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Communiqués de presse

BMO Groupe financier annonce une augmentation de 46 % de son revenu net  

Communiqué intégral sur les résultats trimestriels, y compris la vue d'ensemble des résultats, le tableau des faits saillants, l'analyse des résultats et les états financiers non vérifiés, en format PDF

Version à imprimer - Vue d'ensemble des résultats seulement

VUE D'ENSEMBLE DES RÉSULTATS DU TROISIÈME TRIMESTRE DE 2003
L'amélioration de la productivité, les excellents résultats de tous les groupes d'exploitation et la diminution des provisions pour créances irrécouvrables favorisent la croissance du revenu net
Principaux points de comparaison avec les résultats de l'an dernier1 :
  • Augmentation de 46 % du revenu net, qui passe de 346 millions de dollars à 504 millions de dollars.
  • Résultat par action3 de 0,95 $, en hausse de 46 %, et résultat par action avant amortissement2 de 0,99 $, en hausse de 41 %.
  • Rendement de l'avoir des actionnaires de 18,0 %, en hausse de 5,1 points de pourcentage, et rendement de l'avoir des actionnaires avant amortissement2 de 18,8 %, en hausse de 5,0 points de pourcentage.
  • Croissance des revenus de 9,0 % et stabilité des frais.
  • Diminution de la provision pour créances irrécouvrables, qui passe de 160 à 90 millions de dollars.
  • Amélioration du ratio de productivité, qui s'établit à 63,7 % après avoir été de 69,4 % un an plus tôt et de 67,2 % au deuxième trimestre.
  • Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 8,72 % à 9,21 %.
Autres points saillants :
  • BMO est en bonne voie de surpasser tous ses objectifs d'exploitation pour l'exercice. La croissance prévue du résultat par action pour l'exercice s'établit maintenant entre 15 % et 20 %, et celle du rendement de l'avoir des actionnaires, entre 15 % et 16 %, alors que nos objectifs étaient respectivement de 10 % à 15 % et de 14 % à 15 %.
  • La provision pour créances irrécouvrables prévue pour l'exercice, qui avait déjà été réduite à un maximum de 600 millions de dollars, est ramenée à un maximum de 500 millions de dollars.
  • La hausse de 0,18 $, ou de 23 %, du résultat par action comparativement au deuxième trimestre, a été favorisée par l'augmentation des gains sur titres de placement (0,07 $), la diminution de la provision pour créances irrécouvrables (0,04 $), l'efficacité des mesures de limitation des coûts et la progression du revenu autre que d'intérêts lié au volume des transactions dans les secteurs de la gestion de patrimoine et des services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada.

1. Au troisième trimestre de 2002, des coûts de 23 millions de dollars (14 millions après impôts) liés à une acquisition ont été désignés comme éléments exceptionnels, ce qui a augmenté le résultat par action (RPA) de 0,03 $. Nous avons cessé de mettre les résultats excluant les éléments exceptionnels en évidence, comme nous l'expliquons plus loin à la rubrique «Remarque sur l'analyse des résultats et leur comparaison avec les cibles».

2. Les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) sont présentés dans le tableau qui suit et expliqués dans la remarque mentionnée à la note 1 ci-dessus. Le rajustement qui remplace le revenu selon les PCGR par le revenu sur une base d'imposition comparable (bic) est expliqué dans la section «Revenus» de l'analyse de la direction.

3. Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action (RPA) dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.

Sommaire des resultats

Montréal, le 26 août 2003  –  BMO Groupe financier annonce que pour le troisième trimestre, terminé le 31 juillet 2003, son revenu net a progressé de 46 % par rapport à l'an dernier. Le revenu net a atteint 504 millions de dollars et le résultat par action (RPA), 0,95 $ pour le trimestre, alors qu'ils étaient respectivement de 346 millions de dollars et de 0,65 $ au troisième trimestre de l'exercice précédent. Le revenu net avant amortissement s'élève à 523 millions de dollars et le RPA avant amortissement, à 0,99 $. Le revenu net avant amortissement tient compte de la réintégration de l'amortissement des actifs incorporels après impôts.

«Les excellents résultats du troisième trimestre de BMO confirment la progression de son revenu net constatée au cours des trimestres précédents. Nous sommes maintenant très bien placés pour dépasser nos cibles relatives aux résultats financiers pour l'exercice, a déclaré Tony Comper, président du conseil et chef de la direction de BMO Groupe financier. Je suis très heureux que dans un contexte de très vive concurrence, tous nos groupes d'exploitation aient augmenté leur revenu net par rapport à l'an dernier et que le rendement de notre portefeuille de prêts continue de s'améliorer.»

M. Comper a indiqué que l'amélioration du ratio de productivité constituait la principale priorité de BMO. Il a ajouté : «Grâce à l'augmentation de nos revenus et à l'efficacité des efforts de nos employés pour limiter nos coûts, nous nous trouvons en excellente position pour atteindre notre objectif qui consiste à réduire le ratio de productivité avant amortissement de chacun de nos groupes d'exploitation de 150 à 200 points de base pour l'exercice.»

Au troisième trimestre de 2003, le revenu net a progressé de 158 millions de dollars comparativement au troisième trimestre de l'an dernier. Chacun des groupes d'exploitation a contribué fortement à cette progression. Le groupe Particuliers et entreprises continue d'accroître le revenu net de ses activités au Canada, qui ont bénéficié de la croissance soutenue du volume de l'ensemble des produits. Le groupe Gestion privée a amélioré considérablement ses résultats par rapport à l'an dernier, en augmentant ses revenus et en diminuant ses frais. C'est cependant le groupe Services d'investissement qui a le plus contribué à la croissance du revenu net, grâce à l'amélioration du rendement de ses titres de placement. BMO a inscrit des gains nets de 12 millions de dollars (8 millions après impôts) sur ses titres de placement au troisième trimestre, après avoir subi des pertes nettes de 116 millions de dollars (72 millions après impôts) un an plus tôt. Dans tous les groupes d'exploitation, les efforts de gestion des coûts ont été couronnés de succès, ce qui a contribué à l'amélioration des résultats.

Par rapport au deuxième trimestre de 2003, le revenu net a progressé de 95 millions de dollars, ou de 23 %, grâce à l'augmentation des revenus et à la diminution de la provision pour créances irrécouvrables. Les frais n'ont pratiquement pas changé, malgré trois jours de plus dans le trimestre. Le revenu net du groupe Particuliers et entreprises a progressé grâce à l'augmentation des volumes dans l'ensemble des secteurs, tandis que celui du groupe Gestion privée progressait grâce à l'augmentation des droits de courtage favorisée par le redressement modéré des marchés boursiers. Le revenu net des Services d'investissement a aussi progressé, grâce à l'amélioration des résultats des titres de placement. Quant à celui des Services d'entreprise, il a profité de la diminution des provisions pour créances irrécouvrables et des frais.

Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le revenu net s'élève à 1 312 millions de dollars, soit une augmentation de 293 millions de dollars, ou de 29 %, comparativement à la période correspondante en 2002. Cette augmentation s'explique en grande partie par l'amélioration du portefeuille de prêts, la provision pour créances irrécouvrables ayant été réduite de 300 millions de dollars, et par l'amélioration des résultats de tous les groupes d'exploitation. Les pertes sur titres de placement ont diminué de 107 millions de dollars par rapport à l'an dernier.

Les revenus se chiffrent à 2 334 millions de dollars pour le troisième trimestre de 2003, soit une augmentation de 191 millions de dollars, ou de 9 %, comparativement aux revenus de l'an dernier, qui avaient été marqués par les pertes sur titres de placement du groupe Services d'investissement. La croissance du volume d'affaires des services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada et celle des revenus des services de gestion de patrimoine liés aux marchés financiers ont également contribué à la progression des revenus. Cette progression a toutefois été atténuée par l'incidence de l'affaiblissement du billet vert sur nos revenus en dollars américains.

La marge nette d'intérêts s'établit à 1,84 %, soit une baisse de 11 points de base par rapport à l'an dernier et de 12 points de base par rapport au deuxième trimestre. C'est le groupe Services d'investissement qui a le plus contribué à cette baisse, les actifs à faible marge liés aux marchés financiers ayant augmenté pendant que le volume des prêts aux grandes entreprises, dont la marge est plus large, diminuait en raison de la faiblesse du marché du crédit. La marge nette d'intérêts du groupe Particuliers et entreprises est demeurée stable par rapport à l'an dernier, mais elle s'est rétrécie comparativement au deuxième trimestre. Ce recul est attribuable à la baisse des taux d'intérêt et à la concurrence sur le marché du crédit au Canada.

Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 1 485 millions de dollars, soit une baisse de 3 millions comparativement à l'an dernier. Le contrôle efficace des coûts et l'affaiblissement du dollar américain ont favorisé cette baisse. Ces facteurs ont toutefois été partiellement neutralisés par la hausse des coûts sur le marché canadien des services aux particuliers et aux entreprises, hausse due à l'augmentation de la rémunération liée au rendement, à des initiatives stratégiques et à l'augmentation des coûts des avantages sociaux accordés au personnel, ainsi que par l'augmentation des coûts liés au rendement dans le secteur de la gestion de patrimoine.

Le ratio des frais aux revenus s'établit à 63,7 % pour le troisième trimestre, soit une amélioration par rapport au taux de 69,4 % atteint il y a un an et par rapport au ratio de 67,2 % inscrit au deuxième trimestre.

Le solde brut des prêts douteux a diminué de 269 millions de dollars par rapport au deuxième trimestre. Quant aux nouveaux prêts douteux, ils totalisent 249 millions de dollars, soit une diminution de 101 millions de dollars comparativement au deuxième trimestre.

La provision pour créances irrécouvrables se chiffre à 90 millions de dollars, alors qu'elle atteignait 160 millions il y a un an. Pour les neuf premiers mois de l'exercice, elle s'établit à 360 millions de dollars, alors qu'elle s'élevait à 660 millions pour la période comparable de l'exercice précédent. La direction estime actuellement que la provision ne dépassera pas 500 millions de dollars pour 2003. La cible que nous avions fixée après le quatrième trimestre de 2002 était un maximum de 820 millions de dollars et celle que nous avions établie après le deuxième trimestre de 2003 était de 600 millions. Ces réductions s'expliquent par des pertes sur prêts moins élevées cette année.

L'équivalent en dollars canadiens des revenus, des frais et de la provision pour créances irrécouvrables de BMO libellés en dollars américains inclus dans les résultats de ce trimestre a subi le contrecoup de l'affaiblissement de la monnaie américaine. Le taux de change moyen entre les dollars canadien et américain s'établit à 1,37 pour le troisième trimestre, alors qu'il était de 1,54 au trimestre correspondant l'an dernier et de 1,46 au deuxième trimestre de 2003. Par rapport au troisième trimestre de l'an dernier, l'évolution du taux de change entre les dollars canadien et américain a réduit les revenus de 82 millions de dollars, les frais, de 53 millions et la provision pour créances irrécouvrables, de 9 millions. Par rapport au deuxième trimestre, la baisse du taux de change a réduit les revenus de 43 millions de dollars, les frais, de 28 millions et la provision pour créances irrécouvrables, de 4 millions. Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le taux de change moyen entre les dollars canadien et américain s'établit à 1,46, alors qu'il était de 1,57 pour la période comparable de l'exercice précédent. Depuis le début de l'exercice, cette baisse a entraîné des diminutions de 153 millions de dollars au chapitre des revenus, de 103 millions au chapitre des frais et de 18 millions pour ce qui est de la provision pour créances irrécouvrables. L'incidence des fluctuations du taux de change est expliquée plus en détail dans les sections «Revenu net» et «Impôts sur le revenu» de l'analyse de la direction.

Cibles pour l'exercice 2003,

Perspectives quant au revenu net de 2003
La direction prévoit dépasser ses cibles pour l'exercice 2003. Nous nous attendons maintenant à une croissance du RPA de 15 % à 20 % et à une croissance du RAA de 15 % à 16 %. Nous prévoyons que la forte croissance du groupe Particuliers et entreprises se poursuivra et que les résultats des groupes Gestion privée et Services d'investissement se maintiendront à leurs niveaux actuels. La diminution des provisions pour créances irrécouvrables, l'augmentation des revenus et l'efficacité des mesures de contrôle des coûts ont compensé le fait que l'activité économique a été moins grande que prévu, la faiblesse persistante dans certains de nos secteurs d'activité et l'incidence de l'affaiblissement du dollar américain sur l'équivalent en dollars canadiens du revenu net provenant de nos activités aux États-Unis. Elles semblent également, si on se fonde sur les résultats obtenus à ce jour, nous placer en position de dépasser nos cibles pour l'exercice.

Après une croissance de 3,3 % en 2002, le PIB réel du Canada devrait augmenter de 2,1 % en 2003. Nous avions prévu une croissance de 3,8 % à la fin de l'an dernier et de 2,9 % à la fin du deuxième trimestre. Le taux de croissance inférieur aux prévisions est attribuable à la baisse des exportations, dans un contexte marqué par la diminution de la demande aux États-Unis et par l'affaiblissement du dollar américain, et à la flambée, plus tôt cette année, de cas de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). La faiblesse des exportations a nui aux investissements des entreprises, ce qui a ralenti la croissance des prêts aux entreprises. À l'opposé, la demande des consommateurs, particulièrement pour des produits sensibles aux fluctuations des taux d'intérêt, comme les maisons et les automobiles, continue de croître à un rythme respectable, stimulant fortement la croissance des prêts à la consommation et des prêts hypothécaires. L'économie canadienne devrait prendre de la vigueur au cours de la deuxième moitié de l'année, à mesure que la demande augmentera aux États-Unis. Comme les taux d'intérêt à court terme demeureront sans doute bas jusqu'à la fin de l'année, la plus grande vigueur de l'économie devrait favoriser le redressement du secteur des prêts aux entreprises et soutenir la croissance des prêts à la consommation et des prêts hypothécaires.

L'expansion de l'économie américaine, même si elle est inégale, montre certains signes d'amélioration. On s'attend maintenant à ce que la croissance du PIB réel des États-Unis égale le taux modéré inscrit en 2002, soit 2,4 %. Nous avions prévu une croissance de 3,2 % à la fin de l'an dernier et de 2,3 % à la fin du deuxième trimestre. Les dépenses et les emprunts des particuliers poursuivent leur croissance à un rythme modéré, croissance favorisée par les taux d'intérêt peu élevés mais ralentie par la stagnation de l'emploi. Cependant, le niveau record des ventes de maisons neuves et la vigueur du marché de la revente ont favorisé la forte croissance du secteur des prêts hypothécaires à l'habitation. Bien que les investissements des entreprises aient augmenté récemment, le niveau des prêts aux entreprises demeure peu élevé. L'état de l'économie américaine devrait s'améliorer au deuxième semestre grâce à la diminution des impôts, à la faiblesse du dollar américain et à la baisse des taux d'intérêt. Ces facteurs devraient stimuler le crédit aux particuliers et entraîner la croissance des prêts aux entreprises. L'amélioration du climat économique, combinée au redressement des prix des actions au deuxième trimestre, devrait entraîner une reprise de l'activité des marchés financiers.

Remarque sur l'analyse des résultats et leur comparaison avec les cibles
La direction de BMO et certains observateurs considèrent que l'analyse des résultats financiers peut être meilleure lorsqu'elle se concentre sur les résultats excluant les éléments exceptionnels. Cependant, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a établi depuis un an des règles visant à limiter strictement la désignation d'éléments comme exceptionnels. Comme ces règles rendent ces mesures moins utiles, nous avons décidé de ne plus accorder aux résultats excluant les éléments exceptionnels la même importance qu'aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus. Jusqu'à présent, il n'y a eu aucun élément exceptionnel au cours de l'exercice 2003. Au troisième trimestre de 2002, des coûts de 23 millions de dollars (14 millions après impôts) liés à une acquisition ont été imputés à notre groupe Gestion privée et ont été désignés comme élément exceptionnel, ce qui a augmenté le RPA des neuf premiers mois de 2002 de 0,03 $, selon les résultats excluant les éléments exceptionnels. Notre résultat en matière de croissance du RPA a été mesuré par rapport au RPA le plus élevé.

Les mesures des résultats avant amortissement peuvent faciliter la comparaison de deux périodes où il s'est produit une acquisition, surtout parce que l'amortissement hors caisse des actifs incorporels peut ne pas avoir été considéré comme charge pertinente au moment de la décision d'achat. Les mesures du résultat par action avant amortissement sont aussi fournies parce que les analystes s'y intéressent souvent et que le résultat par action avant amortissement est utilisé par Thomson First Call, qui surveille les prévisions de résultats faites par des tiers et dont les médias font souvent état. Les organismes de réglementation du commerce des valeurs mobilières exigent que les entreprises préviennent les lecteurs de ces analyses que les résultats ainsi rajustés n'ont pas une signification standard selon les PCGR et sont difficilement comparables avec des mesures similaires utilisées par d'autres entreprises.


La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l'organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l'appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.


Responsabilité de la direction à l'égard des renseignements financiers
Un cadre de gouvernance financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard des renseignements financiers contenus dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information continue, le 24 janvier 2003, BMO a également déposé des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la SEC des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exige la loi américaine, l'exactitude des renseignements financiers contenus dans le rapport annuel ainsi que l'efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour les produire. Le chef de la direction et le chef des finances de BMO, de leur propre initiative, certifieront à la SEC l'exactitude des renseignements financiers contenus dans le présent communiqué sur les résultats trimestriels de BMO, y compris les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints. Les certifications des renseignements financiers contenus dans le communiqué du deuxième trimestre ont été déposées le 11 juin 2003.

Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné le présent communiqué, y compris les états financiers consolidés non vérifiés ci-joints et l'Analyse par la direction des résultats d’exploitation et de la situation financière, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.

L'analyse par la direction des résultats d’exploitation et de la situation financière (analyse de la direction) pour le trimestre est jointe au présent document. On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d'activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section «Analyse par la direction des résultats d'exploitation et de la situation financière» du Rapport annuel 2002 de BMO, accessible sur le site Web de BMO dont l'adresse est indiquée plus loin, dans la section «Renseignements à l'intention des investisseurs et des médias». Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y obtenir d'autres renseignements financiers trimestriels.


Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
les faits saillants financiers
l’analyse des résultats du 3e trimestre de 2003
les états financiers non vérifiés

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PRÉVISIONNELLES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prévisionnelles, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d'autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prévisionnelles peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l'exercice 2003 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prévisionnelles comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prévisionnelles se révèlent inexactes. La Banque de Montréal conseille aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prévisionnelles, en raison d'un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prévisionnelles peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d'intérêt et de change, les répercussions de guerres ou d'activités terroristes, les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou mondiale, les répercussions de perturbations des infrastructures publiques telles que les perturbations des services de transport et des systèmes d'alimentation en énergie ou en eau, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d'activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. La Banque tient à souligner que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prévisionnelles pour prendre des décisions à l'égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d'autres incertitudes et événements potentiels, et de l'incertitude inhérente aux déclarations prévisionnelles. La Banque de Montréal ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations prévisionnelles, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l'occasion, par elle-même ou en son nom.


RENSEIGNEMENTS À L’INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les investisseurs, les médias et les autres parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l'accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 26 août 2003 à 14 h (HAE). À cette occasion, les hauts dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au (416) 695-9753 (région de Toronto) ou au 1 888 789-0089 (extérieur de Toronto, sans frais). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au vendredi 5 septembre 2003, au (416) 695-5278 (région de Toronto) ou au 1 888 742-2491 (extérieur de Toronto, sans frais) (code d'accès : 5965).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu'au 24 novembre 2003.

Relations avec les médias
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Ralph Marranca, Toronto,
ralph.marranca@bmo.com, (416) 867-3996
Ian Blair, Toronto, ian.blair@bmo.com, (416) 867-3996

Relations avec les investisseurs
Susan Payne, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, susan.payne@bmo.com, (416) 867-6656
Lynn Inglis, directrice générale, Relations avec les investisseurs,
lynn.inglis@bmo.com, (416) 867-5452
Amanda Mason, directrice principale, Relations avec les investisseurs, amanda.mason@bmo.com, (416) 867-3562

Chef des finances
Karen Maidment, vice-présidente à la direction et chef des finances, karen.maidment@bmo.com, (416) 867-6776

Secrétariat général
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