Communiqués de presse

 Communiqué intégral sur les résultats trimestriels, y compris la vue d'ensemble des résultats, le tableau des faits saillants, l’analyse des résultats financiers et les états financiers non vérifiés, en format PDF. 

L'augmentation des volumes et la diminution des frais ont contribué à l'amélioration des résultats.

Principaux points de comparaison avec les résultats du premier trimestre de l'an dernier :

• Revenu net de 602 millions de dollars, en hausse de 81 millions ou de 15 %.
• Résultat par action¹ (RPA) de 1,16 $ et RPA avant amortissement² de 1,19 $, tous les deux en hausse de 16 %.
• Rendement des capitaux propres (RCP) de 19,4 %, alors qu'il était de 18,3 % un an plus tôt.
• Provision spécifique pour créances irrécouvrables de 43 millions de dollars, sans réduction de la réserve générale, alors que l'an dernier, la provision spécifique s'élevait à 55 millions et que la réserve générale était réduite de 40 millions.
• Croissance du revenu² de 2,9 % (5,1 % en excluant l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain).
• Baisse des frais de 1,8 % (hausse de 0,3 % en excluant l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain).
• Amélioration de 299 points de base du ratio de productivité², qui s'établit à 62,9 %, et amélioration de 288 points de base du ratio de productivité avant amortissement², qui s'établit à 61,9 %.
• Ratio du capital de première catégorie de 9,72 %, alors qu'il était de 9,65 % il y a un an et de 9,81 % à la fin de 2004.

Autres points saillants :

• Hausse du revenu net de 51 millions de dollars, ou de 9,5 %, par rapport au quatrième trimestre de 2004.
• Croissance du revenu de 7,0 % comparativement au quatrième trimestre (8,3 % en excluant l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain).
• Augmentation des frais de 2,7 % par rapport au quatrième trimestre (3,9 % en excluant l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain).
• Prévision de 350 millions de dollars ou moins pour l'exercice 2005 en ce qui concerne la provision spécifique pour créances irrécouvrables, alors que la cible fixée pour 2005 était de 400 millions ou moins.
• Hausse de 0,02 $, ou de 4,5 %, du dividende sur actions ordinaires, qui atteint 0,46 $ par trimestre.

1 Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.

2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) et de substituer le revenu et les impôts sur les bénéfices sur une base d'imposition comparable (bic) au revenu et aux impôts sur les bénéfices selon les PCGR sont exposés plus loin dans la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'analyse des résultats financiers, où sont également expliqués toutes les mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Les revenus et les impôts sur les bénéfices sont indiqués dans les états financiers conformément aux PCGR. Sauf en ce qui concerne les états financiers, tous les revenus et impôts sur les bénéfices, ainsi que les mesures qui incluent des revenus ou des impôts sur les bénéfices, qui sont présentés dans le présent document le sont sur une base d'imposition comparable.

RAPPORT DE GESTION DU PREMIER TRIMESTRE DE 2005
Les commentaires contenus dans le présent Rapport de gestion sont en date du 22 février 2005. Sauf indication contraire, tous les montants sont en dollars canadiens et ont été établis à partir d'états financiers préparés conformément aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada.

¹⁾ Montants ou mesures non conformes aux PCGR. Voir plus haut la note 2 des principaux points de comparaison des résultats et la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'Analyse des résultats financiers, qui portent sur l'utilisation des mesures non conformes aux PCGR dans le présent document.

2) Abstraction faite de la réduction de la réserve générale pour créances irrécouvrables, le revenu net des Services d'entreprise s'est accru de 4 millions de dollars par rapport à l'an dernier et a diminué de 8 millions comparativement au quatrième trimestre.

Montréal, le 22 février 2005 — BMO Groupe financier annonce un revenu net de 602 millions de dollars pour le premier trimestre terminé le 31 janvier 2005, soit une hausse de 15 % par rapport à l'an dernier.

REVUE DES RÉSULTATS
Le revenu net s'élève à 602 millions de dollars pour le premier trimestre de 2005, soit 81 millions de plus que les 521 millions inscrits pour la période correspondante l'an dernier. Le résultat par action (RPA), qui s'établit à 1,16 $, a connu une hausse de 16 %. Le RPA avant amortissement, qui tient compte de l'amortissement après impôts des actifs incorporels, a également progressé de 16 % pour s'établir à 1,19 $.

« Cette année a bien commencé et nous nous trouvons en bonne position pour atteindre toutes nos cibles financières de l'exercice 2005, a déclaré Tony Comper, président et chef de la direction de BMO Groupe financier. Nous avons encore accru notre productivité, ce qui constitue notre objectif prioritaire en 2005, et chacun de nos groupes clients a augmenté son revenu net par rapport à l'an dernier. »

Le revenu net du premier trimestre de 2005 a bénéficié de certains éléments constatés principalement dans les résultats du groupe Services d'investissement, notamment :

• l'incidence, au montant de 32 millions de dollars (21 millions après impôts), d'une modification dans la façon de comptabiliser les investissements des filiales qui ont des activités de banques d'affaires, qui a augmenté les gains sur titres de placement;
• un recouvrement de 32 millions de dollars d'impôts sur les bénéfices des années précédentes.

Le revenu net du premier trimestre de 2004 avait lui aussi bénéficié de l'incidence nette de certains éléments comptabilisés dans les résultats du groupe Services d'entreprise :

• l'incidence ponctuelle d'une modification dans la façon de comptabiliser les frais liés au remboursement anticipé des prêts hypothécaires, qui a accru le revenu net d'intérêts de 42 millions de dollars (27 millions après impôts);
• l'incidence ponctuelle d'une modification dans la façon de comptabiliser les gains et les pertes liés aux actions de la Banque de Montréal détenues par des filiales de BMO, qui a réduit les revenus de négociation autres que d'intérêts de 26 millions de dollars (16 millions après impôts);
• une réduction de la réserve générale pour créances irrécouvrables, qui a entraîné la réduction de la provision pour créances irrécouvrables de 40 millions de dollars (26 millions après impôts);
• une augmentation des passifs d'impôts futurs liés à des biens immobiliers aux États-Unis, qui a haussé la provision pour impôts sur les bénéfices de 19 millions de dollars.

Si on fait abstraction de l'incidence, au montant de 53 millions de dollars (ou 0,10 $ par action) après impôts, des deux éléments qui ont favorisé les résultats du présent trimestre et du bénéfice net, au montant de 18 millions de dollars (ou 0,03 $ par action) après impôts, des quatre éléments qui ont influé sur les résultats d'il y a un an, le revenu net s'élève à 549 millions de dollars, soit une augmentation de 46 millions, ou de 9,0 %, par rapport à l'an dernier. Une fois les mêmes rajustements pris en compte, le RPA se chiffre à 1,06 $ et le RPA avant amortissement, à 1,09 $, soit une hausse de 9 % dans les deux cas.

L'augmentation de 46 millions de dollars s'explique par la croissance des volumes du groupe Particuliers et entreprises et par la hausse des revenus tirés des activités de placement à service complet et des fonds d'investissement par le groupe Gestion privée, ainsi que par l'augmentation des revenus de négociation et une meilleure gestion des coûts dans l'ensemble des groupes clients. Ces améliorations ont été partiellement neutralisées par la diminution des gains nets sur titres de placement dans les autres portefeuilles de placement et par l'incidence du rétrécissement des marges du groupe Services d'investissement.

Le revenu¹ s'est accru de 68 millions de dollars, ou de 2,9 %, par rapport à l'an dernier et se chiffre à 2 439 millions, celui du groupe Particuliers et entreprises ayant progressé de 85 millions, ou de 7,1 %, grâce à la forte croissance de ses volumes. Le revenu du groupe Gestion privée s'est accru de 11 millions de dollars, ou de 2,2 %, tandis que celui du groupe Services d'investissement reculait de 12 millions, ou de 1,6 %, la diminution du revenu net d'intérêts ayant annulé l'augmentation des revenus de négociation. Les gains nets sur titres de placement ont légèrement diminué comparativement à l'an dernier, malgré les 32 millions de dollars découlant de la nouvelle façon de comptabiliser les investissements des banques d'affaires. L'affaiblissement du dollar américain a réduit la croissance globale du revenu de 52 millions de dollars, ou de 2,2 points de pourcentage, en plus de réduire le rythme de croissance du revenu de chacun des groupes clients. L'incidence nette des modifications comptables du premier trimestre de l'an dernier avait accru le revenu de cette période de 16 millions de dollars.

La marge nette d'intérêts¹ s'est rétrécie dans chacun des groupes d'exploitation, mais elle est restée relativement stable dans les services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada. La marge nette d'intérêts globale de BMO pour le premier trimestre de 2005 s'est contractée de 24 points de base par rapport à l'an dernier, et s'établit à 1,64 %. La totalité de ce recul, sauf 6 points de base, est attribuable à une combinaison de deux facteurs : une modification de la façon de comptabiliser les entités à détenteurs de droits variables (EDDV), qui a entraîné l'inclusion d'actifs des EDDV, pour une valeur moyenne de 20,6 milliards de dollars, au bilan de BMO en 2005 (incidence de 12 points de base), et le rajustement des frais liés au remboursement anticipé des prêts hypothécaires, qui a accru le revenu d'il y a un an (incidence de 6 points de base). Par rapport au quatrième trimestre, la marge nette d'intérêts s'est contractée de 18 points de base, principalement en raison de l'inclusion des actifs des EDDV, tandis que la marge nette d'intérêts des services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada s'élargissait légèrement. Les marges nettes d'intérêts sont présentées en détail dans la section Revenu de l'Analyse des résultats financiers.

Les résultats comprennent des provisions spécifiques pour créances irrécouvrables de 43 millions de dollars, alors que ces provisions s'élevaient à 55 millions pour le premier trimestre de 2004. Les résultats d'il y a un an comprenaient également une réduction de 40 millions de dollars de la réserve générale pour créances irrécouvrables, ce qui a entraîné une augmentation globale de 28 millions de la provision pour le présent trimestre.

Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 1 533 millions de dollars, soit une baisse de 28 millions, ou de 1,8 %, comparativement au premier trimestre de 2004. Abstraction faite de l'affaiblissement du dollar américain, les frais sont demeurés essentiellement inchangés par rapport à l'an dernier, grâce surtout à l'efficacité de la gestion des coûts. Le ratio des frais autres que d'intérêts au revenu¹ (ou ratio de productivité) s'établit à 62,9 % pour le premier trimestre de 2005, alors qu'il s'élevait à 65,9 % il y a un an. Quant au ratio de productivité avant amortissement, il s'est amélioré de 288 points de base pour s'établir à 61,9 %.

Par rapport au quatrième trimestre, le revenu net s'est accru de 51 millions de dollars, ou de 9,5 %, grâce à l'augmentation du revenu de chacun de nos groupes clients. Les résultats de ce trimestre ont bénéficié de l'incidence, au montant de 53 millions de dollars après impôts, des deux éléments mentionnés précédemment, alors que ceux du quatrième trimestre avaient bénéficié d'une réduction de 50 millions (33 millions après impôts) de la réserve générale.

« Nous demeurons déterminés à réaliser les objectifs prioritaires que nous nous sommes fixées pour l'exercice 2005, a ajouté M. Comper. Cette détermination a contribué à l'amélioration de nos résultats dans l'ensemble de nos secteurs d'activité par rapport au trimestre précédent et elle nous permet d'annoncer une autre augmentation du dividende versé aux actionnaires ordinaires. »

Pour le trimestre, le revenu s'est accru de 160 millions de dollars, ou de 7,0 %, comparativement au quatrième trimestre. Il a progressé dans tous les groupes d'exploitation, celui du groupe Particuliers et entreprises bénéficiant de l'augmentation des volumes et celui du groupe Gestion privée, de l'intensification des activités de négociation des clients dans les secteurs des services de placement traditionnels et en direct. Quant au groupe Services d'investissement, il a profité d'une importante hausse des revenus de négociation et de commissions, due à la progression des volumes, et de l'intensification des activités de montage. Les gains nets sur titres de placement sont demeurés inchangés par rapport au quatrième trimestre, malgré l'incidence, au montant de 32 millions de dollars, de la modification comptable effectuée ce trimestre et visant à constater les investissements des filiales qui ont des activités de banques d'affaires à leur juste valeur. Au quatrième trimestre, une charge de 14 millions de dollars avait été imputée aux frais de services de cartes; l'affaiblissement du dollar américain a toutefois réduit la croissance du revenu par rapport au quatrième trimestre d'environ 29 millions de dollars, ou de 1,3 point de pourcentage.

La provision spécifique pour créances irrécouvrables s'élève à 43 millions de dollars pour le premier trimestre, alors qu'au trimestre précédent, elle se chiffrait à 37 millions et que la réserve générale avait été réduite de 50 millions. Le résultat est donc une hausse globale de la provision de 56 millions de dollars.

Les frais autres que d'intérêts ont augmenté de 40 millions de dollars, ou de 2,7 %, par rapport au quatrième trimestre. Les frais du groupe Particuliers et entreprises ont diminué, tandis que ceux des groupes Gestion privée et Services d'investissement augmentaient, en raison de la hausse de la rémunération liée au rendement. La rémunération liée au rendement du groupe Services d'investissement avait été diminuée au quatrième trimestre, afin de l'aligner sur les résultats de la période. L'affaiblissement du dollar américain a réduit la croissance des frais par rapport au quatrième trimestre d'environ 18 millions de dollars, ou de 1,2 point de pourcentage. Dans l'ensemble, nos ratios de productivité et de productivité avant amortissement se sont améliorés comparativement au quatrième trimestre, respectivement de 263 points de base et de 252 points de base.

Au cours du trimestre, nous avons racheté 2 046 500 actions ordinaires de la Banque de Montréal dans le cadre de notre programme de rachat d'actions ordinaires, à un prix moyen de 56,16 $ l'action, pour une somme totale de 115 millions de dollars.

Le 22 février 2005, le Conseil d'administration de BMO a approuvé un dividende trimestriel sur actions ordinaires de 0,46 $, ce qui représente une hausse de 4,5 % par rapport au dividende du premier trimestre, qui était de 0,44 $ l'action. Les dividendes trimestriels ont augmenté de 15 % depuis le deuxième trimestre de 2004.

___________________
¹ Sur une base d'imposition comparable — voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ».

Prévisions concernant la conjoncture économique en 2005
Nous prévoyons d'atteindre nos cibles annuelles pour l'exercice 2005 que nous avons établies à la fin de l'exercice précédent et qui sont énumérées ci-dessus. Cependant, nous pensons maintenant que la croissance économique au Canada sera un peu plus lente que ce que nous avions prévu à la fin de l'exercice 2004. Après une croissance estimée à 2,6 % au cours de l'année civile 2004, le PIB réel du Canada devrait progresser au taux modéré de 2,8 % en 2005, alors que nous avions prévu à la fin de l'année un taux de 3,2 %. La faiblesse des taux d'intérêt favorisera les dépenses des particuliers et des entreprises, mais la vigueur du dollar canadien continuera à causer des difficultés aux exportateurs. Nous prévoyons que les taux d'intérêt resteront stables jusqu'à l'automne, avant de monter modérément vers la fin de l'année. Quant au dollar canadien il devrait s'échanger dans une fourchette étroite de 79 à 81 cents américains, l'important excédent commercial canadien faisant contrepoids aux effets de la perspective de taux d'intérêt plus élevés aux États-Unis qu'au Canada. La faiblesse des taux d'intérêt favorisera la croissance des prêts hypothécaires à l'habitation et du crédit aux entreprises, tandis que la vigueur récente des marchés boursiers devrait stimuler les activités des services d'investissement et de gestion de patrimoine.

Même si elle ne maintiendra pas le rythme de croissance rapide de 4,4 % inscrit en 2004, en raison de la réduction des stimulants monétaires et fiscaux, l'économie des États-Unis devrait continuer à croître à un bon rythme en 2005, soit 3,6 %, alors que notre estimation de fin d'année était légèrement plus élevée, à 3,7 %. Dans un contexte de confiance accrue et de profits à la hausse, les dépenses en immobilisations des entreprises devraient demeurer élevées, ce qui favorisera la demande de prêts aux entreprises. Sur le marché de l'habitation, cependant, l'activité ralentira, la hausse des taux d'intérêt réduisant la capacité financière des particuliers et la demande de prêts hypothécaires. Les taux d'intérêt devraient augmenter progressivement en 2005, à mesure que la Réserve fédérale américaine atténuera ses mesures de stimulation monétaire.

Responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière contenue dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information, en décembre 2004, BMO a déposé, comme l'année précédente, des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exige la loi Sarbanes Oxley des États-Unis, l'exactitude de l'information financière contenue dans nos documents d'information (formule 40-F), ainsi que l'efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour produire cette information. Le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient aux organismes de réglementation des valeurs mobilières l'exactitude de l'information financière contenue dans les rapports intermédiaires de BMO, y compris le présent Rapport de gestion et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés pour la période terminée le 31 janvier 2005 qui l'accompagnent.

Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent document et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.

On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d'activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section « Rapport de gestion » du Rapport annuel 2004 de BMO, accessible sur notre site Web à l'adresse www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Nous invitons également les lecteurs à visiter ce site pour y obtenir d'autres renseignements financiers trimestriels.

Documents déposés auprès des organismes de réglementation
Nos documents d'information continue, y compris nos documents intermédiaires, notre Rapport de gestion et nos États financiers consolidés vérifiés annuels, notre Notice annuelle et notre Avis de convocation à l'assemblée annuelle des actionnaires et circulaire de sollicitation de procurations, sont accessibles sur notre site Web, www.bmo.com/relationsinvestisseurs, sur le site des autorités canadiennes en valeurs mobilières, www.sedar.com, et dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à l'adresse www.sec.gov.

Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l'exercice 2005 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prospectives se révèlent inexactes. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d'intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom.

RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l'accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18^e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 22 février 2005 à 14 h 30 (HNE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au (416) 695-9753 (région de Toronto) ou au 1 888 789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au mardi 8 mars 2005, au (416) 695-5292 (région de Toronto) ou au 1 888 742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d'accès : 1162).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu'au mardi 24 mai 2005.

Relations avec les médias
Lucie Gosselin, Montréal, lucie.gosselin@bmo.com, (514) 877-1101
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, (416) 867-3996

Relations avec les investisseurs
Susan Payne, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, susan.payne@bmo.com, (416) 867-6656
Steven Bonin, directeur général, Relations avec les investisseurs, steven.bonin@bmo.com, (416) 867-5452

Chef des finances
Karen Maidment, première vice-présidente à la direction et chef des finances, karen.maidment@bmo.com, (416) 867-6776

Secrétariat général
Velma Jones, vice-présidente et secrétaire générale, Secrétariat général et affaires juridiques, corp.secretary@bmo.com, (416) 867-6785