BMO Groupe financier annonce une augmentation de 34 % de son revenu net au premier trimestre de 2004, par rapport à la même période l'an dernier, et une hausse de 14 % de son dividende
Communiqué intégral sur les résultats trimestriels, y compris la vue d'ensemble des résultats, le tableau des faits saillants, l’analyse des résultats financiers et les états financiers non vérifiés, en format PDF.)
Version à imprimer - Vue d'ensemble des résultats seulement
L’amélioration du rendement du portefeuille de prêts et la progression des résultats des groupes d’exploitation ont contribué à la croissance.
Principaux points de comparaison avec les résultats du premier trimestre de l’an dernier :
-
Revenu net de 532 millions de dollars, en hausse de 34 %.
-
Résultat par action1 (RPA) de 1,00 $, en hausse de 33 %, et RPA avant amortissement2 de 1,03 $, en hausse de 30 %.
-
Rendement des capitaux propres (RCP) de 18,3 %, et RCP avant amortisement2 de 19,0 %.
-
Provision spécifique pour créances irrécouvrables de 55 millions de dollars, alors que les provisions spécifiques s’élevaient à 150 millions de dollars un an plus tôt, grâce à l’amélioration du rendement du portefeuille de prêts au premier trimestre et au redressement de la conjoncture économique aux États-Unis.
-
Réduction de 40 millions de dollars de la réserve générale pour créances irrécouvrables, d’où une provision pour créances irrécouvrables nette de 15 millions de dollars.
-
Croissance du revenu2 de 4 % et réduction des frais de 1 %.
-
Amélioration du ratio de productivité2, qui passe de 67,9 % à 65,0 %, et amélioration de 270 points de base du ratio de productivité avant amortissement2, qui s’établit à 63,9 %.
-
Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 9,05 % à 9,65 %.
Autres points saillants :
-
La provision pour créances irrécouvrables prévue pour l’exercice s’établit maintenant à un maximum de 300 millions de dollars, abstraction faite de la réduction de la réserve générale, alors que la provision maximale initialement prévue pour 2004 était d’un maximum de 500 millions de dollars.
-
Annonce d’une hausse de 0,05 $, ou de 14 %, du dividende sur les actions ordinaires, qui s’établit à 0,40 $ par trimestre.
1.Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.
2. Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) et de substituer le revenu et les impôts sur les bénéfices sur une base d'imposition comparable (bic) au revenu et aux impôts sur les bénéfices selon les PCGR sont exposés plus loin dans la section " Mesures non conformes aux PCGR " de l'Analyse des résultats financiers, où sont également expliqués toutes les mesures non conformes aux PCGR et leurs plus proches équivalents selon les PCGR. Les revenus et les impôts sur les bénéfices sont indiqués dans les états financiers conformément aux PCGR. Sauf en ce qui concerne les états financiers, tous les revenus et impôts sur les bénéfices, ainsi que les mesures qui incluent des revenus ou des impôts sur les bénéfices, qui sont présentés dans le présent document le sont sur une base d'imposition comparable. .
La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l'organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l'appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.
RAPPORT DE GESTION DU PREMIER TRIMESTRE DE 2004
1) Montants ou mesures non conformes aux PCGR. Voir la note 2 du tableau précédent et la section « Mesures non conformes aux PCGR» de l'Analyse des résultats financiers, qui portent sur l'utilisation des mesures non conformes aux PCGR dans le présent Rapport de gestion..
Montréal, le 24 février 2004 – BMO Groupe financier annonce que pour le premier trimestre, terminé le 31 janvier 2004, son revenu net a progressé de 34 % par rapport au premier trimestre de l’année précédente.
REVUE DES RÉSULTATS
Le revenu net s’élève à 532 millions de dollars et le RPA, à 1,00 $ pour le premier trimestre de 2004, alors qu’ils étaient respectivement de 399 millions de dollars et de 0,75 $ pour le premier trimestre de 2003. Le revenu net avant amortissement, qui tient compte de la réintégration de l’amortissement des actifs incorporels, se chiffre à 551 millions de dollars et le RPA avant amortissement, à 1,03 $ (voir la section « Mesures non conformes aux PCGR » de l’Analyse des résultats financiers).
« Nos résultats pour le premier trimestre sont nettement meilleurs que ceux du premier trimestre de l’an dernier et ont poursuivi leur progression au même rythme qu’au cours de la deuxième moitié de 2003, a déclaré Tony Comper, président du conseil et chef de la direction de BMO Groupe financier. Même si la marge nette d’intérêts est sous pression en raison de la faiblesse des taux d’intérêt et de la forte concurrence, nous continuons à bénéficier de l’amélioration du rendement de notre portefeuille de prêts et de nos efforts pour accroître notre productivité. »
Certains éléments ont influé sur le revenu net :
-
Une modification à la comptabilisation des frais liés au remboursement anticipé des prêts hypothécaires a eu comme incidence ponctuelle de hausser le revenu net d'intérêts de 42 millions de dollars (27 millions après impôts).
-
Une modification dans la comptabilisation des gains et des pertes relatives aux actions de BMO détenues par des filiales de BMO a eu comme incidence ponctuelle de diminuer les revenus de négociation autres que d'intérêts de 26 millions de dollars (16 millions après impôts).
-
Une réduction de la réserve générale pour créances irrécouvrables a réduit la provision pour créances irrécouvrables de 40 millions de dollars (26 millions après impôts).
-
Une augmentation des passifs d'impôts futurs liés à des biens immobiliers aux États-Unis a haussé la provision pour impôts sur les bénéfices de 19 millions de dollars.
Abstraction faite de la hausse du revenu net de 18 millions de dollars (ou 0,03 $ l'action) relative aux quatre éléments ci-dessus, le revenu net s'élève à 514 millions de dollars, une amélioration de 115 millions par rapport à l'an dernier. Sur une base rajustée similaire, le RPA est de 0,97 $ et le RPA avant amortissement est de 1,00 $, en hausse respectivement de 0,22 $ et de 0,21 $ par rapport à l'an dernier. La hausse de 115 millions de dollars s'explique par la diminution de la provision spécifique pour créances irrécouvrables qui est passée de 150 millions à 55 millions de dollars (une baisse de 65 millions après impôts ou de 0,13 $ l'action), en raison de l'amélioration du rendement du portefeuille de prêts et du redressement de la conjoncture économique aux États-Unis. Le reste de l'augmentation du revenu net est attribuable à la croissance du volume d'affaires de nos groupes d'exploitation.
Le revenu (sur une base d’imposition comparable : voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ») se chiffre à 2 401 millions de dollars, soit une hausse de 83 millions de dollars, ou de 4 %, comparativement à l’an dernier, mais sa progression aurait été de 203 millions, ou de 9 %, si le taux de change entre les dollars canadien et américain était resté le même que l’an dernier. Les deux premières modifications comptables mentionnées ci‑dessus ont entraîné une augmentation du revenu de 16 millions de dollars nets et sont expliquées plus amplement dans la section Revenu net de l'Analyse des résultats financiers.
Le revenu du groupe Particuliers et entreprises s’est accru grâce à la forte progression continue de son volume d’affaires. Au Canada, le revenu a progressé de 2 % comparativement à l’an dernier, l’augmentation du volume d’affaires ayant été en partie neutralisée par les effets du rétrécissement de la marge nette d’intérêts. Aux États-Unis, le revenu a subi un léger recul, les effets de la progression du volume d’affaires ayant été neutralisés par la baisse du taux de change entre les dollars canadien et américain. Le revenu du groupe Services d’investissement s’est accru grâce à la progression des activités rémunérées, tandis que celui du groupe Gestion privée augmentait grâce à l’accroissement du volume des transactions effectuées par les clients et de la valeur des actifs gérés.
« L’amélioration des conditions du marché et la poursuite de nos efforts pour accroître notre productivité ont permis aux groupes Gestion privée et Services d’investissement d’augmenter leurs contributions, a observé M. Comper. Le revenu net des Services d’investissement a atteint un niveau record et celui de la Gestion privée est le deuxième plus élevé jamais obtenu par ce groupe, pour un trimestre. »
La marge nette d’intérêts est présentée de façon détaillée dans le tableau de la section « Revenu » de l’Analyse des résultats financiers. Elle s’établit à 1,92 % pour le premier trimestre de 2004, soit un recul de 2 points de base par rapport à l’an dernier. Si on fait abstraction de l’incidence des frais de 42 millions de dollars liés au remboursement anticipé de prêts hypothécaires sur le revenu net d’intérêts du groupe Services d’entreprise, la marge nette d’intérêts s’établit à 1,86 %, soit un recul de 8 points de base par rapport à l’an dernier. La marge nette d’intérêts du groupe Particuliers et entreprises s’est élargie aux États-Unis, mais elle s’est rétrécie au Canada, en raison de l’évolution des préférences des clients en matière de produits et du contexte concurrentiel. La marge nette d’intérêts du groupe Services d’investissement s’est elle aussi rétrécie comparativement à l’an dernier, en raison de la compression des marges dans les secteurs sensibles aux fluctuations des taux d’intérêt, de la diminution des prêts à rendement élevé aux grandes entreprises et de la hausse des frais d’intérêts découlant du dénouement de contrats de couverture liés à la vente de certains titres de placement.
Les frais autres que d’intérêts se chiffrent à 1 561 millions de dollars, soit 12 millions de dollars, ou 1 %, de moins qu’il y a un an, mais ils auraient été supérieurs de 78 millions de dollars, ou de 5 %, aux frais de l’an dernier si le taux de change des dollars canadien et américain était resté le même. Cette augmentation est en grande partie attribuable à la hausse de la rémunération liée au rendement et à l’effet différentiel des acquisitions d’entreprises.
Le ratio des frais autres que d’intérêts au revenu (ratio de productivité) s’établit à 65,0 % (sur une base d’imposition comparable : voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ») pour le premier trimestre, alors qu’il était de 67,9 % il y a un an. Le ratio de productivité avant amortissement se chiffre à 63,9 % (sur une base d’imposition comparable : voir la section « Mesures non conformes aux PCGR »), soit une amélioration de 270 points de base depuis l’an dernier. Pour l’exercice 2004, nous visons une amélioration du ratio de productivité avant amortissement de 150 à 200 points de base.
Le 24 février 2004, nous avons annoncé une hausse de 0,05 $, ou de 14 %, du dividende trimestriel payable sur les actions ordinaires de la Banque de Montréal. La Banque haussait ainsi son dividende pour une douzième année de suite.
« La hausse de notre dividende reflète la solidité de notre assise financière et de la confiance de la direction, à la fois dans la qualité de notre revenu net et dans notre capacité d’atteindre nos objectifs », a souligné M. Comper.
Comparativement au quatrième trimestre, le revenu net s’est accru de 19 millions de dollars, ou de 4 %, ce qui correspond approximativement à l’incidence ponctuelle des quatre éléments indiqués précédemment. L’incidence du rétrécissement de la marge nette d’intérêts et de la diminution des autres revenus des Services d’entreprise a neutralisé les avantages de la réduction des provisions spécifiques pour créances irrécouvrables, de l’augmentation du volume d’affaires et de la hausse des gains nets sur les titres de placement.
Le revenu a reculé de 10 millions de dollars par rapport au quatrième trimestre, en dépit de l’apport de 16 millions de dollars lié aux éléments mentionnés précédemment. Les gains nets sur titres de placement, les commissions liées aux secteurs des prises fermes et des fusions et acquisitions et les revenus de négociation et des services de gestion de patrimoine ont tous augmenté. Ces augmentations, cependant, ont été plus que neutralisées par la baisse des revenus du groupe Services d’entreprise, par l’incidence du rétrécissement des marges nettes d’intérêts et par l’affaiblissement du dollar américain.
Par rapport au quatrième trimestre, la marge nette d’intérêts s’est élargie de un point de base, mais elle s’est rétrécie de cinq points de base si on fait abstraction de l’incidence du rajustement relatif aux frais liés au remboursement anticipé des prêts hypothécaires. Comme prévu, les marges des services bancaires aux particuliers et aux entreprises se sont rétrécies. Au Canada, on peut s’attendre à une réduction de la marge nette d’intérêts de ces services dans un avenir prévisible, en raison du bas niveau des taux d’intérêt et du contexte concurrentiel. La marge nette d’intérêts du groupe Services d’investissement s’est rétrécie, en raison de la baisse des recouvrements de prêts auparavant classés comme douteux et de l’augmentation des frais d’intérêts découlant du dénouement de contrats de couverture liés à la vente de certains titres de placements.
Par rapport au quatrième trimestre, les frais ont augmenté de 16 millions de dollars, ou de 1 %. L’affaiblissement du dollar américain a entraîné une diminution des frais de 16 millions de dollars. L’augmentation des frais est attribuable à la hausse des coûts de la rémunération liée au rendement.
Le solde brut des prêts douteux s’établit à 1 786 millions de dollars, soit une baisse de 496 millions comparativement à l’an dernier et de 132 millions par rapport au quatrième trimestre. Quant aux nouveaux prêts douteux, ils totalisent 242 millions de dollars pour le trimestre, soit 65 millions de moins qu’au premier trimestre de l’exercice précédent et 155 millions de moins qu’au quatrième trimestre.
La provision spécifique pour créances irrécouvrables s’établit à 55 millions de dollars, alors qu’elle s’élevait à 150 millions au premier trimestre de 2003 et à 95 millions au quatrième trimestre. Les provisions spécifiques du trimestre ont bénéficié du recouvrement de radiations effectuées au cours de périodes antérieures et de l’annulation de réserves établies pour certains prêts à la suite d’opérations de restructuration et de refinancement. Elles ont également bénéficié de la vente de prêts douteux pour une somme supérieure à leur valeur comptable nette. Nous prévoyons maintenant que les provisions spécifiques pour créances irrécouvrables ne dépasseront pas 300 millions de dollars en 2004, ce qui est inférieur à la cible de 500 millions de dollars ou moins que nous avions établie au début de l’exercice, grâce surtout à l’amélioration du rendement du portefeuille de prêts au premier trimestre et au redressement de la conjoncture économique aux États-Unis. La provision spécifique nette de 55 millions de dollars et la réduction de 40 millions de dollars de la réserve générale ont résulté en une provision nette pour créances irrécouvrables de 15 millions de dollars.
Le rajustement de 19 millions de dollars des passifs d’impôts futurs mentionné précédemment a haussé le taux d’imposition effectif au cours du trimestre, le faisant passer de 31,4 % (sur une base d’imposition comparable : voir la section « Mesures non conformes aux PCGR ») à 33,7 %. Il était de 30,3 % il y a un an et de 31,5 % au quatrième trimestre. Nous continuons à estimer que le taux d’imposition effectif en 2004 sera de 31 % ou 32 % et le considérons comme normal.
Au cours du trimestre, nous avons racheté 150 000 actions ordinaires de la Banque de Montréal en vertu de notre programme de rachat d’actions ordinaires, à un prix moyen de 54,21 $ l’action, ce qui représente une somme totale de 8,1 millions de dollars.
Perspectives inchangées pour les résultats de 2004
Au deuxième semestre de 2003, les résultats de BMO ont été nettement plus élevés qu’au cours de la première moitié de l’année. Le fort taux de croissance de notre RPA pour le premier trimestre de 2004 relativement à notre cible pour l’exercice 2004 s’explique en partie par la tendance qu’ont suivi nos résultats trimestriels en 2003. Nous maintenons nos prévisions quant à l’atteinte de nos cibles pour l’exercice 2004. Nous pensons maintenant que la croissance économique du Canada sera un peu plus lente que ce que nous avions estimé à la fin de 2003 et que la croissance des États-unis sera plus rapide que ce que nous avions d’abord prévu. Après une croissance estimée de 1,6 % au cours de l’année civile 2003, le PIB réel du Canada devrait augmenter de 2,8 % en 2004, alors que nous avions prévu une croissance de 3,1 % à la fin de l’année. À l’opposé, le PIB réel des États-Unis, après une croissance estimée de 3,1 % en 2003, devrait croître de 4,6 % en 2004, alors que notre estimation précédente était de 4,4 %. La croissance de l’économie canadienne a été ralentie par la hausse considérable de la valeur du dollar canadien, bien que les taux d’intérêt peu élevés aient en partie compensé ce facteur en soutenant la demande intérieure. Aux États-unis, par contre, les politiques monétaires et fiscales très expansionnistes et la faiblesse du dollar américain continuent de stimuler l’économie du pays. Les taux d’intérêt peu élevés et l’état de la concurrence incitent à penser que la marge nette d’intérêts va se rétrécir dans le marché canadien des services bancaires de détail. Cependant, au Canada comme aux États-Unis, le faible coût du crédit continue à stimuler fortement la croissance des prêts hypothécaires à l’habitation et des prêts à la consommation, pendant que le redressement des marchés boursiers continue à favoriser les services d’investissement et de gestion de patrimoine.
Responsabilité de la direction à l’égard de l’information financière
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d’administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l’égard de l’information financière contenue dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d’autres documents d’information continue, le 23 janvier 2004, BMO a déposé, comme l’année précédente, des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l’exige la loi Sarbanes Oxley des États-Unis, l’exactitude de l’information financière contenue dans nos documents d’information continue (formule 40-F) ainsi que l’efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour produire cette information. Le chef de la direction et le chef des finances de BMO, de leur propre initiative, certifient à la SEC l’exactitude de l’information financière contenue dans les communiqués sur les résultats trimestriels de BMO, y compris les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints.
Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent communiqué, y compris les états financiers consolidés non vérifiés ci-joints et le Conseil d’administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication. On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d’activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section « Analyse par la direction des résultats d’exploitation et de la situation financière » du Rapport annuel 2003 de BMO, accessible sur notre site Web à l’adresse www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y obtenir des renseignements financiers trimestriels.
Documents déposés auprès des organismes de réglementation
Nos documents d’information continue, y compris notre Analyse de la direction et nos États financiers vérifiés, notre Notice annuelle et notre Avis de convocation à l’assemblée annuelle des actionnaires et circulaire de sollicitation de procurations, sont accessibles sur notre site Web, sur le site des autorités canadiennes en valeurs mobilières, www.sedar.com, et dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à l’adresse www.sec.gov.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
Les faits saillants financiers |
|
Analyse des résultats financiers |
|
Les états financiers non vérifiés |
|
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PRÉVISIONNELLES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prospectives, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prospectives peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l'exercice 2004 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prospectives comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prospectives se révèlent inexactes. La Banque de Montréal conseille aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prospectives peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d'intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et de communication et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. La Banque tient à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom.
RENSEIGNEMENTS À L’INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS
Documents destinés aux investisseurs
Les investisseurs, les médias et les autres parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.
Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 24 février 2004 à 14 h 30 (HNE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au (416) 695-9753 (région de Toronto) ou au 1 888 789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L’enregistrement de la conférence sera accessible jusqu’au mardi 9 mars 2004, au (416) 695-5292 (région de Toronto) ou au 1 888 742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d’accès : 3481).
Lacyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au mardi 25 mai 2004.
Relations avec les médias
Ronald Monet, Montréal, ronald.monet@bmo.com, (514) 877-1101
Ralph Marranca, Toronto, ralph.marranca@bmo.com, (416) 867-3996
Ian Blair, Toronto, ian.blair@bmo.com, (416) 867-3996
Relations avec les investisseurs
Susan Payne, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, susan.payne@bmo.com, (416) 867-6656
Lynn Inglis, directrice générale, Relations avec les investisseurs, lynn.inglis@bmo.com, (416) 867-5452
Amanda Mason, directrice principale, Relations avec les investisseurs, amanda.mason@bmo.com, (416) 867-3562
Chef des finances
Karen Maidment, première vice-présidente à la direction et chef des finances, karen.maidment@bmo.com, (416) 867-6776
Secrétariat général
corp.secretary@bmo.com, (416) 867-6785