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Communiqués de presse

BMO Groupe financier continue de miser sur ses avantages de banque nord-américaine  

 

BMO Groupe financier continuera de miser sur les avantages que lui procure sa position de banque d’envergure nord-américaine, a déclaré aujourd’hui Tony Comper, président du conseil et chef de la direction, dans une allocution prononcée dans le cadre de la «National Bank Financial Canadian Bank CEO Conference». Il a réaffirmé la stratégie transnationale de BMO, qui consiste à investir dans ses principales activités au Canada tout en se développant aux États-Unis. À titre d’exemple, M. Comper a mentionné l’entente récemment conclue par le groupe Services d’investissement en vue d’acquérir la société new-yorkaise Gerard Klauer Mattison, la onzième entreprise américaine acquise par BMO depuis 1999.

M. Comper a souligné la constance des bons résultats de BMO, surtout ceux de son groupe Particuliers et entreprises des deux côtés de la frontière.

«Nos services aux particuliers et aux entreprises au Canada et aux États-Unis ont été le moteur de notre croissance au premier trimestre, a déclaré M. Comper. Nous avons été plus performants que les autres banques canadiennes au chapitre de la croissance des revenus et du bilan, aussi bien pour les prêts que pour les dépôts. Nous sommes convaincus que ces secteurs d’activité de base permettront à BMO de continuer à obtenir d’excellents résultats, pendant que nos secteurs plus sensibles aux fluctuations du marché se tiennent prêts à profiter de la prochaine reprise des affaires.»

Au cours des deux derniers trimestres, BMO a fait mieux que les banques de son groupe de référence au Canada au chapitre de la croissance des revenus des services aux particuliers et aux entreprises, tout en mettant en œuvre une stratégie à la fois audacieuse et rigoureuse pour accroître encore plus ses revenus. Parmi ses avantages les plus remarquables et les plus durables, on peut signaler la très grande qualité du crédit et des services bancaires aux PME de BMO, qui se rapproche toujours plus de son objectif : atteindre le premier rang du marché des prêts de 5 millions de dollars ou moins au Canada.

«Notre croissance est encore plus impressionnante dans le secteur des services aux particuliers et aux entreprises aux États-Unis, a poursuivi M. Comper. Face aux grandes banques américaines qui ciblent maintenant la région de Chicago, nous bénéficions d’avantages certains, tels que le réseau de distribution de Harris, qui est bien établi et remarquablement déployé, ainsi que l’excellente réputation dont jouit la marque Harris dans le marché local. Nos projets d’expansion, qui comprennent notamment l’ajout de 50 succursales aux 145 que comptait déjà le réseau de la Harris Bank, sont en bonne voie de réalisation.»

M. Comper, a expliqué que pour brosser un tableau plus complet de la situation des services bancaires aux particuliers et aux entreprises de BMO aux États-Unis par rapport à la concurrence, il faut «comparer des pommes avec des pommes», en ajoutant les données des services bancaires de la grande région de Chicago à celles des services aux moyennes entreprises de Harris Nesbitt.

«L’ajout des résultats des secteurs des prêts aux moyennes entreprises et des services de gestion de trésorerie de notre filiale Harris Nesbitt aux résultats de nos services bancaires de la région de Chicago aurait pour effet, en fait, de tripler le revenu net de nos services aux particuliers et aux entreprises aux États-Unis en 2002, tout en améliorant le ratio de productivité, qui passerait ainsi de 77,7 % à environ 60 %. En tenant compte de cet ajout, le revenu net des services aux particuliers et aux entreprises aux États-Unis en 2002 passerait de 20 % à environ 60 % de nos revenus totaux aux États-Unis», a ajouté M. Comper.

Réagissant ensuite à l’annonce, faite la semaine dernière, qu’un concurrent canadien allait procéder à une dépréciation considérable d’un écart d’acquisition, M. Comper a tenu à clarifier la situation en ce qui concerne l’écart d’acquisition comptabilisé par BMO.

«L’écart d’acquisition que nous avons comptabilisé nous paraît raisonnable. Nous soumettons régulièrement l’écart d’acquisition à des tests de dépréciation pour chaque entité comptable et sa valeur comptable demeure appropriée car elle est inférieure à sa valeur marchande, a déclaré M. Comper. En outre, comme la situation des marchés s’est détériorée après que nous avons fait certaines acquisitions, nous avons modifié notre modèle d’entreprise de manière à atteindre un meilleur rapport coût-efficience et nous croyons que nous sommes en bonne position pour poursuivre notre croissance lorsque la conjoncture s’améliorera.»

Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier (NYSE, TSX : BMO) est une institution financière hautement diversifiée. Affichant un actif moyen de 259 milliards de dollars canadiens au 31 janvier 2003 et comptant sur un effectif de plus de 34 000 employés, BMO offre un large éventail de produits et solutions dans les domaines des services aux particuliers, de la gestion de patrimoine et des services d’investissement.

BMO Groupe financier répond aux besoins de sa clientèle dans l’ensemble du Canada et aux États-Unis, par l’entremise de BMO Banque de Montréal, sa filiale de services aux particuliers et aux PME au Canada, de la Harris Bank de Chicago, une importante institution financière du Midwest américain, qui compte aussi des bureaux de gestion de patrimoine dans diverses villes des États-Unis, et de BMO Nesbitt Burns, une des plus importantes sociétés d’investissement à service complet du Canada.

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