BMO Groupe financier annonce une augmentation de 36 % de son revenu net au deuxième trimestre
Communiqué intégral sur les résultats trimestriels, y compris la vue d’ensemble des résultats, le tableau des faits saillants, l’analyse des résultats et les états financiers non vérifiés, en format PDF
Version à imprimer – Vue d’ensemble des résultats seulement
VUE D'ENSEMBLE DES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2003
La forte croissance des services aux particuliers et aux entreprises et l'amélioration du rendement du portefeuille de prêts favorisent l'augmentation du revenu net
Principaux points de comparaison avec les résultats de l'an dernier :
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Augmentation de 36 % du revenu net, qui passe de 301 millions de dollars à 409 millions de dollars.
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Augmentation de 12 % du revenu net du groupe Particuliers et entreprises, qui s'élève à 219 millions de dollars.
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Résultat par action de 0,77 $, en hausse de 35 %, et résultat par action avant amortissement1 de 0,81 $.
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Rendement de l'avoir des actionnaires de 15,2 %, en hausse de 3,6 points de pourcentage, et rendement de l'avoir des actionnaires avant amortissement1 de 15,9 %.
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Diminution considérable de la provision pour créances irrécouvrables, qui passe de 320 à 120 millions de dollars.
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Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 8,61 % à 9,10 %.
Autres points saillants :
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BMO demeure en très bonne voie d'atteindre tous ses objectifs d'exploitation pour l'exercice.
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La provision pour créances irrécouvrables prévue pour l'exercice, qui était estimée à 700 millions de dollars au premier trimestre, est ramenée à un maximum de 600 millions.
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Les revenus du groupe Particuliers et entreprises progressent de 6 %, tandis que les revenus globaux de BMO diminuent très légèrement en raison d'une conjoncture difficile.
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Légère augmentation des frais. Le ratio des frais aux revenus, qui était de 66,4 % il y a un an, atteint 67,2 %, ce qui représente tout de même une amélioration par rapport au ratio de 67,9 % inscrit au premier trimestre.
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Les frais ont diminué par rapport au premier trimestre et le ratio des frais aux revenus est le meilleur ratio inscrit en quatre trimestres.
1. La section «Mesures conformes et non conformes aux PCGR», qui précède l'analyse des résultats des groupes d'exploitation dans le présent communiqué, contient des explications sur les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR) et sur les éléments exceptionnels, ainsi que des commentaires sur l'utilisation de ces mesures. Le rajustement qui remplace le revenu selon les PCGR par le revenu sur une base d'imposition comparable est expliqué dans la section «Revenus» de l'analyse des résultats et de la situation financière.
Sauf indication contraire, lorsqu'il est question de résultat par action dans le présent communiqué, il s'agit toujours du résultat dilué par action.
Montréal, le 27 mai 2003 – BMO Groupe financier annonce une augmentation de 36 % de son revenu net par rapport à l'an dernier. Pour le deuxième trimestre, qui s'est terminé le 30 avril 2003, le revenu net a atteint 409 millions de dollars et le résultat par action, 0,77 $, alors qu'ils étaient respectivement de 301 millions de dollars et de 0,57 $ au deuxième trimestre de l'exercice précédent. Le revenu net avant amortissement, qui tient compte de la réintégration de l'amortissement des actifs incorporels après impôts, s'élève à 429 millions de dollars et le résultat par action avant amortissement, à 0,81 $. Aucun élément exceptionnel n'a été inscrit aux états financiers du trimestre et des six premiers mois de l'exercice, ni à ceux des périodes correspondantes de l'exercice précédent.
«BMO demeure dans la bonne voie pour atteindre ses cibles financières de l'exercice 2003, a déclaré Tony Comper, président du conseil et chef de la direction de BMO Groupe financier. La progression continue du volume d'affaires des services aux particuliers et aux entreprises et l'amélioration du rendement de notre portefeuille de prêts favorisent l’accroissement de notre rentabilité.»
Au deuxième trimestre de 2003, le revenu net a progressé de 108 millions de dollars comparativement au deuxième trimestre de l'an dernier. La hausse est principalement attribuable à une amélioration sensible des résultats des Services d'entreprise, la forte croissance du volume d'affaires des services bancaires aux particuliers et aux entreprises et l'élargissement de la marge nette d'intérêts au Canada ayant également contribué à l'amélioration de nos résultats par rapport à l'an dernier. Les Services d'entreprise ont tiré profit de l'abaissement marqué de la provision pour créances irrécouvrables bien que celui-ci ait été en partie neutralisé par la diminution des revenus de titrisation. Au deuxième trimestre de 2003, la provision pour créances irrécouvrables a diminué de 200 millions de dollars par rapport à l'année précédente, ce qui a constitué le principal facteur d'amélioration de notre rendement. Les résultats du deuxième trimestre de 2002 comprenaient une provision pour créances irrécouvrables de 140 millions de dollars liée aux crédits accordés par BMO à Téléglobe Inc.
Pour les six premiers mois du présent exercice, le revenu net s'élève à 808 millions de dollars, soit une progression de 135 millions de dollars, ou de 20 %, comparativement à la même période de 2002. Cette augmentation s'explique également par l'amélioration du rendement de notre portefeuille de prêts, la provision pour créances irrécouvrables ayant été réduite de 230 millions de dollars, et par la croissance continue des services bancaires aux particuliers et aux entreprises. Les services bancaires aux particuliers et aux entreprises ont bénéficié de l’accroissement de leur volume d'affaires, qui s’est traduit par une augmentation de 15 % de leur revenu net.
Les revenus se chiffrent à 2 208 millions de dollars pour le deuxième trimestre, soit une baisse de 14 millions comparativement à l'an dernier. La croissance du volume d'affaires et l'élargissement de la marge nette d'intérêts des services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada n'ont pas suffi à compenser les effets de la baisse du nombre des transactions effectuées par les clients dans les autres groupes d'exploitation et de l'affaiblissement du dollar américain. L'an dernier, des revenus de titrisation de 57 millions de dollars avaient été comptabilisés.
Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 1 484 millions de dollars, soit seulement 8 millions de plus que l'an dernier. Les effets de l'affaiblissement du dollar américain et des mesures de réduction des coûts ont été quelque peu neutralisés par l'acquisition d'entreprises et la hausse des coûts sur le marché canadien des services aux particuliers et aux entreprises, hausse due à l'augmentation de la rémunération liée au rendement, à des initiatives stratégiques et à l'augmentation des coûts des avantages sociaux accordés au personnel.
Le ratio des frais aux revenus atteint 67,2 %, soit une hausse par rapport au taux de 66,4 % inscrit il y a un an, mais une amélioration par rapport au ratio de 67,9 % du premier trimestre. Par rapport au deuxième trimestre de l'an dernier, les entreprises acquises ont fait croître les revenus de 25 millions de dollars et les frais, de 36 millions. Abstraction faite de l'effet additif de ces acquisitions, le ratio des frais aux revenus s'établit à 65,2 %, ce qui est un peu mieux que le ratio d'il y a un an.
«Nous sommes toujours déterminés à améliorer notre ratio des frais aux revenus, a ajouté M. Comper. Tout en continuant à investir dans les secteurs d'activité et les initiatives qui nous permettront d'améliorer nos résultats futurs, nous avons obtenu le meilleur ratio des frais aux revenus de nos quatre derniers trimestres. Chacun de nos groupes d'exploitation vise une amélioration de son ratio de productivité de 150 à 200 points de base pour l'exercice.»
La provision pour créances irrécouvrables se chiffre à 120 millions de dollars, alors qu'elle atteignait 320 millions il y a un an. La provision de ce trimestre a bénéficié de la restructuration de prêts, les actifs obtenus ayant été évalués puis vendus à un prix supérieur de 21 millions de dollars à la valeur comptable nette de ces prêts. De plus, les recouvrements relatifs à des prêts qui avaient été radiés au cours de périodes précédentes s'élèvent à 28 millions de dollars pour le trimestre, alors qu'ils étaient de 17 millions au deuxième trimestre de 2002 et au premier trimestre de 2003.
Le solde brut des prêts douteux s'est accru de 30 millions de dollars par rapport au premier trimestre. Les nouveaux prêts douteux totalisent 350 millions de dollars, soit une augmentation de 43 millions de dollars comparativement au premier trimestre, mais leur solde demeure généralement conforme aux attentes à ce stade-ci du cycle du crédit. Les prêts aux secteurs d’activité qui sont actuellement les plus sensibles, notamment les communications et la production d'énergie électrique, ne représentent toujours qu'une petite partie du portefeuille de prêts de BMO. La réserve pour créances irrécouvrables affectée à ces secteurs est considérée comme suffisante, comme c'est le cas des réserves affectées aux autres secteurs.
La direction considère maintenant que la provision pour créances irrécouvrables ne dépassera pas 600 millions de dollars pour 2003, ce qui constitue une amélioration par rapport à l'estimation de 700 millions faite au trimestre précédent et par rapport au maximum de 820 millions que la direction s'était fixé comme objectif après le quatrième trimestre. La cible a pu être abaissée grâce à la diminution des pertes sur prêts au cours de la première moitié de l'exercice.
BMO a comme pratique de maintenir à un faible niveau le risque de conversion des éléments du bilan en dollars américains en finançant les investissements en dollars américains à même les emprunts dans la même devise. Les fluctuations des taux de change peuvent se répercuter sur le revenu net. L'équivalent en dollars canadiens des revenus et des frais de BMO libellés en dollars américains inclus dans les résultats de ce trimestre a subi le contrecoup de l'affaiblissement de la monnaie américaine. Par rapport au deuxième trimestre de l'an dernier, l'évolution du taux de change entre les dollars canadien et américain a réduit les revenus de 57 millions de dollars et les frais, de 36 millions. Par rapport au premier trimestre, les fluctuations du taux de change n'ont pas eu d'effet sur le revenu net de BMO au deuxième trimestre, compte tenu des recouvrements liés aux opérations de couverture. Par contre, elles ont entraîné une baisse de 42 millions de dollars au chapitre des revenus, de 31 millions de dollars au chapitre des frais et une réduction de 4 millions de dollars de la provision pour créances irrécouvrables. Au début de chaque trimestre, BMO prend part à des transactions destinées à compenser partiellement l'incidence avant impôts des fluctuations du taux de change au cours du trimestre. Les revenus du deuxième trimestre comprennent une somme de 7 millions de dollars provenant de ces opérations de couverture. Les fluctuations monétaires influeront sur les revenus et les frais futurs, tandis que les gains ou les pertes résultant des opérations de couverture connexes dans les périodes futures seront déterminés à la fois par les fluctuations monétaires et par la valeur des transactions sous-jacentes futures, car les transactions sont conclues chaque trimestre en rapport avec le revenu net des trois prochains mois. En l'absence d'opérations de couverture, chaque fluctuation d'un cent dans le taux de change se traduit par une variation d'environ 1 million de dollars, avant impôts sur le revenu, dans le revenu net trimestriel de BMO.
Les ratios des revenus et du revenu net tirés des activités de BMO aux États-Unis au total des revenus et au total du revenu net de BMO étaient exceptionnellement élevés au deuxième trimestre de 2002, en partie en raison de la constatation, au cours de cette période, de revenus de titrisation de 57 millions de dollars liés à des prêts à de grandes entreprises américaines et d'une dévaluation de 47 millions de dollars de placements de BMO dans ses propres titres canadiens à haut rendement adossés à des obligations.
Les revenus provenant d'activités aux États-Unis s'élèvent à 710 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2003, soit 32 % du total des revenus, contre 36 % un an plus tôt. Depuis le début de l'exercice, les revenus provenant d'activités aux États-Unis se chiffrent à 1 416 millions de dollars, soit 31 % du total des revenus de BMO, comparativement à 1 484 millions de dollars, ou 34 %, en 2002. Le ratio de cette année a bénéficié de l'acquisition de sociétés de gestion de patrimoine l'an dernier.
Le revenu net provenant d'activités aux États-Unis représente 25 % du revenu net du trimestre, alors qu'il en représentait 49 % un an plus tôt. L'amélioration de nos résultats au Canada, en termes absolus et par rapport aux résultats obtenus aux États-Unis, et l'affaiblissement du dollar américain ont contribué à ce revirement. Le ralentissement des activités dans le secteur des services d'investissement et de gestion de patrimoine aux États-Unis, où les inquiétudes liées à la situation politique internationale ont influé sur le nombre de transactions effectuées par les clients, et les charges d'amortissement hors caisse liées aux acquisitions effectuées aux États-Unis dans le domaine de la gestion de patrimoine ont aussi influé sur les ratios comparatifs.
Le revenu net de BMO pour le deuxième trimestre a progressé de 3 % par rapport au trimestre précédent, une progression due en grande partie à la diminution de la provision pour créances irrécouvrables. Le deuxième trimestre compte trois jours de moins que le premier et le dollar américain a perdu passablement de valeur par rapport à la monnaie canadienne au deuxième trimestre. Ces facteurs ont contribué à la légère diminution des revenus et des frais comparativement au premier trimestre.
Au Canada, le groupe Particuliers et entreprises a augmenté ses revenus de 9 % et son revenu net de 15 % par rapport au deuxième trimestre de 2002. Aux États-Unis, le volume des prêts, mesuré en dollars américains, s'est accru de 25 %, mais les revenus et les frais ont reculé de 6 % en raison du rétrécissement de la marge nette d'intérêts et de l'affaiblissement du dollar américain.
Le revenu net du groupe Services d'investissement a progressé de 7 % comparativement à l'an dernier, en dépit d'une conjoncture difficile. Le 4 avril 2003, le groupe a annoncé qu'il avait conclu une entente pour acquérir Gerard Klauer Mattison, une banque d'affaires qui a son siège social à New York et qui s'adresse à une clientèle de moyennes entreprises, pour une somme d'environ 30 millions de dollars américains. La transaction, qui devrait être conclue avant la fin du mois de juin, procurera à BMO une excellente plate-forme de recherche, de vente et de négociation d'actions aux États-Unis et lui permettra de miser sur ses forces pour mieux servir la clientèle des moyennes entreprises de Harris Nesbitt. Au Canada, elle ouvre en outre au groupe de nouvelles possibilités sur le marché américain du capital-investissement en plus d'élargir ses capacités de recherche.
Le revenu net du groupe Gestion privée, dans un contexte qui demeure difficile, a légèrement diminué au cours du trimestre comparativement à l'an dernier, mais le revenu net avant amortissement et le revenu net excluant les entreprises acquises ont augmenté.
Au premier trimestre de 2003, certaines améliorations ont été apportées au système d'établissement des coûts de cession de fonds. Toutes ces améliorations ont été appliquées rétroactivement au premier trimestre et les résultats sectoriels des périodes antérieures ont été retraités en conséquence. Les modifications apportées aux résultats des périodes antérieures sont expliquées à la note 9 afférente aux états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints.
Perspectives inchangées quant au revenu net de 2003
BMO prévoit toujours d'atteindre ses cibles pour l'exercice 2003. La diminution des provisions pour créances irrécouvrables et les mesures de réduction des coûts devraient compenser le ralentissement économique plus marqué que prévu, la faiblesse persistante de certains de nos secteurs d'activité et l'effet de l'affaiblissement du dollar américain sur le revenu équivalent en dollars canadiens provenant des activités de BMO aux États-Unis au cours de la deuxième moitié de l'exercice.
Après une croissance de 3,4 % en 2002, le PIB réel du Canada devrait augmenter de 2,9 % en 2003, ce qui est inférieur à l'estimation de 3,8 % que nous avions faite à la fin de l'année et à celle de 3,5 % que nous avions faite au premier trimestre. Cette perspective d'une croissance moins forte est en grande partie attribuable à la diminution des exportations aux États-Unis, dont l'économie connaît des difficultés, et à la récente crise liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). La forte demande intérieure, particulièrement dans le marché immobilier, a cependant favorisé la croissance des prêts à la consommation et des prêts hypothécaires. Et même si les dépenses en immobilisations sont peu élevées, les prêts aux entreprises continuent à augmenter.
Pendant que l'économie canadienne continue de croître à un rythme respectable, l'expansion de l'économie américaine demeure inégale. Après une modeste croissance de 2,4 % en 2002, le PIB réel des États-Unis devrait progresser de 2,3 % en 2003, ce qui est inférieur à l'estimation de 3,2 % que nous avions faite à la fin de l'année et à celle de 2,8 % que nous avions faite au premier trimestre. La faiblesse persistante du marché de l'emploi aux États‑Unis a ralenti la consommation ménagère et le crédit aux particuliers. Les entreprises américaines ont peu investi au cours des six premiers mois de l'année, en partie à cause des inquiétudes liées au conflit en Irak, ce qui a réduit le volume du crédit aux entreprises. À l'opposé, la force durable du marché de l'habitation continue à favoriser la croissance du secteur des prêts hypothécaires. L'état de l'économie américaine devrait s'améliorer au deuxième semestre, grâce à l'atténuation des inquiétudes liées à la situation internationale, à de nouveaux stimulants fiscaux, à la baisse des taux d'intérêt et à la faiblesse du dollar américain. Ce qui devrait progressivement améliorer la croissance du crédit et stimuler l'activité sur les marchés financiers d'ici la fin de l'exercice.
Remarque sur l'analyse des résultats
La direction de BMO et certains observateurs considèrent que l'analyse des résultats est meilleure lorsqu'elle se concentre sur les résultats excluant les éléments exceptionnels. Il n'y a eu aucun élément exceptionnel dans les périodes visées par le présent communiqué. De plus, les mesures des résultats avant amortissement peuvent faciliter la comparaison de deux périodes où il s'est produit une acquisition, surtout parce que l'amortissement hors caisse des actifs incorporels peut ne pas avoir été considéré comme charge pertinente au moment de la décision d'achat. Les mesures du résultat par action avant amortissement sont aussi fournies parce que les analystes s'y intéressent souvent et que le résultat par action avant amortissement est utilisé par Thomson First Call, qui surveille les prévisions de résultats faites par des tiers et dont les médias font souvent état. Lorsque nécessaire, ces rajustements et leurs effets sur nos résultats sont exposés dans le tableau intitulé «Mesures conformes et non conformes aux PCGR». Les organismes de réglementation du commerce des valeurs mobilières exigent que les entreprises préviennent les lecteurs de ces analyses que les résultats ainsi rajustés n'ont pas une signification standard selon les PCGR et sont difficilement comparables avec des mesures similaires utilisées par d'autres entreprises.
La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l'organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l'appellation BMO Groupe financier. Ainsi, dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.
Responsabilité de la direction à l'égard des renseignements financiers
Un cadre de régie financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d'administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l'égard des renseignements financiers contenus dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d'autres documents d'information continue, le 24 janvier 2003, BMO a également déposé des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l'exige la loi américaine, l'exactitude des renseignements financiers contenus dans le rapport annuel ainsi que l'efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour les produire. Le chef de la direction et le chef des finances de BMO, de leur propre initiative, certifieront à la SEC l'exactitude des renseignements financiers contenus dans le présent communiqué, y compris les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés ci-joints. Les certifications des renseignements financiers contenus dans le communiqué du premier trimestre ont été déposées le 18 mars 2003.
Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné les états financiers consolidés non vérifiés ci-joints ainsi que le contenu du présent communiqué, y compris l'analyse des résultats du trimestre et de la situation financière, et le Conseil d'administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.
L'analyse des résultats du deuxième trimestre est jointe au présent document. On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d'activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section «Analyse par la direction des résultats d'exploitation et de la situation financière» du Rapport annuel 2002 de BMO, accessible sur le site Web de BMO dont l'adresse est indiquée plus loin, dans la section «Renseignements à l'intention des investisseurs et des médias». Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y obtenir d'autres renseignements financiers trimestriels.
Pour consulter les autres éléments de ce communiqué, notamment :
les faits saillants financiers |
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l’analyse des résultats du 2e trimestre de 2003 |
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les états financiers non vérifiés |
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MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PRÉVISIONNELLES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prévisionnelles, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prévisionnelles peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l’exercice 2003 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.
De par leur nature, les déclarations prévisionnelles comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prévisionnelles se révèlent inexactes. La Banque de Montréal conseille aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prévisionnelles, en raison d’un certain nombre de facteurs.
Les résultats réels ayant trait aux déclarations prévisionnelles peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d’intérêt et de change, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. La Banque tient à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prévisionnelles pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prévisionnelles. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prévisionnelles, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.
RENSEIGNEMENTS À L’INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS
Documents destinés aux investisseurs
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Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 27 mai 2003 à 15 h 30 (HAE). À cette occasion, les dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 1 888 789-0089 (sans frais), ou au (416) 695-9753 (région de Toronto). L'enregistrement de la conférence sera accessible jusqu'au vendredi 6 juin 2003, au 1 888 742-2491 (code d'accès : 5963).
La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l'adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu'au 25 août 2003.
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