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Communiqués de presse

BMO Groupe financier, grâce au rendement élevé de ses créances, annonce un revenu net record pour le troisième trimestre de 2004, en hausse de 30 % par rapport à la même période l’an dernier  

L'amélioration du rendement du portefeuille de prêts et l'accroissement des volumes d'affaires ont favorisé la croissance.

Principaux points de comparaison avec les résultats du troisième trimestre de l'an dernier :

  • Revenu net record de 654 millions de dollars, en hausse de 30 %.
  • Résultat par action1 (RPA) de 1,24 $, en hausse de 31 %, et RPA avant amortissement2 de 1,27 $, en hausse de 28 %.
  • Rendement des capitaux propres (RCP) de 21,0 %, alors qu'il était de 18,0 % un an plus tôt.
  • Recouvrement net de pertes sur créances de 110 millions de dollars, constitué d'un recouvrement net de pertes spécifiques de 70 millions de dollars et d'une réduction de la réserve générale de 40 millions de dollars, alors que la provision spécifique atteignait 90 millions de dollars un an plus tôt.
  • Croissance du revenu2 de 3,9 % et augmentation des frais de 3,6 %.
  • Amélioration du ratio de productivité2, qui passe de 63,7 % à 63,5 %, et amélioration de 20 points de base du ratio de productivité avant amortissement2, qui s'établit à 62,4 %.
  • Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 9,21 % à 9,44 %.
     

Principaux points de comparaison des résultats des neuf premiers mois de l'exercice avec ceux de la même période l'an dernier :

  • RPA de 3,36 $, en hausse de 36 %, et RPA avant amortissement de 3,47 $, en hausse de 34 %.
  • RCP de 20,0 %, alors qu'il était de 15,8 % l'an dernier.
  • Amélioration de 230 points de base du ratio de productivité, qui atteint 63,9 %, et amélioration de 220 points de base du ratio de productivité avant amortissement, qui s'établit à 62,8 %.

Autres points saillants :

  • Nous prévoyons maintenant que le revenu net et le RCP de l'exercice 2004 dépasseront nos cibles, qui sont une croissance de 10 % à 15 % du RPA et un RCP se situant entre 16 % et 18 %.
  • Nous prévoyons également que la provision spécifique pour créances irrécouvrables ne dépassera pas 100 millions de dollars pour l'exercice 2004, alors que notre cible maximale était de 500 millions de dollars et notre estimation la plus récente, de 300 millions.
  • Le dividende trimestriel s'est accru pour la deuxième fois cette année, augmentant de 0,04 $ ou de 10 %, pour atteindre 0,44 $ par action, soit une hausse de 26 % par rapport à l'an dernier.
     

1 Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.

2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) et de substituer le revenu et les impôts sur les bénéfices sur une base d'imposition comparable (bic) au revenu et aux impôts sur les bénéfices selon les PCGR sont exposés plus loin dans la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'Analyse des résultats financiers, où sont également expliqués toutes les mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Les revenus et les impôts sur les bénéfices sont indiqués dans les états financiers conformément aux PCGR. Sauf en ce qui concerne les états financiers, tous les revenus et impôts sur les bénéfices, ainsi que les mesures qui incluent des revenus ou des impôts sur les bénéfices, qui sont présentés dans le présent document le sont sur une base d'imposition comparable.


La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l'organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l'appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.

RAPPORT DE GESTION DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2004


1) Montants ou mesures non conformes aux PCGR. Voir la note 2 du tableau précédent et la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'Analyse des résultats financiers, qui portent sur l'utilisation des mesures non conformes aux PCGR dans le présent Rapport de gestion.

Montréal, le 24 août 2004 - BMO Groupe financier annonce que pour le troisième trimestre, terminé le 31 juillet 2004, son revenu net a progressé de 30 % par rapport au troisième trimestre de l'année précédente.

REVUE DES RÉSULTATS
Le revenu net s'élève à 654 millions de dollars et le RPA, à 1,24 $ pour le troisième trimestre de 2004, en hausse respectivement de 150 millions de dollars et de 0,29 $ par rapport au troisième trimestre de 2003. Cette progression s'explique par une amélioration de 200 millions de dollars (130 millions après impôts) du rendement du portefeuille de prêts, par l'augmentation du revenu liée à l'accroissement des volumes et par la compression des coûts.

« Notre revenu net poursuit sa forte croissance, a déclaré Tony Comper, président et chef de la direction de BMO Groupe financier. Il a en effet augmenté pendant neuf trimestres de suite et, bien que l’amélioration du rendement du portefeuille de prêts ait fortement contribué à ces résultats, nos points forts se retrouvent dans de nombreux secteurs. Les groupes Particuliers et entreprises et Services d’investissement ont tous deux inscrit le revenu net le plus haut qu’ils aient jamais réalisé pour un trimestre, tandis que celui du groupe Gestion privée est demeuré élevé, et ce, en dépit d’un certain ralentissement des marché boursiers ces derniers temps. »

Par rapport au deuxième trimestre de 2004, le revenu net s'est accru de 52 millions de dollars, ou de 9 %, tandis que le RPA progressait de 0,12 $, ou de 11 %. Ces augmentations s'expliquent par une amélioration de 115 millions de dollars (75 millions après impôts) de la provision pour créances irrécouvrables. Les commissions de montage et les revenus de négociation ont diminué, mais le volume a fortement progressé dans le secteur des services aux particuliers et aux entreprises.

Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le revenu net s'élève à 1 788 millions de dollars, soit une hausse de 476 millions de dollars, ou de 36 %, comparativement à la période correspondante en 2003. L'amélioration du rendement du portefeuille de prêts a fortement contribué à l'augmentation du revenu net, la provision pour créances irrécouvrables ayant été réduite de 450 millions de dollars (293 millions après impôts) par rapport à la même période l'an dernier. En outre, les volumes d'affaires se sont fortement accrus et le revenu net de chacun des groupes d'exploitation est supérieur à ce qu'il était il y a un an. Le groupe Gestion privée a inscrit un revenu net de 177 millions de dollars, soit une hausse de 77 millions, ou de 77 %, par rapport à la période correspondante en 2003, tandis que celui du groupe Services d'investissement atteignait 659 millions de dollars, soit une hausse de 125 millions, ou de 24 %, les deux groupes ayant bénéficié de l'amélioration des conditions des marchés financiers. Le revenu net du groupe Particuliers et entreprises se chiffre à 728 millions de dollars, soit une augmentation de 44 millions, ou de 6 %. Les avantages découlant de l'accroissement du volume d'affaires du groupe n'ont été que partiellement neutralisés par le rétrécissement des marges nettes d'intérêts attribuable à un contexte concurrentiel marqué par la faiblesse des taux d'intérêt.

« En nous fondant sur les résultats obtenus depuis le début de l'exercice aux chapitres de la croissance du RPA, du rendement des capitaux propres et de la productivité, nous pensons pouvoir atteindre ou dépasser toutes nos cibles financières pour l'exercice, a ajouté M. Comper. La gestion particulièrement efficace du portefeuille de prêts, la grande attention que nous accordons à l'accroissement de la productivité et la progression des volumes d'affaires nous ont été profitables. L'annonce faite aujourd'hui, d'une deuxième hausse du dividende au cours du présent exercice, qui représente une augmentation de 10 % par rapport au troisième trimestre et de 26 % par rapport à l'an dernier, reflète notre capacité d'accroître notre revenu net et la solide situation de notre capital. »

Notre revenu1 pour le trimestre s'est accru de 89 millions de dollars, ou de 4 %, comparativement à l'an dernier et se chiffre à 2 423 millions de dollars. Cette progression est due à l'accroissement des volumes d'affaires, y compris l'incidence des acquisitions d'entreprises, et aux intérêts perçus sur des prêts précédemment classés comme douteux ou radiés, facteurs partiellement neutralisés par le rétrécissement des marges nettes d'intérêts des services bancaires aux particuliers et aux entreprises et par un léger affaiblissement du dollar américain.

Par rapport au deuxième trimestre, le revenu a diminué de 53 millions de dollars, ou de 2 %, même si le troisième trimestre comptait deux jours de plus. Le revenu du groupe Gestion privée a baissé en raison du recul des commissions de négociation de titres. Malgré l'augmentation des intérêts perçus sur des prêts précédemment classés comme douteux ou radiés, le revenu des Services d'investissement a diminué, car ce groupe a aussi subi une réduction de ses commissions de négociation de titres et de prise ferme. Au deuxième trimestre, le revenu de ce groupe comportait des gains nets sur titres de placement plus élevés, mais ils avaient été en grande partie neutralisés par les frais d'intérêt découlant du dénouement de contrats de couverture connexes. Le revenu du groupe Services d'entreprise a lui aussi diminué, les gains nets sur titres de placement ayant baissé de 54 millions de dollars et les gains réalisés à la conversion des devises ayant aussi connu une baisse. Le revenu du groupe Particuliers et entreprises s'est accru au Canada comme aux États-Unis, grâce à la progression des volumes d'affaires. Au deuxième trimestre, le revenu de ce groupe comprenait un rajustement de 51 millions de dollars ayant entraîné une réduction des frais de services de cartes.

Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le revenu a augmenté de 440 millions de dollars, ou de 6 %, grâce à l'accroissement des volumes des services bancaires aux particuliers et aux entreprises, à la forte progression des commissions sur titres de négociation et de prise ferme et aux gains nets sur titres de placement, alors que ces derniers avaient occasionné des pertes nettes l'an dernier. Les acquisitions d'entreprises ont également contribué à la progression. Ces augmentations ont toutefois été partiellement neutralisées par le rajustement des frais de services de cartes, la baisse des revenus de titrisation, les effets du rétrécissement des marges nettes d'intérêts et l'affaiblissement du dollar américain.

La marge nette d'intérêts1 s'établit à 1,92 % pour le troisième trimestre de 2004, soit une progression de 8 points de base par rapport à l'an dernier. Celle du groupe Services d'investissement s'est élargie, grâce aux intérêts perçus sur des prêts auparavant classés comme douteux ou radiés. Dans les autres groupes d'exploitation, la marge nette d'intérêts s'est rétrécie, en raison de l'évolution des préférences des clients vers les produits à plus faible marge et du contexte concurrentiel marqué par la faiblesse des taux d'intérêt. L'élargissement de la marge nette d'intérêts du groupe Services d'investissement a entraîné une hausse globale de 12 points de base comparativement au deuxième trimestre. La marge du Groupe Particuliers et entreprises s'est légèrement accrue, la légère augmentation constatée au Canada ayant compensé la diminution subie aux États-Unis. Les marges nettes d'intérêts sont présentées en détail dans la section Revenu de l'Analyse des résultats financiers.

Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 1 538 millions de dollars, soit 53 millions de dollars, ou 4 %, de plus que l'an dernier. Cette augmentation est en grande partie attribuable à la hausse des coûts de la rémunération liée au rendement et à l'effet différentiel des acquisitions d'entreprises. Le ratio des frais autres que d'intérêts au revenu1 (ou ratio de productivité) s'établit à 63,5 % pour le troisième trimestre, alors qu'il était de 63,7 % un an plus tôt. Le ratio de productivité avant amortissement1 s'établit à 62,4 %, soit une amélioration de 20 points de base par rapport à l'an dernier. Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le ratio de productivité avant amortissement s'établit à 62,8 %, soit une amélioration de 220 points de base par rapport à l'an dernier. Notre cible, fixée au début de l'exercice, est d'accroître notre productivité avant amortissement de 150 à 200 points de base en 2004.

Les résultats de ce trimestre comprennent un recouvrement net de pertes spécifiques de 70 millions de dollars, comparativement à la provision spécifique de 90 millions qui avait été établie pour le troisième trimestre de 2003. Cette amélioration s'explique par le bas niveau des nouvelles provisions, les réductions relativement importantes des réserves précédemment établies à l'égard de certains prêts et le recouvrement de 60 millions de dollars provenant de prêts précédemment radiés, y compris un recouvrement de 39 millions de dollars provenant d'un seul compte.

Les résultats comprennent également une réduction de 40 millions de dollars de la réserve générale pour créances irrécouvrables, ce qui porte le total net des recouvrements de pertes sur créances à 110 millions de dollars pour le trimestre. Au deuxième trimestre, la provision nette pour créances irrécouvrables s'établissait à 5 millions de dollars, résultat d'une provision spécifique de 45 millions de dollars et d'une réduction de 40 millions de la réserve générale. Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le montant net des recouvrements se chiffre à 90 millions de dollars, résultat d'une provision spécifique de 30 millions et d'une réduction de 120 millions de la réserve générale. Pour les neuf premiers mois de l'exercice 2003, la provision spécifique s'élevait à 360 millions de dollars et aucune modification n'avait été apportée à la réserve générale au cours de cette période. Pour l'exercice 2004, nous prévoyons maintenant que notre provision spécifique pour créances irrécouvrables s'établira à 100 millions de dollars ou moins, alors que la cible fixée au début de l'exercice était de 500 millions et que l'estimation établie après le premier trimestre était de 300 millions.

Au cours du trimestre, nous avons racheté 3 055 100 actions ordinaires de la Banque de Montréal dans le cadre de notre programme de rachat d'actions ordinaires, à un prix moyen de 53,25 $ l'action, ce qui représente une somme totale de 162,7 millions de dollars. En vertu de ce programme, qui arrivait à échéance le 6 août 2004, 5 123 900 actions ont été rachetées, pour une somme totale de 271,3 millions de dollars. Le 6 août 2004, BMO a annoncé une nouvelle offre publique de rachat dans le cours normal de ses activités, en vertu de laquelle BMO pourrait racheter 15 millions d'autres actions ordinaires aux fins d'annulation.
 

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1 Sur une base d'imposition comparable - voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ».

Prévisions concernant la conjoncture économique en 2004
Nous prévoyons maintenant que le PIB réel du Canada croîtra de 2,8 % en 2004, alors que notre prévision de croissance était de 3,1 % au début de l'année. L'économie canadienne a été soutenue par des taux d'intérêt peu élevés et par la forte demande des États-Unis pour les exportations canadiennes. Nous prévoyons que le PIB réel des États-Unis croîtra rapidement en 2004, soit à un taux de 4,4 %, ce qui est conforme à l'estimation que nous faisions au début de l'année. La faiblesse des taux d'intérêt, des politiques fiscales expansionnistes et la reprise de la croissance du marché de l'emploi ont soutenu la demande américaine. Les données américaines récentes indiquent que les investissements des entreprises progressent rapidement, même si les dépenses des consommateurs ont ralenti en réaction à la hausse des coûts de l'énergie. Au Canada comme aux États-Unis, le redressement des marchés boursiers au cours de la dernière année continue à favoriser les services d'investissement et de gestion de patrimoine. Bien que les investissements des entreprises soient en hausse, la rapide croissance de leurs profits et la progression du financement par capitaux propres ont permis aux sociétés d'autofinancer leur expansion, ce qui a nui à la demande de prêts aux entreprises. Les faibles coûts du crédit continuent à stimuler la croissance des prêts à la consommation et des prêts hypothécaires, ce qui a porté le nombre de maisons vendues et leurs prix à des niveaux records. Cependant, les hausses de taux que devraient décréter la Réserve fédérale américaine et la Banque du Canada modéreront sans doute la croissance des prêts à l'habitation au cours de la prochaine année.

Responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière contenue dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information continue, le 23 janvier 2004, BMO a déposé, comme l'année précédente, des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exige la loi Sarbanes Oxley des États-Unis, l'exactitude de l'information financière contenue dans nos documents d'information continue (formule 40-F), ainsi que l'efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour produire cette information. Conformément à la nouvelle législation canadienne sur les valeurs mobilières, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifieront aux organismes de réglementation des valeurs mobilières l'exactitude de l'information financière contenue dans les rapports intermédiaires de BMO, y compris le présent communiqué sur ses résultats trimestriels et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints.

Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent communiqué, y compris les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.

On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d'activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section « Analyse par la direction des résultats d'exploitation et de la situation financière » du Rapport annuel 2003 de BMO, accessible sur notre site Web à l'adresse www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y obtenir des renseignements financiers trimestriels.

Documents déposés auprès des organismes de réglementation
Nos documents d'information continue, y compris nos documents intermédiaires, notre Analyse de la direction et nos États financiers consolidés vérifiés annuels, notre Notice annuelle et notre Avis de convocation à l'assemblée annuelle des actionnaires et circulaire de sollicitation de procurations, sont accessibles sur notre site Web, sur le site des autorités canadiennes en valeurs mobilières, www.sedar.com, et dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à l'adresse www.sec.gov.

 


Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :

Les faits saillants financiers
Analyse des résultats financiers
Les états financiers non vérifiés

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l'exercice 2004 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prospectives comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prospectives se révèlent inexactes. La Banque de Montréal conseille aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d'intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. La Banque tient à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom.


RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les investisseurs, les médias et les autres parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l'accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 24 août 2004 à 14 h (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au (416) 695-9753 (région de Toronto) ou au 1 888 789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au mardi 7 septembre 2004, au (416) 695-5292 (région de Toronto) ou au 1 888 742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d'accès : 3483).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu'au lundi 22 novembre 2004.

Relations avec les médias
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, (514) 877-1101
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, (416) 867-3996

Relations avec les investisseurs
Susan Payne, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, susan.payne@bmo.com, (416) 867-6656
Steven Bonin, directeur général, Relations avec les investisseurs, steven.bonin@bmo.com, (416) 867-5452
Amanda Mason, directrice principale, Relations avec les investisseurs, amanda.mason@bmo.com, (416) 867-3562

Chef des finances
Karen Maidment, première vice-présidente à la direction et chef des finances,
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Secrétariat général
corp.secretary@bmo.com, (416) 867-6785