BMO Groupe financier annonce une augmentation de 47 % de son revenu net au deuxième trimestre de 2004 par rapport à la même période l'an dernier
La progression des résultats des groupes d'exploitation et l'amélioration du rendement du portefeuille de prêts ont favorisé la croissance.
Principaux points de comparaison avec les résultats du deuxième trimestre de l'an dernier :
- Revenu net de 602 millions de dollars, en hausse de 47 %.
- Résultat par action1 (RPA) de 1,12 $, en hausse de 45 %, et RPA avant amortissement2 de 1,17 $, en hausse de 44 %.
- Rendement des capitaux propres (RCP) de 20,4 %.
- Provision spécifique pour créances irrécouvrables de 45 millions de dollars et réduction de 40 millions de dollars de la réserve générale pour créances irrécouvrables, soit une provision pour créances irrécouvrables nette de 5 millions, alors que la provision spécifique s'élevait à 120 millions de dollars un an plus tôt.
- Croissance du revenu2 de 12 % et augmentation des frais de 5 %.
- Amélioration du ratio de productivité2, qui passe de 67,2 % à 63,2 %, et amélioration de 380 points de base du ratio de productivité avant amortissement2, qui s'établit à 62,2 %.
- Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 9,10 % à 9,67 %.
1 Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.
2 Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) et de substituer le revenu et les impôts sur les bénéfices sur une base d'imposition comparable (bic) au revenu et aux impôts sur les bénéfices selon les PCGR sont exposés plus loin dans la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'Analyse des résultats financiers, où sont expliqués toutes les mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Les revenus et les impôts sur les bénéfices sont indiqués dans les états financiers conformément aux PCGR. Sauf en ce qui concerne les états financiers, tous les revenus et impôts sur les bénéfices, ainsi que les mesures qui incluent des revenus ou des impôts sur les bénéfices, qui sont présentés dans le présent document le sont sur une base d'imposition comparable.
La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l'organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l'appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.
RAPPORT DE GESTION DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2004
1) Montants ou mesures non conformes aux PCGR. Voir la note 2 du tableau précédent et la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l'Analyse des résultats financiers, qui portent sur l'utilisation des mesures non conformes aux PCGR dans le présent Rapport de gestion.
Montréal, le 26 mai 2004 - BMO Groupe financier annonce que pour le deuxième trimestre, terminé le 30 avril 2004, son revenu net a progressé de 47 % par rapport au deuxième trimestre de l'année précédente.
REVUE DES RÉSULTATS
Le revenu net s'élève à 602 millions de dollars et le RPA, à 1,12 $ pour le deuxième trimestre de 2004, en hausse respectivement de 193 millions de dollars et de 0,35 $ par rapport au deuxième trimestre de 2003.
« Notre revenu net trimestriel a encore une fois remarquablement progressé par rapport à l'exercice précédent, a déclaré Tony Comper, président et chef de la direction de BMO Groupe financier. Cette progression s'explique par les excellents résultats de tous nos groupes d'exploitation et par le bon rendement soutenu du portefeuille de prêts. »
Le revenu net du groupe Gestion privée a plus que doublé, grâce au redressement des marchés boursiers et aux initiatives de réduction des coûts mises en oeuvre en 2003. Le groupe Services d'investissement a augmenté son revenu net de 28 %. Celui du groupe Particuliers et entreprises est en baisse, mais il aurait progressé de 12 % abstraction faite du rajustement des frais de services de cartes qui est expliqué dans le paragraphe qui suit. Les augmentations mentionnées ci-dessus ont été réalisées en dépit du fait que les avantages découlant de la croissance des volumes de nos secteurs d'activité ont été partiellement neutralisés par le rétrécissement des marges nettes d'intérêt attribuable à un contexte concurrentiel marqué par la faiblesse des taux d'intérêt.
Le revenu autre que d'intérêts du groupe Particuliers et entreprises s'est replié au cours du trimestre à la suite d'un rajustement de 51 millions de dollars (33 millions après impôts) des frais de services de cartes de crédit, rajustement qui a accru le passif comptabilisé en rapport avec notre programme de fidélisation de la clientèle en raison de la hausse des taux d'échange des récompenses offertes dans le cadre de ce programme.
Pour les six premiers mois de l'exercice, le revenu net s'élève à 1 134 millions de dollars, soit une augmentation de 326 millions de dollars, ou de 40 %, comparativement à la même période en 2003. Les volumes d'affaires se sont fortement accrus et le revenu net de chaque groupe d'exploitation a sensiblement progressé par rapport à l'an dernier. Les résultats du groupe Gestion privée ont grimpé de 92 % par rapport à la même période en 2003 et le revenu net du groupe Services d'investissement a progressé de 23 %, les deux groupes ayant bénéficié de l'amélioration des conditions des marchés financiers. Le revenu net du groupe Particuliers et entreprises s'est accru de 4 %, mais la hausse atteint 12 % si on exclut l'incidence du rajustement des frais des services de cartes, les avantages de la croissance du volume n'ayant été que partiellement neutralisés par l'incidence du rétrécissement des marges nettes d'intérêts attribuable à un contexte concurrentiel marqué par la faiblesse des taux d'intérêt. L'amélioration du rendement du portefeuille de prêts a également fortement contribué à l'augmentation du revenu net, la provision pour créances irrécouvrables ayant été réduite de 250 millions de dollars (166 millions après impôts) par rapport à la même période de l'exercice précédent.
« Nous sommes en bonne position pour atteindre toutes nos cibles financières pour l'exercice, a ajouté M. Comper. Nous continuons à bénéficier de la croissance de nos volumes d'affaires, des efforts axés sur l'amélioration de notre productivité et de la qualité supérieure de notre actif. »
Le revenu du deuxième trimestre (sur une base d'imposition comparable - voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ») s'est accru de 268 millions de dollars, ou de 12 %, par rapport à l'an dernier et s'établit à 2 476 millions de dollars, mais il aurait progressé de 335 millions, ou de 15 %, si le taux de change entre les dollars canadien et américain était resté le même que l'an dernier. La progression s'explique par l'augmentation des volumes de tous nos groupes d'exploitation et par une hausse de 93 millions de dollars des gains nets sur titres de placement ce trimestre, alors que ces titres avaient occasionné des pertes nettes de 45 millions de dollars l'an dernier. Ces augmentations ont été partiellement neutralisées par le rajustement de 51 millions de dollars des frais des services de cartes et par l'incidence du rétrécissement des marges nettes d'intérêts, y compris l'effet d'une perte de 44 millions de dollars découlant du dénouement de contrats de couverture liés à des titres de placement qui ont été vendus.
Par rapport au premier trimestre, le revenu s'est accru de 75 millions de dollars, ou de 3 %, grâce à la hausse des commissions de négociation de titres et de prise ferme, à l'augmentation des gains nets sur titres de placement et au renforcement du dollar américain. Ces facteurs ont été partiellement neutralisés par le fait que le deuxième trimestre compte deux jours de moins que le précédent, le rétrécissement des marges nettes d'intérêts et le rajustement des frais des services de cartes. Depuis le début de l'exercice, le revenu a augmenté de 351 millions de dollars, ou de 8 %, grâce à la forte progression des commissions de négociation de titres et de prise ferme et aux gains nets sur titres de placement, alors que ces derniers avaient occasionné des pertes nettes l'an dernier. Les entreprises acquises ont également contribué à la progression. Ces augmentations ont été partiellement neutralisées par le rajustement des frais des services de cartes, la baisse des revenus de titrisation et les effets du rétrécissement des marges et de l'affaiblissement du dollar américain.
Au cours du trimestre, le groupe Services d'investissement a inscrit des gains nets sur titres de placement de 52 millions de dollars résultant principalement de la vente de titres à revenu fixe de son portefeuille de titres non gérés dans le cadre de relations d'affaires. La taille de ce portefeuille est en voie de réduction, conformément à la stratégie du groupe. Les gains ont été en grande partie neutralisés par les frais d'intérêts de 44 millions de dollars liés au dénouement de swaps de taux d'intérêts connexes. De plus, le groupe Services d'entreprise a inscrit des gains nets sur titres de placement de 44 millions de dollars provenant principalement de la vente de titres à revenu fixe. Ces titres appartenaient au portefeuille utilisé pour la gestion du risque de taux d'intérêt aux États-Unis. Leur vente a contribué à atténuer le risque accru lié à la hausse des taux d'intérêt du portefeuille de prêts hypothécaires aux États-Unis découlant de la baisse prévue des remboursements de capital occasionnée par la hausse des taux d'intérêt.
La marge nette d'intérêts (sur une base d'imposition comparable - voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ») s'établit à 1,80 % pour le deuxième trimestre de 2004, soit un recul de 16 points de base comparativement à l'an dernier et de 12 points de base par rapport au premier trimestre. Cependant, abstraction faite de l'incidence ponctuelle de la comptabilisation de frais de 42 millions de dollars liés au remboursement anticipé de prêts hypothécaires au premier trimestre, la marge nette d'intérêts s'est rétrécie de 6 points de base par rapport au premier trimestre, la marge nette d'intérêts des services aux particuliers et aux entreprises ayant relativement peu changé. Les marges nettes d'intérêts sont présentées en détail dans la section Revenu de l'Analyse des résultats financiers.
Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 1 565 millions de dollars, soit 81 millions de dollars, ou 5 %, de plus que l'an dernier, mais ils auraient augmenté de 124 millions de dollars, ou de 8 %, si le taux de change entre les dollars canadien et américain était resté inchangé. L'augmentation est en grande partie attribuable à la hausse des coûts de la rémunération liée au rendement et à l'effet différentiel des acquisitions d'entreprises. Le ratio des frais autres que d'intérêts au revenu (ou ratio de productivité) s'établit à 63,2 % (sur une base d'imposition comparable - voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ») au deuxième trimestre, alors qu'il était de 67,2 % un an plus tôt. Le ratio de productivité avant amortissement s'établit à 62,2 % (sur une base d'imposition comparable - voir la section « Mesures non conformes aux PCGR »), soit une amélioration de 380 points de base par rapport à l'an dernier. Notre objectif, fixé au début de l'exercice, est d'accroître notre productivité de 150 à 200 points de base en 2004.
La provision spécifique pour créances irrécouvrables se chiffre à 45 millions de dollars pour le trimestre, en baisse par rapport aux 120 millions du deuxième trimestre de 2003. Cette diminution résulte de l'amélioration continue du rendement des portefeuilles de prêts de BMO et de la vente de prêts douteux à un prix supérieur à leur valeur comptable nette. La provision pour créances irrécouvrables nette s'établit à 5 millions de dollars pour le trimestre, résultat de provisions spécifiques de 45 millions de dollars et d'une réduction de 40 millions de la réserve générale. Au premier trimestre, la provision pour créances irrécouvrables nette se chiffrait à 15 millions de dollars, résultat d'une provision spécifique de 55 millions et d'une réduction de 40 millions de la réserve générale. Pour les six premiers mois de l'exercice, la provision pour créances irrécouvrables s'établit à 20 millions de dollars, résultat de provisions spécifiques de 100 millions dollars et d'une réduction de la réserve générale de 80 millions. Pour les six premiers mois de 2003, les provisions spécifiques s'élevaient à 270 millions de dollars. Aucune modification n'avait été apportée à la réserve générale au cours de cette période. Pour l'exercice 2004, nous maintenons notre prévision d'une provision spécifique pour créances irrécouvrables de 300 millions de dollars ou moins, alors que la cible fixée au début de l'exercice était de 500 millions.
Au cours du trimestre, nous avons racheté 1 350 000 actions ordinaires de la Banque de Montréal dans le cadre de notre programme de rachat d'actions ordinaires, à un prix moyen de 53,60 $ l'action, ce qui représente une somme totale de 72,4 millions de dollars.
Prévisions concernant les résultats et la conjoncture économique en 2004
Au deuxième semestre de 2003, le revenu net et la productivité de BMO ont été nettement meilleurs qu'au cours de la première moitié de l'année. Le taux de croissance élevé de notre RPA et l'amélioration significative de notre productivité avant amortissement pour le premier semestre de 2004 relativement à nos cibles pour l'exercice 2004 s'expliquent en partie par ces résultats en 2003. Nous maintenons nos prévisions quant à la réalisation de nos objectifs pour l'exercice 2004.
Nous prévoyons maintenant que le PIB réel du Canada croîtra de 2,3 % en 2004, alors que nos prévisions de croissance étaient de 2,8 % au premier trimestre et de 3,1 % à la fin de l'exercice précédent. Par contre, nous prévoyons que le PIB réel des États-Unis croîtra de 4,6 % en 2004, soit un taux égal à celui que nous prévoyions au premier trimestre, mais supérieur à notre estimation de 4,4 % faite à la fin du dernier exercice. La croissance de l'économie canadienne a été ralentie par la hausse considérable de la valeur du dollar canadien au cours des trimestres précédents, même si les taux d'intérêt peu élevés ont fermement soutenu la demande intérieure. Aux États-Unis, les politiques monétaires et fiscales très expansionnistes, l'affaiblissement du dollar américain et la forte croissance de la productivité continuent de stimuler l'économie du pays. Au Canada comme aux États-Unis, le redressement des marchés boursiers continue à favoriser les services d'investissement et de gestion de patrimoine et le faible coût du crédit a fortement stimulé la croissance des prêts hypothécaires à l'habitation et des prêts à la consommation. Cependant, la nette progression des profits et des flux monétaires des entreprises, combinée à la progression du financement par capitaux propres a tempéré la demande de prêts aux entreprises. Le resserrement prévu de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine poussera sans doute les taux d'intérêt nord-américains à la hausse à court terme, mais la politique stable de la Banque du Canada devrait limiter les hausses des taux d'intérêt canadiens à long terme.
Responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard de l'information financière contenue dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information continue, le 23 janvier 2004, BMO a déposé, comme l'année précédente, des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exige la loi Sarbanes Oxley des États-Unis, l'exactitude de l'information financière contenue dans nos documents d'information continue (formule 40-F), ainsi que l'efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour produire cette information. Conformément à la nouvelle législation canadienne sur les valeurs mobilières, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifieront aux organismes de réglementation des valeurs mobilières l'exactitude de l'information financière contenue dans les rapports intermédiaires de BMO, y compris le présent communiqué sur ses résultats trimestriels et les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints.
Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent communiqué, y compris les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.
On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d'activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section « Analyse par la direction des résultats d'exploitation et de la situation financière » du Rapport annuel 2003 de BMO, accessible sur notre site Web à l'adresse www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y obtenir des renseignements financiers trimestriels.
Documents déposés auprès des organismes de réglementation
Nos documents d'information continue, y compris nos documents intermédiaires, notre Analyse de la direction et nos États financiers consolidés vérifiés annuels, notre Notice annuelle et notre Avis de convocation à l'assemblée annuelle des actionnaires et circulaire de sollicitation de procurations, sont accessibles sur notre site Web, sur le site des autorités canadiennes en valeurs mobilières, www.sedar.com, et dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à l'adresse www.sec.gov.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
Les faits saillants financiers |
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Analyse des résultats financiers |
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Les états financiers non vérifiés |
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MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l'exercice 2004 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prospectives se révèlent inexactes. La Banque de Montréal conseille aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d'intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. La Banque tient à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom.
RENSEIGNEMENTS À L'INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS
Documents destinés aux investisseurs
Les investisseurs, les médias et les autres parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l'accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.
Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mercredi 26 mai 2004 à 14 h (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au (416) 695-9753 (région de Toronto) ou au 1 888 789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au mercredi 9 juin 2004, au (416) 695-5292 (région de Toronto) ou au 1 888 742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d'accès : 3482).
La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu'au lundi 23 août 2004.
Relations avec les médias
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Ian Blair, Toronto, ian.blair@bmo.com, (416) 867-3996
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Amanda Mason, directrice principale, Relations avec les investisseurs, amanda.mason@bmo.com, (416) 867-3562
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