la planification de la relève, dans leur propre intérêt et dans celui de l’économie, affirme le président du conseil délégué de BMO  

« L’établissement d’un plan de relève est absolument crucial à la survie d’une petite entreprise, et pourtant au moins les deux tiers des propriétaires de PME n’ont pas encore comblé ce besoin », affirme Bill Downe, président du conseil délégué de BMO Groupe financier et chef de la direction de BMO Nesbitt Burns. Prenant la parole devant le Club Rotary de Saint John, M. Downe a indiqué que cette lacune expliquait pourquoi seulement une PME sur trois survit à la passation des pouvoirs à la deuxième génération et seulement une sur dix, à la transition vers une troisième génération.

« Cette situation est d’autant plus inquiétante, soutient M. Downe, que les PME représentent une partie importante de notre économie, constituant entre 80 et 90 pour cent de toutes les entreprises au Canada. Elles génèrent près de la moitié du PIB de notre pays et créent quelque six millions d’emplois. Au Nouveau-Brunswick, plus de la moitié des salariés travaillent dans des PME.

La perte d’une entreprise, quelle que soit sa taille, entraîne toujours des répercussions économiques et sociales pour les employés et les collectivités. Des emplois, mais aussi de l’expertise, de l’expérience et des réseaux d’affaires sont irrémédiablement perdus lorsqu’une entreprise ferme ses portes. Il est clair que nous avons tous intérêt, directement ou indirectement, à ce que ces entreprises réussissent leur transition », a ajouté M. Downe.

S’appuyant sur le sondage mené le mois dernier par la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante selon lequel sept propriétaires de PME sur 10 auraient l’intention de se retirer des affaires au cours des dix prochaines années, M. Downe a incité les propriétaires de petites entreprises à se doter d’un plan de relève en répondant aux questions suivantes :

  • Y a-t-il un membre de ma famille qui est non seulement disposé – mais aussi qualifié – pour prendre la relève?
  • Dans l’affirmative, quel est le meilleur moyen de le préparer (ou de la préparer) à assumer ce rôle?
  • Que faut-il faire pour assurer le traitement équitable de tous les membres de la famille pendant ce processus?
  • La famille pourrait-elle demeurer propriétaire de l’entreprise tandis que la gestion serait assurée par quelqu’un d’autre?
  • Ne serait-il pas préférable de simplement vendre l’entreprise?


L’élaboration et la mise en oeuvre d’un plan de relève efficace exigent que l’on dissocie les parties intéressées du processus lui-même (famille, actionnaires et entreprise). Il est également important de consulter des conseillers professionnels externes, comme BMO Banque privée Harris, qui aideront le propriétaire à explorer les options stratégiques qui s’offrent à l’entreprise.

« Nous avons compris que la planification de la relève s’inscrit dans un projet de gestion de patrimoine beaucoup plus vaste qui comprend d’autres éléments importants comme la planification successorale et fiduciaire, la gestion de placements et les projets philanthropiques », poursuit M. Downe.

Il a souligné que les spécialistes de BMO pouvaient aider les propriétaires à maximiser la valeur de leur entreprise afin d’en rehausser le prix de vente, le cas échéant, ou encore, de mettre sur pied un processus rigoureux pour désigner un successeur à la tête de l’entreprise.

« La plupart des propriétaires de PME ont un fort attachement émotionnel envers leur entreprise et s’inquiètent de ce que personne ne puisse faire le travail comme eux, fait remarquer M. Downe. Je sais que c’est difficile à appliquer et pourtant, je ne le dirai jamais assez : le processus de planification de la relève ne doit pas être guidé par ces émotions.

Je comprends que la planification de la relève n’est pas une tâche facile et qu’elle peut même être extrêmement pénible dans certaines cas. Mais on ne peut y échapper compte tenu de l’importance des enjeux, pour l’entreprise elle-même mais aussi pour la collectivité et l’économie en général. Si vous possédez une petite entreprise et que vous n’avez pas encore de plan de relève ou que vous avez l’impression que votre plan a besoin d’être amélioré, il est temps de vous y mettre », a conclu M. Downe.

À propos de BMO Banque privée Harris
BMO Banque privée Harris, un membre de BMO Groupe financier, répond aux besoins de ses clients à valeur nette élevée et de leurs familles, et les aide à résoudre un grand nombre de questions financières complexes. Elle a été créée sur le modèle du service de gestion bancaire privée de Harris, la filiale de BMO Groupe financier qui a son siège social à Chicago et qui gère les fonds de particuliers fortunés depuis plus de 100 ans. BMO Banque privée Harris offre des solutions de gestion de patrimoine intégrées et transparentes à l'échelle de l'Amérique du Nord. Outre la planification de la relève, elle propose des services de gestion de placements, de planification successorale et fiduciaire, des services bancaires platine ainsi que des services conseils en philanthropie par l’entremise de ses 17 bureaux établis à l’échelle du Canada.

Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier (TSX, NYSE: BMO) est une entreprise nord-américaine de services financiers hautement diversifiés. BMO se classe au deuxième rang des institutions financières pour ce qui est des prêts aux PME au Canada et figure parmi les principaux prêteurs dans ce secteur en Amérique du Nord. BMO Banque de Montréal, sa société canadienne de services de détail, possède 76 succursales dans les provinces Atlantique, dont 24 au Nouveau-Brunswick. BMO Nesbitt Burns, une des plus importantes sociétés de placement à service complet du Canada, possède 15 bureaux dans les provinces Atlantique.

À l'attention des directeurs de l'information : Une photo accompagnant ce communiqué sera disponible sur le fil photo de la PC par le réseau PR Direct.

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