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Communiqués de presse

La solide réputation dont jouit BMO à titre de banque canadienne à faible risque et à rendement élevé est une bonne raison d’acheter ou de conserver ses actions, affirme Tony Comper, chef de la direction, aux investisse

MONTRÉAL, le 19 janvier 2005

Les investisseurs devraient acheter des actions de BMO Groupe financier ou conserver celles qu’ils détiennent déjà car l’entreprise jouit d’une solide réputation à titre de banque à faible risque et à rendement élevé, selon Tony Comper, président du conseil et chef de la direction de BMO Groupe financier. 

M. Comper a indiqué à un groupe d’investisseurs, rassemblés à l’occasion de la conférence des chefs de la direction du secteur canadien des services financiers de RBC Marchés des capitaux, que BMO possédait la bonne structure d’entreprise, était dotée de la stratégie de croissance qu’il faut et avait les priorités requises pour consolider sa réputation de plus en plus établie de banque canadienne à faible risque et à rendement élevé, « une offre irrésistible pour tout investisseur averti », a-t-il ajouté.

« La stratégie de BMO qui consiste à poursuivre la croissance de sa composante canadienne, tout en améliorant et en élargissant sa composante américaine, s’appuie sur des forces depuis longtemps reconnues et sur sa volonté d’en développer de nouvelles, a poursuivi M. Comper.

Nous mettons en œuvre une stratégie de croissance canado-américaine résolument axée sur l’avenir qui connaît un succès indéniable. Nos avantages incomparables englobent des activités de base déjà solidement implantées, des antécédents reconnus d’acquéreur accompli, ainsi qu’une capacité éprouvée et la ferme volonté d’améliorer notre rendement de façon significative. »

M. Comper a indiqué qu’au Canada, ces avantages permettent à la Banque de consolider son positionnement dans le secteur des services aux entreprises, d’élargir sa part du marché en croissance rapide des clients à valeur élevée et d’augmenter sa part du portefeuille du secteur des services d’investissement.

Aux États-Unis, ces avantages se traduisent par une croissance organique et par l’acquisition de banques dans l’optique de devenir un acteur de tout premier plan dans les services bancaires aux particuliers et aux entreprises, et dans les secteurs de la moyenne entreprise et de la gestion de patrimoine dans le Midwest.

« Nous misons également sur la fragmentation et le très grand potentiel de croissance du marché de la gestion de patrimoine en prenant de l’expansion dans des régions choisies des États-Unis », a-t-il ajouté.

M. Comper a souligné ce qu’il appelle les « avantages incomparables » qu’a BMO sur ces concurrents canadiens qui en sont à des étapes diverses de leur stratégie de croissance en sol américain. Les avantages de BMO sont les suivants :

·         des activités de base déjà solidement implantées aux É.-U.;

·         des antécédents reconnus d’acquéreur accompli;

·         une capacité éprouvée et la ferme volonté d’améliorer son rendement de façon significative.

« Ce qui nous différencie de nos concurrents canadiens en ce qui a trait au potentiel de croissance de nos activités de base américaines, c’est la franchise elle-même, laquelle est établie dans l’une des régions qui connaît la plus forte croissance et qui offre le plus grand potentiel aux États-Unis, et se distingue par la marque Harris et par un puissant modèle de gestion, a-t-il précisé.

Nous rivalisons avec succès avec de nouveaux venus importants et déterminés; nous avons démontré notre capacité d’atteindre les objectifs de croissance que nous nous étions fixés pour notre plate-forme de services aux particuliers et aux entreprises, et de gestion de patrimoine Harris; nous avons une présence établie et en croissance continue dans le secteur de la moyenne entreprise dans le Midwest; et, bien sûr, nous bénéficions d’une capacité de recherche sur les actions sans égale sur le marché. Mis en semble, ces points forts se traduisent par un risque de réinvestissement inférieur à la moyenne dans le marché américain », a poursuivi M. Comper.

Priorités opérationnelles de 2005
M. Comper a également passé en revue les priorités opérationnelles de l’entreprise pour 2005 :

Groupe Particuliers et entreprises - Canada

« Nous envisageons un solide potentiel de croissance des activités de BMO dans le secteur canadien du crédit et des dépôts d’entreprise, un secteur où BMO s’affiche déjà en chef de fil reconnu. 

Après avoir enregistré un solide volume de nos activités de services bancaires aux particuliers en 2004, nous prévoyons la poursuite de notre croissance, bien qu’avec une répartition de clientèle différente.

L’une de nos principales priorités sera de conserver notre part du marché des services bancaires aux particuliers et d’accroître notre part des services bancaires aux entreprises au détriment de nos principaux concurrents. En prenant nos décisions en matière de tarification, nous maintenant toujours un juste équilibre entre rentabilité et part de marché.

Nos indices de fidélité de la clientèle des services bancaires aux particuliers ont rebondi au cours de l’année, tandis que ceux des services aux entreprises se maintenaient au niveau de ceux de 2003, lesquels s’étaient améliorés par rapport à l’année précédente. Ces résultats suggèrent que nous avons raison de continuer à nous concentrer sur cette priorité », s’est réjoui M. Comper.

Groupe Particuliers et entreprises – États-Unis

« Nous sommes résolument déterminés à améliorer le rendement de toutes nos entreprises américaines, a affirmé M. Comper. L’un des principaux moteurs de notre réussite sera notre modèle de gestion supérieur, lequel s’appuie sur les meilleures caractéristiques de l’héritage Harris et nous positionne pour une augmentation future de notre croissance et de nos profits.

Parmi nos concurrents canadiens et américains, nous sommes les seuls à mettre en œuvre un modèle de réseau bancaire local aux É.-U., ce que nous considérons être un avantage concurrentiel indéniable, a poursuivi M. Comper. Nous puisons maintenant dans l’expérience que possède la composante canadienne de BMO dans l’exploitation d’un réseau bancaire à la fois élargi et diversifié pour amalgamer deux modèles bancaires — les banques de réseau et les banques locales — pour créer une puissante banque à potentiel de croissance élevé qui conjugue des services d’accueil axés sur la collectivité et un service de soutien extrêmement efficace ».

Groupe Gestion privée

M. Comper a indiqué à l’auditoire que les activités de courtage au détail et de gestion de l’actif étaient importantes et prospères pour BMO au Canada, où les possibilités de croissance sont limitées. 

Il a aussi précisé que la Banque commence à récolter les fruits de l’investissement de profits canadiens pour financer le coût d’établissement de ses activités de gestion de patrimoine aux États-Unis. Ces investissements lui permettront de participer à ce secteur en croissance rapide qui prendra de plus en plus d’importance dans les années à venir. 

«  Les revenus de nos activités de gestion de patrimoine ont atteint un taux de croissance annuelle composé de 22 %, calculé en dollars américains, depuis 2001 grâce à des acquisitions et à l’augmentation des ventes à marge élevée découlant d’une meilleure segmentation de la clientèle, a-t-il précisé. Nous avons en outre pris des mesures offensives au cours des dernières années dans le but d’adopter des modèles de gestion à coûts plus efficaces, améliorant ainsi le ratio de productivité avant amortissement de nos entreprises de gestion de trésorerie américaines de plus de 1 000 points de base entre 2002 et 2004. »

M. Comper a également précisé que « BMO compte élargir l’équipe de vente de la Banque privée Harris en 2005, en débutant par la région de Chicago pour ensuite déployer de nouveaux effectifs dans les autres succursales du reste des États-Unis. »

Groupe Services d’investissement

M. Comper a souligné à son auditoire que les Services d’investissement avaient profité du raffermissement des conditions du marché en 2004, en particulier au cours du premier semestre. Le revenu net du groupe a crû de 19 % grâce à une augmentation du revenu combinée à une baisse des provisions pour créances irrécouvrables.

« L’une des principales priorités du groupe Services d’investissement en 2005 sera de continuer à améliorer la prestation intégrée de nos services à nos clients dans l’optique d’optimiser les possibilités de revenu.

Au Canada, où nous sommes déjà reconnus comme l’un des acteurs les plus importants sur le marché, nous continuerons à renforcer notre position de chef de file en puisant dans nos compétences en matière de fusions et acquisitions, et de prise ferme de titres d’emprunt et de participation, ainsi que dans notre incomparable capacité de recherche sur les actions.

Aux É.-U., Harris Nesbitt, une firme axée sur la moyenne entreprise et spécialisée dans les sociétés privées et les sociétés ouvertes moins bien desservies, entend continuer de puiser dans sa longue expérience du secteur de la moyenne entreprise. « Cette stratégie nous différencie réellement de nos concurrents canadiens, s’est réjoui M. Comper. Nos activités intégrées américaines de services d’investissement et de services bancaires aux entreprises nous permettront d’accélérer notre croissance en consolidant et en approfondissant nos relations avec nos clients cibles par le biais d’un éventail élargi de capacités. Nous entendons également nous concentrer sur l’augmentation de la proportion de revenus de commissions ».

Une approche déterminée, disciplinée, équilibrée et mesurée
M. Comper a mis fin à son allocution en reprenant la présentation de certains des avantages concurrentiels les plus importants de l’ensemble de l’entreprise : 

·         Un chef de file du crédit de qualité

o        « Notre longue tradition de crédit nous permet d’offrir un rendement plus prévisible et plus stable à nos actionnaires que bon nombre de nos concurrents. »

·         Une culture de productivité bien enracinée

o        « La véritable force de notre approche à l’égard de la productivité, c’est qu’elle ne s’appuie pas uniquement sur la réduction des coûts, et qu’elle favorise plutôt une croissance du revenu s’appuyant sur un contrôle discipliné des dépenses. »

o        « Notre engagement à améliorer notre ratio de productivité avant amortissement de 150 à 200 points de base chaque année, tout en continuant à investir dans notre croissance future, nous impose une discipline quotidienne qui se manifeste dans toutes les sphères de l’entreprise. »

·         Une rémunération étroitement liée au rendement financier de BMO

o        « BMO est un chef de file de l’harmonisation de la rémunération avec les intérêts des actionnaires, une position qui, nous le croyons, influera positivement sur notre rendement des prochaines années. »

·         Une saine gestion de capital source de dividendes

o        « Le rythme équilibré et mesuré de nos investissements nous a permis de bien nous positionner vis-à-vis de la concurrence. » 

o        « Nos priorités en matière d’investissement de capital seront mises sur l’expansion de l’entreprise, les acquisitions, les dividendes et un modeste programme de rachat d’actions principalement utilisé pour réduire les effets de dilution pouvant découler de l’exercice des options d’achat d’actions. »

Perspectives
« Comme la vaste majorité des investisseurs visent un rendement à long terme stable, il convient également de souligner qu’au cours des 20 dernières années, les actionnaires de BMO ont obtenu un rendement annuel moyen de 17,5 %. C’est presque le double du rendement moyen du TSX. Seule une banque de notre groupe de référence canadien a obtenu de meilleurs résultats au cours des deux dernières décennies et BMO est le chef de file des contributions de dividendes au rendement total de l’avoir des actionnaires », a tenu à préciser M. Comper.

Il a en outre indiqué que le levier d’exploitation futur de BMO reposera sur l’amélioration continue de la productivité, de la croissance organique des secteurs d’activité existants et des acquisitions récentes, du savoir-faire de BMO en matière de crédit, d’une solide assise financière permettant des acquisitions futures, d’investissements dans la technologie des activités canadiennes de services bancaires aux particuliers et aux entreprises, de l’utilisation du crédit aux entreprises et aux PME aux É.-U., et de toute amélioration de l’économie.

À propos de BMO Groupe financier
Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier est une entreprise de services financiers hautement diversifiée. Fort d’un actif total de 265 milliards $ en date du 31 octobre 2004, et d’un effectif de plus de 33 000 employés, BMO offre une gamme complète de services bancaires aux particuliers, de services de gestion de patrimoine et de produits et de solutions bancaires d’investissement. BMO Groupe financier sert ses clients canadiens par l’intermédiaire de BMO Banque de Montréal, sa filiale canadienne de services au détail, et de BMO Nesbitt Burns, une des plus importantes sociétés de conseils en placement à service complet du Canada. Aux États-Unis, BMO dessert ses clients par l’entremise de Harris, une entreprise de services financiers intégrés établie à Chicago qui fournit à plus de 1,5 million de particuliers, entreprises, sociétés et institutions des services bancaires, de crédit, d’investissement, de planification financière, d’administration fiduciaire, de gestion de portefeuille, de fiducie et de placement et de transfert de patrimoine.

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES

Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l’exercice 2005 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives exigent la formulation d’hypothèses et comportent des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prospectives se révèlent inexactes. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels, les conditions, les actions ou les événements futurs pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d’intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d’activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d’alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.

 

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