BMO Groupe financier tient promesse et se positionne solidement pour l’avenir Allocution du président du conseil et chef de la direction, Tony Comper, à la 186e assemblée générale des actionnaires de BMO
BMO Groupe financier tient promesse en affichant une croissance constante et ciblée tout en poursuivant sa progression pour devenir un fournisseur de services financiers transnational parmi les plus performants, a affirmé aujourd’hui le président du conseil et chef de la direction de BMO, M. Tony Comper, à la 186e assemblée générale des actionnaires qui a eu lieu à Toronto.
« Il y a cinq ans, dans la première allocution que j’ai prononcée devant l’assemblée des actionnaires à titre de chef de la direction, j’ai promis que notre vénérable institution allait entrer dans une "ère nouvelle" — une ère qui serait marquée par une répartition plus rentable de nos activités, une stratégie de croissance mieux ciblée, l’exécution plus efficace de nos stratégies et l’augmentation des rendements offerts aux investisseurs. Aujourd’hui, la qualité de nos résultats de 2003 ainsi que sept trimestres de suite de croissance du revenu net démontrent que nous avons tenu notre promesse », affirme M. Comper.
Le chef de la direction de BMO a souligné la croissance du résultat par action et le rendement total des capitaux propres, qui atteignent respectivement 28 % et 33 % pour l’exercice 2003, comme preuve incontestable de l’engagement de BMO envers les parties intéressées. Il a aussi attiré l’attention de l’assemblée sur les deux augmentations de dividendes, totalisant 17 %, accordées l’an dernier et auxquelles est venue s’ajouter une nouvelle augmentation de 14 % du dividende trimestriel annoncée aujourd’hui.
M. Comper a également souligné les progrès réalisés en matière d’amélioration de la productivité, qui constituait le principal objectif de BMO en 2003 et qui a été maintenu en tête des priorités cette année encore. Sans renoncer aux investissements stratégiques nécessaires à sa croissance future, BMO a amélioré son ratio de productivité avant amortissement (c.-à-d. le ratio des frais avant amortissement au revenu) de 260 points de base en comprimant les coûts non liés aux ventes et en atteignant une croissance du revenu supérieure à la moyenne des institutions comparables, passant du cinquième au deuxième rang parmi son groupe de référence du Canada, pour ce qui est de cette importante mesure.
« Ces chiffres témoignent de notre progression soutenue en vue de la transformation de BMO Groupe financier en un fournisseur de services financiers de premier plan dont la présence s’étend dans tout le Canada et dans des marchés importants et ciblés aux États-Unis, a ajouté M. Comper. Cela est de bon augure pour la poursuite de la mise en oeuvre de notre stratégie de croissance canado-américaine qui consiste à investir dans nos opérations au Canada et à les consolider tout en poursuivant la croissance et l’essor enviables de Harris dans certains des marchés les plus lucratifs des États-Unis. »
L’exercice 2003 et le début de 2004 ont été marqués par d’importantes initiatives stratégiques notamment une entente pour l’ouverture de 80 succursales à l’intérieur de supermarchés de la chaîne Sobeys au Canada, l’acquisition de la firme new-yorkaise Gerard Klauer Mattison (qui fonctionne maintenant sous la bannière Harris Nesbitt Gerard) et la signature d’ententes en vue de l’acquisition de la Lakeland Community Bank et la New Lenox State Bank, toutes deux situées dans le marché à forte croissance et à potentiel élevé de la grande région de Chicago. Cette année, l’organisation entend poursuivre ses acquisitions en se concentrant sur des banques de détail dont l’actif moyen ne dépasse pas 2 milliards de dollars américains, à Chicago, dans l’Illinois et dans les états voisins.
M. Comper a en outre rappelé que l’établissement de relations durables fondées sur la confiance constituait une des principales priorités de BMO, ajoutant que la vente des produits et services devait se faire avec intégrité et dans le respect des clients et de leurs collectivités.
« Ce qu’il faut pour réussir dans un secteur d’activité où tout se joue sur la réputation, ce sont des employés ayant le sens de l’éthique et qui comprennent qu’il y a toujours une valeur attachée à chaque décision d’affaires, même si cette valeur n’est pas nécessairement perceptible de prime abord. Des employés qui comprennent que nous n’atteindrons nos objectifs à long terme que si nous nous appliquons sans cesse à mériter la confiance des clients, des actionnaires, des collectivités que nous servons mais aussi, de la société dans son ensemble, a-t-il ajouté. Depuis plus d’une décennie maintenant, BMO a adopté des règles de gouvernance qui ont fait école et ont mérité les éloges des experts pour plusieurs raisons, à commencer par la qualité de la communication de notre information financière. »
Il y a plus de dix ans, bien avant que la législation américaine ne contraigne les chefs de la direction et les chefs des finances de toutes les sociétés ouvertes en exploitation aux États-Unis à certifier l’exactitude de leurs états financiers, BMO avait déjà mis en place un vaste processus obligeant ses hauts dirigeants à rendre personnellement compte des résultats atteints et des moyens mis en oeuvre pour les atteindre.
BMO a également été la première banque canadienne à nommer un administrateur principal afin d’assurer l’indépendance du Conseil d’administration par rapport à la direction, il y sept ans de cela. Aujourd'hui, BMO franchit l'étape suivante en annonçant la nomination imminente d'un président du conseil qui ne sera pas membre de la haute direction.
« Après 33 années de loyaux services en tant qu'administrateur de la Banque de Montréal, dont les sept dernières à titre d'administrateur principal, Blair MacAuley prendra sa retraite lors de l'assemblée annuelle de l'an prochain. Étant donné sa retraite à venir, M. MacAuley et les autres membres du Conseil d'administration ont jugé que le moment était bien choisi pour séparer le rôle de président du conseil et celui de chef de la direction – une initiative que j'appuie, comme je l'ai déjà fait savoir. Nous aurons ainsi largement le temps d'assurer la transition en douceur », déclare M. Comper.
Un comité de sélection du Conseil d'administration est en train d'examiner des candidatures parmi les administrateurs indépendants actuels et le Conseil élira un président du conseil non-membre de la haute direction dans un proche avenir.
Récemment, BMO a mis en oeuvre d’autres initiatives dans le domaine de la gouvernance d’entreprise dont la centralisation, au niveau du président du conseil délégué, de toutes les fonctions de gestion du crédit, des risques et des portefeuilles de l’ensemble de l’organisation, afin de s’assurer de conserver son leadership dans ces secteurs d’expertise. BMO a également établi de nouvelles normes d’indépendance pour les administrateurs et un code déontologique spécial pour le chef de la direction et le chef des finances, ainsi que de nouvelles lignes directrices encadrant la détention d’actions par les administrateurs. Il a en outre remanié les chartes des comités du Conseil, nommé un responsable de la gouvernance chargé de superviser toutes les questions liées à la gouvernance et au comportement éthique, établi une nouvelle politique rigoureuse visant à protéger les « dénonciateurs » contre d'éventuelles représailles, et mis en place un processus permettant aux employés de signaler, en toute confidentialité et de façon anonyme, des irrégularités touchant la comptabilité, la vérification et les contrôles internes. Dans la foulée, BMO vient de créer un comité de gestion du risque lié à la réputation qui aura la responsabilité d’évaluer les éventuelles transactions d’affaires selon un seul critère, celui de préserver la réputation de BMO.
Comme l’a indiqué M. Comper, « à BMO, nous avons commencé à nous imposer des normes de gouvernance très strictes bien avant que le sujet ne soit à la mode. Et, je peux vous l’assurer, nous allons continuer à nous améliorer. »
Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier (NYSE, TSX : BMO) est une organisation nord-américaine de services financiers hautement diversifiée. Fort d'un actif moyen de 268 milliards de dollars au 31 janvier 2004 et d'un effectif de 34 000 employés, BMO offre une vaste gamme de produits et de solutions dans les domaines des services bancaires de détail, de la gestion de patrimoine et des services d'investissement. BMO Groupe financier sert ses clients à l'échelle du Canada et aux États-Unis par l'intermédiaire de BMO Banque de Montréal, sa société canadienne de services aux particuliers et aux entreprises, la Harris Bank de Chicago, un important fournisseur de services financiers du Midwest américain qui possède également des bureaux de gestion de patrimoine dans l'ensemble des États-Unis, BMO Nesbitt Burns, une des plus importantes sociétés de conseils en placement à service complet du Canada, et Harris Nesbitt, la banque d'investissement de BMO aux États-Unis.
Le texte intégral de l’allocution de M. Comper est accessible à l’adresse suivante : www.bmo.com.
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