Sauter la navigation
Show
Navigation ignorée

Communiqués de presse

BMO Groupe financier annonce un revenu net record en hausse de 29 % pour l'exercice 2004  

Communiqué intégral sur les résultats trimestriels, y compris la vue d'ensemble des résultats, le tableau des faits saillants, l’analyse des résultats financiers et les états financiers non vérifiés, en format PDF. 

Version à imprimer - Vue d'ensemble des résultats seulement 

L'amélioration du rendement du portefeuille de prêts et la réduction des frais ont permis de hausser le revenu net du quatrième trimestre de 10 % par rapport à l'an dernier.

Principaux points de comparaison des résultats de l'exercice 2004 avec ceux de l'exercice précédent :

  • Revenu net record de 2 351 millions de dollars en 2004, en hausse de 526 millions.
  • Toutes les cibles financières qui avaient été fixées pour l'exercice ont été atteintes ou dépassées.
  • Résultat par action1 (RPA) de 4,42 $, en hausse de 29 %, et RPA avant amortissement2 de 4,57 $, en hausse de 27 %.
  • Rendement des capitaux propres (RCP) de 19,4 %, alors qu'il était de 16,4 % un an plus tôt.
  • Amélioration de 160 points de base du ratio de productivité2, qui atteint 64,1 %, et amélioration de 155 points de base du ratio de productivité avant amortissement2, qui s'établit à 63,0 %.
  • Croissance du revenu2 de 3,7 % et hausse des frais de 1,1 %.
  • Recouvrement net de pertes sur créances de 103 millions de dollars, constitué de provisions spécifiques de 67 millions de dollars et d'une réduction de la réserve générale de 170 millions, alors qu'en 2003, les provisions spécifiques atteignaient 455 millions, sans réduction de la réserve générale.
  • Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 9,55 % à 9,81 %.
  • Deux augmentations du dividende trimestriel en 2004 pour une hausse de 26 % comparativement à 2003.

Principaux points de comparaison avec les résultats du quatrième trimestre de l'an dernier :

  • Revenu net de 563 millions de dollars, en hausse de 50 millions ou de 10 %.
  • RPA de 1,06 $, en hausse de 9,3 %, et RPA avant amortissement de 1,10 $, en hausse de 10 %.
  • Légère baisse du RCP, qui passe de 17,9 % l'an dernier à 17,8 % cette année.
  • Recouvrement net de pertes sur créances de 13 millions de dollars, constitué de provisions spécifiques pour créances irrécouvrables de 37 millions de dollars et d'une réduction de la réserve générale de 50 millions, alors que l'an dernier, les provisions spécifiques atteignaient 95 millions, sans réduction de la réserve générale.
  • Diminution du revenu de 4,2 % et baisse des frais de 3,4 %, en partie en raison de l'affaiblissement du dollar américain.
  • Hausse de 60 points de base du ratio de productivité, qui atteint 64,6 %, et hausse de 40 points de base du ratio de productivité avant amortissement, qui s'établit à 63,5 %.

1 Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.

2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) et de substituer le revenu et les impôts sur les bénéfices sur une base d'imposition comparable (bic) au revenu et aux impôts sur les bénéfices selon les PCGR sont exposés plus loin dans la section « Mesures on conformes aux PCGR » de l'analyse des résultats financiers, où sont également expliqués toutes les mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Les revenus et les impôts sur les bénéfices sont indiqués dans les états financiers conformément aux PCGR. Sauf en ce qui concerne les états financiers, tous les revenus et impôts sur les bénéfices, ainsi que les mesures qui incluent des revenus ou des impôts sur les bénéfices, qui sont présentés dans le présent document le sont sur une base d'imposition comparable.


La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l'organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l'appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.

ANALYSE DES RÉSULTATS FINANCIERS DE L'EXERCICE 2004 ET DU QUATRIÈME TRIMESTRE DE 2004

Sommaire des résultats
1) Montants ou mesures non conformes aux PCGR. Voir la note 2 du tableau précédent et la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'Analyse des résultats financiers, qui portent sur l'utilisation des mesures non conformes aux PCGR dans le présent Rapport de gestion.

Montréal, le 23 novembre 2004 — BMO Groupe financier annonce un revenu net record de 2 351 millions de dollars pour l'exercice 2004, soit une progression de 29 % par rapport à 2003. Pour le quatrième trimestre de 2004, le revenu net a progressé de 10 % comparativement au quatrième trimestre de l'exercice précédent.

REVUE DES RÉSULTATS
Le revenu net s'élève à 2 351 millions de dollars pour l'exercice terminé le 31 octobre 2004, en hausse de 526 millions par rapport à l'an dernier. Le résultat par action (RPA) se chiffre à 4,42 $, soit une hausse de 29 %. Le RPA avant amortissement, qui tient compte de l'amortissement après impôts des actifs incorporels, s'établit à 4,57 $. La croissance du revenu net s'explique par l'amélioration du rendement du portefeuille de prêts, qui se chiffre à 558 millions de dollars (363 millions après impôts) et représente environ les deux tiers de la hausse de 29 % du revenu net, et par les excellents résultats des groupes d'exploitation.

« L'année qui vient de se terminer a été extrêmement fructueuse, a déclaré Tony Comper, président et chef de la direction de BMO Groupe financier. Nous avons atteint le ratio de productivité que nous visions et dépassé toutes nos autres cibles financières pour 2004, en plus d'obtenir un revenu net record. »

Chacun des groupes d'exploitation a accru sa productivité et obtenu un revenu net record pour 2004. Le groupe Particuliers et entreprises a inscrit un revenu net légèrement supérieur à un milliard de dollars, en hausse de 66 millions de dollars, ou de 7,0 %, par rapport à l'an dernier, la forte progression des volumes ayant plus que compensé l'incidence du rétrécissement de la marge nette d'intérêts attribuable à un contexte concurrentiel marqué par la faiblesse des taux d'intérêt. Le revenu net du groupe Gestion privée s'élève à 231 millions de dollars, soit une hausse de 87 millions, ou de 60 %, par rapport à 2003, tandis que celui du groupe Services d'investissement a atteint 856 millions de dollars, en hausse de 135 millions, ou de 19 %. Ces deux groupes ont bénéficié de l'amélioration des conditions des marchés financiers, surtout pendant la première moitié de l'année.

Le revenu1 de BMO s'est accru de 341 millions de dollars, ou de 3,7 %, au cours de l'exercice 2004, tous les groupes d'exploitation ayant contribué à cette progression. Le groupe Particuliers et entreprises a haussé son revenu de 90 millions de dollars, ou de 1,9 %, grâce à l'augmentation des volumes et à l'inclusion des entreprises acquises aux États-Unis, facteurs partiellement neutralisés par l'incidence du rétrécissement des marges nettes d'intérêts et la diminution des frais de services de cartes. Le groupe Services d'investissement a augmenté son revenu de 176 millions de dollars, ou de 6,6 %, grâce à la progression des commissions de négociation de titres et de prise ferme, à des gains nets sur titres de placement (comparativement à des pertes nettes l'an dernier) et à l'inclusion d'un revenu de 69 millions de dollars provenant de Harris Nesbitt Gerard. Quant au groupe Gestion privée, son revenu s'est accru de 113 millions de dollars, ou de 6,5 %, des initiatives productives de revenus et l'amélioration des conditions fondamentales du marché ayant entraîné la progression des revenus de commissions. L'affaiblissement du dollar américain a réduit la croissance du revenu de BMO de 243 millions de dollars, ou de 2,6 points de pourcentage; ce ralentissement s'est également répercuté dans chacun des groupes d'exploitation.

La marge nette d'intérêts1 s'est rétrécie dans tous les groupes d'exploitation, mais grâce à la croissance de l'actif du groupe Particuliers et entreprises, la marge nette d'intérêts globale de BMO pour 2004 n'a reculé que de 3 points de base par rapport à l'an dernier pour s'établir à 1,88 %. Les marges nettes d'intérêts sont présentées en détail dans la section Revenu de l'Analyse des résultats financiers.

Les résultats comprennent des provisions spécifiques pour créances irrécouvrables de 67 millions de dollars, alors qu'elles s'élevaient à 455 millions pour l'exercice 2003. Les résultats comprennent également une réduction de 170 millions de dollars de la réserve générale pour créances irrécouvrables, ce qui porte le total net des recouvrements de pertes sur créances à 103 millions en 2004, soit une amélioration de 558 millions comparativement à 2003. Ce résultat est le reflet de l'amélioration de la situation du crédit et du rendement de notre portefeuille de prêts.

Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 6 157 millions de dollars, soit 70 millions de dollars, ou 1,1 %, de plus que l'an dernier. L'effet différentiel des acquisitions d'entreprises, qui se chiffre à 106 millions de dollars, et une hausse de 90 millions des coûts de la rémunération liée au rendement ont contribué à cette augmentation. Ces facteurs ont toutefois été partiellement compensés par l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain, qui se chiffre à 177 millions de dollars. L'importance que nous accordons à l'amélioration de la productivité a permis de limiter à 51 millions de dollars, ou à moins de 1 %, la hausse des frais liée aux autres facteurs. Le ratio des frais autres que d'intérêts au revenu1 (ou ratio de productivité) s'établit à 64,1 % pour l'exercice 2004, alors qu'il s'élevait à 65,7 % en 2003.

« En 2004, notre priorité numéro un était d'améliorer notre ratio de productivité avant amortissement1 de 150 à 200 points de base, a ajouté M. Comper. Nous avons atteint cet objectif, puisque nous avons amélioré notre ratio de productivité avant amortissement de 155 points de base, et nous visons maintenant une autre amélioration de 150 à 200 points base en 2005. »

Pour le quatrième trimestre de 2004, le revenu net s'élève à 563 millions de dollars, en hausse de 50 millions, ou de 10 %, comparativement au quatrième trimestre de l'an dernier. Le rendement du portefeuille de prêts a progressé de 108 millions de dollars (ou 70 millions après impôts). Le revenu net s'est accru dans tous nos groupes d'exploitation sous l'effet de la hausse des volumes au sein des services aux particuliers et aux entreprises, la diminution des revenus de nos activités sur les marchés financiers ayant été plus que compensée par la baisse des coûts de la rémunération liée au rendement et l'efficacité de nos mesures de réduction des coûts. Le revenu net des Services d'entreprise s'est amoindri sous l'effet de la baisse de revenu découlant de la diminution des gains sur titres de placement et des revenus de placement dans un contexte de faibles taux d'intérêt.

« Nous avions déjà indiqué à la fin du troisième trimestre que le revenu net allait reculer au quatrième trimestre, a poursuivi M. Comper. Ce recul était prévu, compte tenu des recouvrements de pertes sur créances exceptionnellement élevés au troisième trimestre et du ralentissement des activités sur les marchés financiers. Néanmoins, l’importance que nous accordons à l'amélioration de la productivité et la qualité supérieure de la gestion de notre portefeuille de prêts continuent à porter fruit et nous avons augmenté notre revenu net trimestriel par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent pour la neuvième fois de suite. »

Comparativement au résultat record du troisième trimestre, le revenu net a reculé de 91 millions de dollars, ou de 14 %. Les résultats du troisième trimestre avaient bénéficié d'importantes réductions de réserves précédemment établies pour certains prêts et du recouvrement de prêts qui avaient été radiés. Par conséquent, le recul du revenu net est en grande partie attribuable à une réduction de 97 millions de dollars (63 millions après impôts) des recouvrements de pertes sur prêts et à des intérêts de 33 millions de dollars (21 millions après impôts) perçus au troisième trimestre sur des prêts qui avaient déjà été classés dans les prêts douteux ou radiés. Le revenu du groupe Services d'investissement a sensiblement diminué, mais l'incidence de cette diminution sur ses résultats a été en grande partie compensée par la baisse des coûts de la rémunération liée au rendement.

Le revenu du quatrième trimestre, qui s'établit à 2 312 millions de dollars, est inférieur de 99 millions de dollars, ou de 4,2 %, à celui de l'an dernier. Ce recul est attribuable à la baisse de 70 millions du revenu des Services d'entreprise principalement due à la diminution des gains sur titres de placement et des revenus de placement dans un contexte de faibles taux d'intérêt, à l'affaiblissement du dollar américain, dont l'incidence se chiffre à 40 millions de dollars, au rétrécissement des marges et à la diminution du volume de prêts du groupe Services d'investissement. Le groupe Particuliers et entreprises a augmenté son revenu grâce à l'accroissement de ses volumes, mais l'augmentation a été partiellement amoindrie par l'affaiblissement du dollar américain, la réduction des marges nettes d'intérêts et la baisse des frais de services de cartes. Les gains nets sur titres de placement ont été plus élevés dans l'ensemble, mais l'augmentation a été en grande partie neutralisée par la diminution des revenus de négociation.

Par rapport au troisième trimestre, le revenu a diminué de 111 millions de dollars, ou de 4,6 %, surtout en raison de la diminution du revenu du groupe Services d'investissement, qui est attribuable à la baisse du revenu net d'intérêts découlant du rétrécissement des marges dans les secteurs d'activité sensibles aux taux d'intérêt et à la perception de 33 millions de dollars d'intérêts au troisième trimestre, comme nous le mentionnons plus haut. Le revenu du groupe Gestion privée a lui aussi diminué, les deux groupes ayant subi, en plus de l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain, une baisse de leurs commissions sous l'effet de la réduction des activités des clients.

La marge nette d'intérêts s'établit à 1,87 % pour le quatrième trimestre de 2004, soit un recul de 4 points de base comparativement à l'an dernier et de 5 points de base par rapport au troisième trimestre, en partie en raison des 33 millions de dollars d'intérêts perçus au troisième trimestre. La marge nette d'intérêts, qui s'est rétrécie dans tous les groupes d'exploitation, fait l'objet d'une explication détaillée dans la section Revenu de l'Analyse des résultats financiers.

Les résultats de ce trimestre comprennent une provision spécifique pour créances irrécouvrables de 37 millions de dollars, alors que la provision spécifique s'élevait à 95 millions au quatrième trimestre de 2003. Cette amélioration découle du niveau peu élevé des nouvelles provisions. Les résultats comprennent également une réduction de 50 millions de dollars de la réserve générale pour créances irrécouvrables, ce qui porte le total net des recouvrements de pertes sur créances à 13 millions de dollars pour le trimestre. Au quatrième trimestre de 2003, la réserve générale n'avait pas été réduite. Quant aux résultats du troisième trimestre, ils comprenaient un recouvrement net de pertes spécifiques de 70 millions de dollars et une réduction de 40 millions de la réserve générale, ce qui portait le total net des recouvrements de pertes sur créances à 110 millions de dollars. Les résultats du troisième trimestre bénéficiaient aussi de recouvrements de 60 millions de dollars provenant de prêts qui avaient précédemment été classés comme douteux ou radiés.

Au cours du trimestre, nous avons racheté 1 665 400 actions ordinaires de la Banque de Montréal dans le cadre de nos programmes de rachat d'actions ordinaires, à un prix moyen de 54,30 $ l'action, ce qui représente une somme totale de 90 millions de dollars pour le trimestre. Au cours de l'exercice 2004, nous avons racheté 6 220 500 actions, à un prix moyen de 53,63 $ l'action, pour un total de 333 millions de dollars.

Nous avons atteint ou surpassé nos cinq cibles financières, comme nous l'avions fait l'an dernier. Nos résultats pour l'exercice 2004 et nos cibles pour 2005 sont présentés dans le tableau ci-dessous. Notre cible de croissance du RPA pour 2005 est moins élevée que notre cible et que notre résultat de 2004, car nous prévoyons que les provisions pour créances irrécouvrables, après avoir été exceptionnellement peu élevées en 2004, augmenteront sensiblement en 2005, à mesure que les nouvelles provisions, les recouvrements et les contrepassations devraient retrouver des niveaux plus normaux à ce stade du cycle du crédit. Nos cibles pour 2005 ont été établies en fonction de nos prévisions économiques, qui sont présentées ci-dessous dans la section Prévisions concernant la conjoncture économique en 2005.

___________________

1 Sur une base d'imposition comparable — voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ».

Cibles pour 2004

Prévisions concernant la conjoncture économique en 2005
Nous prévoyons qu'en 2005, l'économie canadienne croîtra à un rythme modéré. Les dépenses des particuliers continueront à bénéficier de taux d'intérêt historiquement bas, bien qu'à la hausse, et les investissements des entreprises devraient prendre de la vigueur à la faveur d'une bonne rentabilité des entreprises et d'un regain de confiance dans l'expansion économique. Cependant, la croissance des exportations ralentira en raison de l'appréciation du dollar canadien. Les taux d'intérêt devraient continuer à monter progressivement vers des niveaux plus normaux, tandis que le dollar canadien, grâce à une balance commerciale positive, devrait se stabiliser au niveau actuel par rapport au dollar américain. L'expansion économique devrait favoriser la croissance des prêts hypothécaires à l'habitation, des prêts à la consommation et du crédit aux entreprises, tout en soutenant les services bancaires tarifés. La croissance des prêts hypothécaires demeurera supérieure à la normale, mais elle sera moins forte qu'en 2004 en raison de la hausse des taux d'intérêt.

Nous prévoyons que l'économie américaine, stimulée par les investissements des entreprises dans les biens d'équipement destinés à améliorer la productivité, connaîtra une forte croissance en 2005. Cependant, le rythme d'activité sera moins rapide qu'en 2004, en raison des hausses antérieures des coûts de l'énergie et d'un plus faible soutien des politiques monétaires et fiscales. L'activité devrait ralentir dans le marché de l'habitation, la hausse des taux d'intérêt rendant l'accès à la propriété moins abordable et réduisant la demande des prêts hypothécaires à l'habitation. Inversement, la vigueur continue des dépenses en immobilisations devrait soutenir la demande de prêts aux entreprises. Les taux d'intérêt vont sans doute continuer à augmenter progressivement en 2005, à mesure que la Réserve fédérale américaine atténuera ses mesures de stimulation monétaire.

Responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière contenue dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information continue, en décembre 2004, BMO déposera, comme l'année précédente, des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exige la loi Sarbanes Oxley des États-Unis, l'exactitude de l'information financière contenue dans nos documents d'information (formule 40-F), ainsi que l'efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour produire cette information. Conformément à la nouvelle législation canadienne sur les valeurs mobilières, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient aux organismes de réglementation des valeurs mobilières l'exactitude de l'information financière contenue dans les rapports intermédiaires de BMO, y compris les communiqués de presse sur les résultats des deuxième et troisième trimestres et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés de ces périodes.

Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent document et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.

On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d'activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section « Analyse par la direction des résultats d'exploitation et de la situation financière » du Rapport annuel 2003 de BMO, accessible sur notre site Web à l'adresse www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y obtenir des renseignements financiers trimestriels.

Documents déposés auprès des organismes de réglementation
Nos documents d'information continue, y compris nos documents intermédiaires, notre Analyse de la direction et nos États financiers consolidés vérifiés annuels, notre Notice annuelle et notre Avis de convocation à l'assemblée annuelle des actionnaires et circulaire de sollicitation de procurations, sont accessibles sur notre site Web, sur le site des autorités canadiennes en valeurs mobilières, www.sedar.com, et dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à l'adresse www.sec.gov.


Les états financiers consolidés vérifiés de BMO pour l'exercice terminé le 31 octobre 2004 seront accessibles sur notre site Web à l'adresse www.bmo.com le ou vers le 7 décembre 2004. Le Rapport de gestion de l'exercice 2004 sera accessible sur notre site Web le ou vers le 14 décembre 2004.


Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :

Les faits saillants financiers
Analyse des résultats financiers
Les états financiers non vérifiés

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l'exercice 2005 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prospectives se révèlent inexactes. Nous conseillons aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d'intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. Nous tenons à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom.


RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les investisseurs, les médias et les autres parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l'accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 23 novembre 2004 à 14 h (HNE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au (416) 695-9753 (région de Toronto) ou au 1 888 789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au mardi 7 décembre 2004, au (416) 695-5292 (région de Toronto) ou au 1 888 742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d'accès : 3484).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu'au lundi 21 février 2005.

Relations avec les médias
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, (514) 877-1101
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, (416) 867-3996

Relations avec les investisseurs
Susan Payne, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, susan.payne@bmo.com, (416) 867-6656
Steven Bonin, directeur général, Relations avec les investisseurs, steven.bonin@bmo.com, (416) 867-5452
Amanda Mason, directrice principale, Relations avec les investisseurs, amanda.mason@bmo.com, (416) 867-3562

Chef des finances
Karen Maidment, première vice-présidente à la direction et chef des finances, karen.maidment@bmo.com, (416) 867-6776

Secrétariat général
Velma Jones, vice-présidente et secrétaire générale, Secrétariat général et affaires juridiques, corp.secretary@bmo.com, (416) 867-6785