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Communiqués de presse

La réussite au cours du Siècle nord-américain : BMO Groupe financier mise sur sa stratégie transnationale Le président du conseil et chef de la direction Tony Comper prend la parole lors de la 185e assemblée annuelle des acti

 

BMO Groupe financier est au premier plan tandis que le Canada entre dans le Siècle nord-américain, a déclaré Tony Comper, président du conseil et chef de la direction, lors de la 185e assemblée annuelle des actionnaires de l’organisation qui a eu lieu à Ottawa aujourd’hui.

«Puisque nous sommes une institution financière transnationale prédominante dont le siège est situé au Canada, notre stratégie de croissance consiste à investir dans nos activités de base au Canada — qui sont et demeureront longtemps notre force première —, tout en atteignant une vaste expansion sélective sur les marchés américains à forte croissance, a déclaré M. Comper.

«Nous, de BMO Groupe financier, croyons qu’en matière de commerce et d’investissements, les Canadiens et les Américains sont entrés dans une nouvelle ère que l’on appellera le "Siècle nord-américain" — et nous nous sommes taillé un rôle de pionnier en tant que bâtisseur de ce siècle.»

BMO Groupe financier se trouve au premier plan des efforts déployés par les entreprises canadiennes pour prospérer aux États-Unis. L’an dernier, BMO a tiré 33 pour cent de ses revenus de ses activités aux États-Unis et, avec un actif américain moyen qui s’élève à plus de 75 milliards de dollars, l’organisation est l’institution financière canadienne qui possède l’actif le plus important aux États-Unis. Outre sa clientèle canadienne, qui dépasse les six millions de personnes, BMO sert près de deux millions de clients aux États-Unis.

Tandis que le secteur bancaire américain connaît une vague de fusions semblable à celle qui a eu lieu au Canada voilà plusieurs décennies, BMO Groupe financier est en excellente position pour accroître l’avantage transnational dont il dispose déjà et qui remonte à l’acquisition, en 1984, de la Harris Bank de Chicago.

«Nous nous trouvons maintenant dans une situation idéale pour accélérer notre croissance aux États-Unis. Maintenant que nous avons transformé la Harris Bank en une banque multicircuits à service complet, nous nous attachons à en faire la première banque de l’agglomération de Chicago, treize des cinquante nouvelles succursales prévues devant ouvrir leurs portes au cours de la présente année civile», a poursuivi M. Comper. BMO s’est engagé à porter à au moins 200 le nombre de succursales de la région de Chicago et du Midwest environnant.

M. Comper a également mentionné l’avantage incontestable que BMO possède dans le domaine de la gestion de patrimoine, où l’organisation tire parti, afin de s’imposer sur le marché nord-américain, de l’excellente réputation dont Harris jouit en tant que banque privée prédominante.

Au cours des quatre dernières années, BMO a acquis et intégré neuf entreprises de gestion de patrimoine américaines d’une valeur de 1,4 milliard de dollars. BMO est maintenant la sixième firme d’investissement direct en importance en Amérique du Nord, et le plan de l’organisation pour les États-Unis est d’offrir une gamme complète de produits et services de gestion de patrimoine aux investisseurs des villes à croissance élevée qui sont ciblées.

«En ce début du Siècle nord-américain, dans l’attente du redressement qui ne manquera pas de se produire aux États-Unis, BMO Groupe financier est actuellement prêt à servir ce marché dans vingt grandes villes américaines comptant toutes de fortes concentrations de gens ayant des investissements importants à gérer, a affirmé M. Comper.

«Notre équipe de services d’investissement et de services aux grandes entreprises, connue sous le nom de Harris Nesbitt aux États-Unis, a continué d’étendre ses opérations dans le Midwest. Elle dispose pour pénétrer ce marché d’une rare combinaison d’avantages : les nombreuses relations étroites que la Harris Bank entretient — souvent depuis plus d’une génération — avec les moyennes entreprises qui apprécient depuis longtemps sa compétence   et le leadership reconnu de BMO Nesbitt Burns dans le domaine des services d’investissement.»

M. Comper a également souligné un autre point fort dont BMO bénéficie dans l’espace économique transnational : le fait que l’entreprise a intégré l’expertise, l’expérience et les meilleures pratiques acquises des deux côtés de la frontière et que son équipe de gestion nord-américaine est déjà solidement implantée.

«Ces quatre dernières années, tout en étendant notre présence nord-américaine, nous avons, sans faire d’éclat, réalisé d’importants progrès stratégiques pour transformer la composition de nos affaires de manière à bâtir un avenir plus solide. Nous avons abandonné les secteurs d’activité peu ou pas rentables ou qui présentent un faible potentiel, en redistribuant les ressources, en capital et autres, aux secteurs offrant de plus grandes possibilités de rendement, et nous avons réduit de 29 milliards de dollars les actifs pondérés en fonction des risques, à rendement plus faibles. Nous avons mis en place, au sein de nos services bancaires aux particuliers du Canada, une nouvelle plate-forme technologique d’envergure qui a révolutionné notre capacité de servir la clientèle et accru à la fois la qualité et la portée de notre culture des ventes et du service.»

Ces initiatives stratégiques commencent à porter leurs fruits :

  • BMO a gravi plusieurs échelons en 2002 relativement aux principales mesures des résultats financiers, passant par exemple du sixième au deuxième rang au chapitre de la croissance du résultat par action avant amortissement.
  • BMO a amélioré en 2002 son rendement par rapport à ses pairs et son rang au sein de son groupe de référence.
  • Pour 2003, la principale priorité de BMO est d’accroître son efficacité opérationnelle de manière substantielle.
  • BMO a lancé d’importantes initiatives d’amélioration du rendement afin d’accroître les revenus, de restreindre les dépenses discrétionnaires, de réduire le nombre de postes non liés aux ventes et d’augmenter sa capacité d’optimiser le service à la clientèle.
  • BMO a maintenu les investissements qu’il juge essentiels à sa rentabilité future, notamment les sommes qu’il a investies dans le personnel de vente et la nouvelle technologie afin d’augmenter sensiblement les revenus de ses services bancaires canadiens qui demeurent son principal moteur de croissance.

M. Comper a également mentionné la réputation internationale de leader dont BMO jouit en matière de présentation de renseignements financiers et de gouvernance d’entreprise, deux éléments clés qui ont fait et continuent de faire la force de l’organisation.

«Dans ce Siècle nord-américain, la partie n’est gagnée pour personne même pour un vétéran comme BMO, avec sa longueur d’avance et sa combinaison inégalée de points forts et de compétences en matière de services bancaires transnationaux. Il faudra faire preuve de prudence, de discipline et de persévérance. Heureusement, à l’étape actuelle de son histoire, BMO Groupe financier réunit déjà ces trois qualités et il sait les mettre à profit. Nous jetons un regard plein de fierté sur notre passé et nous faisons face à notre avenir avec assurance.»

Fondé en 1817 et connu jusqu’à tout récemment sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier (NYSE, TSX : BMO) est une institution financière aux services hautement diversifiés. Avec un actif moyen qui atteignait les 254 milliards de dollars au 31 octobre 2002 et un effectif de plus de 34 000 employés, BMO offre un large éventail de produits et de solutions en matière de services aux particuliers, de gestion de patrimoine et de services d’investissement.

BMO Groupe financier sert des clients dans l’ensemble du Canada et aux États-Unis par l’intermédiaire de BMO Banque de Montréal, sa banque de détail canadienne, de la Harris Bank de Chicago, une importante institution financière   du Midwest américain qui a aussi des bureaux de gestion de patrimoine dans diverses villes des États-Unis, et de BMO Nesbitt Burns, l’un des plus importants courtiers en valeurs mobilières à service complet du Canada.

On peut consulter le texte intégral de l’allocution de M. Comper à l’adresse www.bmo.com.

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