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Communiqués de presse

BMO Groupe Financier annonce une augmentation de 7 % de son revenu net au premier trimestre de 2003 par rapport à l’exercice précédent  

Communiqué intégral sur le rapport trimestriel, y compris les Points saillants des activités d'exploitation, l'Analyse de la direction et les États financiers en format PDF.

Version à imprimer – Communiqué de presse seulement

Un bond de 18 % du revenu net des Services aux particuliers et aux entreprises pousse les résultats de BMO à la hausse

Principaux points de comparaison avec les résultats de l’an dernier :

  • Revenu net de 399 millions de dollars, en hausse de 7 %.
  • Résultat par action de 0,75 $, en hausse de 6 %, et résultat par action avant amortissement1 de 0,79 $.
  • Rendement de l’avoir des actionnaires de 14,3 % et rendement de l’avoir des actionnaires avant amortissement1 de 15,1 %.
  • Croissance des revenus des services bancaires aux particuliers et aux entreprises supérieure à la croissance des frais au Canada et aux États-Unis.
  • Stabilité du revenu net des services d’investissement et de gestion de patrimoine, malgré la persistance d’une conjoncture difficile.
  • Diminution de 30 millions de dollars de la provision pour créances irrécouvrables, qui s’établit à 150 millions de dollars; pour l’exercice 2003, la provision prévue est ramenée de 820 millions à un maximum de 700 millions de dollars.
  • Croissance des revenus de 5 %, inférieure à celle des frais (8 %); abstraction faite des acquisitions, les revenus et les frais augmentent de 2 %.
  • Hausse du ratio de productivité, qui passe de 66,3 % l’an dernier à 67,9 %; amélioration par rapport au ratio de 70,1 % inscrit au quatrième trimestre (68,3 % en excluant les éléments exceptionnels).
  • Excellent ratio du capital de première catégorie, qui passe de 8,80 % au quatrième trimestre à 9,05 % ce trimestre.
  • Hausse de l’objectif de ratio de dividende versé, pour le porter entre 35 % et 45 % du revenu net, ce qui illustre la détermination de BMO à accroître la valeur de l’avoir de ses actionnaires.
  • Augmentation du dividende sur actions ordinaires pour une onzième année de suite.

1. La section «Incidence des éléments exceptionnels», qui précède l’analyse des résultats des groupes d’exploitation dans le présent communiqué, contient des explications sur les rajustements qui ont pour effet de substituer les résultats excluant les éléments exceptionnels et les résultats avant amortissement aux résultats selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR), ainsi que des commentaires sur l’utilisation de ces mesures. Le rajustement qui remplace le revenu selon les PCGR par le revenu sur une base d’imposition comparable est expliqué dans la section «Revenus» de l’analyse des résultats et de la situation financière.

Sauf indication contraire, lorsqu’il est question de résultat par action dans le présent communiqué, il s’agit toujours du résultat dilué par action.

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Ottawa, le 25 février 2003 — BMO Groupe financier annonce un revenu net de 399 millions de dollars et un résultat par action de 0,75 $ pour le premier trimestre terminé le 31 janvier 2003, alors qu’ils étaient respectivement de 372 millions de dollars et 0,71 $ au premier trimestre de l’exercice précédent. Le revenu net avant amortissement, qui tient compte de la réintégration de l’amortissement des actifs incorporels, atteint 421 millions de dollars et le résultat par action avant amortissement, 0,79 $. Aucun élément exceptionnel n’a été inscrit aux états financiers du trimestre.

«L’exercice 2003 a plutôt bien commencé, a déclaré Tony Comper, président du conseil et chef de la direction de BMO Groupe financier. La forte croissance du volume d’affaires des services aux particuliers et aux entreprises, au Canada comme aux États-Unis, continue de pousser nos résultats à la hausse. Nos groupes spécialisés dans les services d’investissement et la gestion de patrimoine gèrent efficacement leurs activités, malgré les contraintes que leur impose la conjoncture difficile sur les marchés, comme le montre la stabilité de leurs résultats depuis l’an dernier. Dans ce contexte, l’amélioration des résultats de BMO par rapport à l’exercice précédent est encourageante. Nous avons poursuivi notre croissance tout en continuant à établir des fondations en prévision du redressement éventuel de l’économie et de la stabilisation des marchés boursiers.»

Le rendement des actions ordinaires de BMO s’établit à 9,2 % pour le premier trimestre. Le rendement total de l’avoir des actionnaires (RTAA) pour les douze derniers mois se chiffre à 18,4 %, ce qui constitue le meilleur RTAA des six grandes banques canadiennes, dont le RTAA moyen pour cette période est de 1,6 %. Le rendement global de l’indice composé TSX est de –12,5 %.

Le revenu net s’est accru de 27 millions de dollars comparativement à l’an dernier. Cette progression est due à l’augmentation des revenus et à la diminution de la provision pour créances irrécouvrables, des facteurs partiellement neutralisés par l’augmentation des frais. L’augmentation de 113 millions de dollars des revenus n’a été que légèrement supérieure à celle des frais, en partie à cause de l’incidence des acquisitions d’entreprises.

Les revenus ont progressé de 5 % par rapport à l’an dernier, grâce à la croissance du volume d’affaires du groupe Particuliers et entreprises, à l’intégration des entreprises acquises par le groupe Gestion privée et à l’augmentation des commissions sur les fusions et acquisitions et les prises fermes versées au groupe Services d’investissement. Cette progression a toutefois été atténuée par le rétrécissement des marges dans nos activités liées aux marchés financiers, rétrécissement découlant de l’arrivée à échéance de titres à plus haut rendement, et par la baisse du volume d’affaires dans le secteur des prêts aux grandes entreprises, des facteurs qui ont réduit le revenu net d’intérêts du groupe Services d’investissement.

Les frais ont augmenté de 8 % comparativement à l’an dernier, à la suite de l’acquisition d’entreprises dans le secteur de la gestion de patrimoine et de la hausse des coûts des avantages sociaux et de la rémunération à base d’actions.

Le ratio des frais aux revenus s’établit à 67,9 %, alors qu’il était de 66,3 % il y a un an, mais il s’est amélioré depuis le quatrième trimestre où il avait atteint 70,1 % (68,3 % si on exclut les éléments exceptionnels). Sous l’effet des acquisitions d’entreprises, les revenus du trimestre ont augmenté de 68 millions de dollars par rapport à l’an dernier, et les frais, de 84 millions. Abstraction faite de ces acquisitions, le ratio des frais aux revenus s’établit à 66,2 %, tout juste en dessous du ratio de l’an dernier.

La provision pour créances irrécouvrables se chiffre à 150 millions de dollars, alors qu’elle atteignait 180 millions un an plus tôt. Le solde brut des prêts douteux a diminué par rapport au quatrième trimestre, les nouveaux prêts douteux totalisant 307 millions de dollars, en baisse de 155 millions comparativement au trimestre précédent, et se situent à peu près au niveau prévu à ce stade du cycle du crédit. Les prêts aux secteurs industriels les plus sensibles, notamment les communications, l’énergie électrique et la production d’énergie, ne représentent toujours qu’une petite partie du portefeuille de prêts de BMO. La réserve pour créances irrécouvrables affectée à ces secteurs est considérée comme suffisante, comme c’est le cas des réserves affectées aux autres secteurs. La direction considère maintenant que la provision pour créances irrécouvrables ne dépassera pas 700 millions de dollars pour 2003, une amélioration par rapport au maximum de 820 millions de dollars que la direction s’était fixé comme objectif à la fin du quatrième trimestre.

Les revenus provenant des États-Unis s’élèvent à 705 millions de dollars, soit 30 % du total de nos revenus, comparativement à 31 % il y a un an. Le ratio de ce trimestre a bénéficié des acquisitions dans le secteur de la gestion de patrimoine l’an dernier. La part du revenu net provenant de ce pays se chiffre à 17 %, alors qu’elle était de 30 % un an plus tôt. L’amélioration de nos résultats au Canada comparativement à ceux que nous avons obtenus aux États-Unis au premier trimestre et le raffermissement du dollar canadien ont contribué à cette baisse de pourcentage. Ce recul est également attribuable aux conditions des marchés des services d’investissement et de gestion de patrimoine aux États-Unis, où les inquiétudes liées à la situation politique internationale ont entraîné la baisse du nombre des transactions effectuées par les clients et où l’arrivée à échéance d’actifs à rendement plus élevé a réduit les marges. Les charges d’amortissement hors caisse liées aux acquisitions effectuées aux États‑Unis dans le domaine de la gestion de patrimoine ont aussi influé sur les ratios comparatifs.

Par rapport au quatrième trimestre, le revenu net est demeuré inchangé selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR), mais il a diminué de 24 millions de dollars, ou de 6 %, si on exclut les frais exceptionnels de 39 millions de dollars (25 millions après impôts) liés aux acquisitions comptabilisés au quatrième trimestre. L’accroissement des revenus et la diminution de la provision pour créances irrécouvrables n’ont pas compensé la hausse de la provision pour impôts sur le revenu. Les frais ont augmenté modérément au cours du trimestre.

À compter de ce trimestre, certains changements ont été apportés aux taux de cession liés aux activités de la Harris Bank. La Harris Bank a adopté un nouveau système d’établissement des coûts de cessions de fonds à échéances symétriques, applicable au niveau des instruments, qui intègre les meilleures pratiques du secteur des services financiers. Certains de ses portefeuilles, qui étaient utilisés pour gérer le risque structurel de taux d’intérêt et qui étaient auparavant rattachés à des groupes d’exploitation, ont parallèlement été transférés au groupe Services d’entreprise. Le nouveau système et les transferts de portefeuilles ont pour effet de déplacer le risque de taux d’intérêt des secteurs d’activité vers le groupe Services d’entreprise. Des améliorations ont aussi été apportées aux méthodes de répartition des fonds et des coûts de BMO. Toutes ces améliorations ont été appliquées rétroactivement et les résultats des groupes pour les périodes précédentes tiennent compte du nouveau classement. La note 7 afférente aux états financiers consolidés intérimaires non vérifiés ci-joints explique brièvement les reclassements qui influent sur les résultats des périodes antérieures.

Revenu net des entités d'exploitation

Objectifs pour l'exercice 2002,

Perspectives inchangées quant au revenu net de 2003
BMO prévoit atteindre ses objectifs pour l’exercice 2003, même si la croissance économique s’annonce un peu plus lente que prévu. La diminution anticipée des provisions pour créances irrécouvrables devrait compenser la révision des perspectives économiques. Après une croissance estimative de 3,3 % en 2002, le PIB réel du Canada devrait augmenter de 3,5 % en 2003, ce qui est inférieur à l’estimation de 3,8 % que nous avions faite à la fin de l’année. Quant au PIB réel des États-Unis, après une croissance estimative de 2,4 % en 2002, nous prévoyons maintenant qu’il progressera de 2,8 % en 2003, alors que notre estimation antérieure était de 3,2 %. La croissance de l’économie américaine demeure inégale, les inquiétudes relatives à la situation politique internationale nuisant toujours aux projets d’embauche et de dépenses des entreprises, ce qui affaiblit le marché des prêts aux entreprises. Cependant, les dépenses des consommateurs se maintiennent, particulièrement pour l’achat de produits à prix élevé, comme les maisons et les automobiles, ce qui contribue à soutenir la croissance des prêts hypothécaires et des prêts à la consommation. L’activité sur les marchés boursiers demeure faible, les investisseurs attendant que se résolvent les problèmes liés à la situation politique internationale. Une résolution rapide et décisive de ces problèmes pourrait relancer l’économie et améliorer la situation des marchés financiers.

Remarque sur l’analyse des résultats
La direction de BMO et certains observateurs considèrent que l’analyse des résultats est meilleure lorsqu’elle se concentre sur les résultats excluant les éléments exceptionnels. De plus, les mesures des résultats avant amortissement peuvent faciliter la comparaison de deux périodes où il s’est produit une acquisition, surtout parce que l’amortissement hors caisse des actifs incorporels peut ne pas avoir été considéré comme charge pertinente au moment de la décision d’achat. Les mesures du résultat par action avant amortissement sont aussi fournies parce que les analystes s’y intéressent souvent et que le résultat par action avant amortissement est utilisé par Thomson First Call, qui surveille les prévisions de résultats faites par des tiers et dont les médias font souvent état. Ces rajustements et leurs effets sur nos résultats sont exposés dans le tableau «Incidence des éléments exceptionnels». Les organismes de réglementation du commerce des valeurs mobilières exigent que les entreprises préviennent les lecteurs de ces analyses que les résultats ainsi rajustés n’ont pas une signification standard selon les PCGR et sont difficilement comparables avec des mesures similaires utilisées par d’autres entreprises.


La Banque de Montréal utilise une marque unifiée reliant toutes les sociétés membres de l’organisation. La Banque de Montréal et ses filiales sont désignées par l’appellation BMO Groupe financier. Ainsi dans le présent document, les appellations BMO et BMO Groupe financier désignent la Banque de Montréal.

Responsabilité de la direction à l’égard des renseignements financiers
Un cadre de régie financière rigoureux et complet a été mis en place au sein de BMO et de ses filiales, aux niveaux de la direction et du Conseil d’administration. Chaque année, le rapport annuel de BMO contient une déclaration signée par le chef de la direction et le chef des finances faisant état de la responsabilité de la direction à l’égard des renseignements financiers contenus dans le rapport. Lors de la publication de son rapport annuel et d’autres documents d’information continue, le 24 janvier 2003, BMO a également déposé des déclarations certifiant ses résultats, signées par le chef de la direction et le chef des finances, auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États‑Unis. Dans ces déclarations, le chef de la direction et le chef des finances de BMO certifient, comme l’exige la loi américaine, l’exactitude des renseignements financiers contenus dans le rapport annuel ainsi que l’efficacité des contrôles et des méthodes utilisés pour les produire. Le chef de la direction et le chef des finances de BMO, de leur propre initiative, certifieront à la SEC l’exactitude des renseignements financiers contenus dans le présent communiqué, y compris les états financiers consolidés intérimaires non vérifiés ci-joints.

Comme lors des trimestres précédents, le Comité de vérification de BMO a examiné les états financiers consolidés non vérifiés ci-joints ainsi que les résultats présentés dans ce communiqué, y compris l’analyse des résultats du premier trimestre et de la situation financière, et le Conseil d’administration de BMO a approuvé ces documents avant leur publication.

L’analyse des résultats du premier trimestre est jointe au présent document. On trouvera une analyse plus détaillée de nos secteurs d’activité, de nos stratégies et de nos objectifs dans la section «Analyse par la direction des résultats d’exploitation et de la situation financière» du Rapport annuel 2002 de BMO, accessible sur le site Web de BMO dont l’adresse est indiquée plus loin. Nous invitons également les lecteurs à visiter notre site Web pour y consulter d’autres renseignements financiers trimestriels.


MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PRÉVISIONNELLES
Les communications publiques de la Banque de Montréal comprennent souvent des déclarations prévisionnelles, écrites ou verbales. Le présent communiqué contient de telles déclarations, qui peuvent aussi figurer dans des documents déposés auprès des organismes canadiens de réglementation ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou dans d’autres communications. Toutes ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act, loi américaine de 1995. Les déclarations prévisionnelles peuvent comprendre notamment des observations concernant nos objectifs pour l’exercice 2003 et au-delà, nos stratégies ou actions futures, nos cibles, nos attentes concernant notre situation financière ou le cours de nos actions et les résultats ou les perspectives de notre exploitation ou des économies canadienne et américaine.

De par leur nature, les déclarations prévisionnelles comportent des hypothèses, des risques et des incertitudes. Il existe un risque appréciable que les prévisions et autres déclarations prévisionnelles se révèlent inexactes. La Banque de Montréal conseille aux lecteurs du présent document de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des cibles, attentes, estimations ou intentions exprimées dans ces déclarations prévisionnelles, en raison d’un certain nombre de facteurs.

Les résultats réels ayant trait aux déclarations prévisionnelles peuvent être influencés par de nombreux facteurs, notamment : les activités des marchés financiers internationaux, les fluctuations de taux d’intérêt et de change, la conjoncture économique et politique dans certains secteurs et dans le monde, les modifications de la réglementation ou de la législation, les effets de la concurrence dans les secteurs géographiques et les domaines d’activité dans lesquels nous œuvrons, les mesures prises par la direction et les changements technologiques. La Banque tient à souligner que la liste de facteurs qui précède n’est pas exhaustive. Les investisseurs et les autres personnes qui se fient à des déclarations prévisionnelles pour prendre des décisions à l’égard de la Banque de Montréal doivent tenir soigneusement compte de ces facteurs, ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels, et de l’incertitude inhérente aux déclarations prévisionnelles. La Banque de Montréal ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prévisionnelles, verbales ou écrites, qui peuvent être faites, à l’occasion, par elle-même ou en son nom.


RENSEIGNEMENTS À L’INTENTION DES INVESTISSEURS ET DES MÉDIAS

Documents destinés aux investisseurs
Les investisseurs, les médias et les autres parties intéressées peuvent consulter le présent communiqué, les présentations qui l’accompagnent et des données financières complémentaires sur notre site www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Ces documents sont également disponibles aux bureaux de BMO Groupe financier, au 100 King Street West, 1 First Canadian Place, 18e étage, Toronto, Ontario, M5X 1A1.

Téléconférence et cyberconférence trimestrielles
Les parties intéressées sont invitées à se joindre, en mode écoute seulement, à notre téléconférence trimestrielle, le mardi 25 février 2003 à 14 h (HNE). À cette occasion, les dirigeants de BMO commenteront les résultats du trimestre et répondront aux questions des investisseurs. La conférence sera accessible par téléphone, au 1 888 789-0089 (sans frais), ou au (416) 695-9753 (région de Toronto). L’enregistrement de la conférence sera accessible jusqu’au vendredi 7 mars 2003, au 1 888 742-2491 (code d’accès : 5956).

La cyberconférence trimestrielle sera accessible en direct à l’adresse suivante : www.bmo.com/relationsinvestisseurs. Elle sera accessible en différé sur notre site jusqu’au 26 mai 2003.

Relations avec les médias
Ronald Monet, Montréal, (514) 877-1101
Ralph Marranca, Toronto, (416) 867-3996
Ian Blair, Toronto, (416) 867-3996

Relations avec les investisseurs
Susan Payne, première vice-présidente, Relations avec les investisseurs, susan.payne@bmo.com,(416) 867-6656
Lynn Inglis, directrice générale, Relations avec les investisseurs,
lynn.inglis@bmo.com, (416) 867-5452
Amanda Mason, directrice, Relations avec les investisseurs,
amanda.mason@bmo.com, (416) 867-3562

Chef des finances
Karen Maidment, vice-présidente à la direction et chef des finances,
karen.maidment@bmo.com, (416) 867-6776

Secrétariat général
corp.secretary@bmo.com
, (416) 867-6785



POUR CONSULTER L’ANALYSE DES RÉSULTATS DU PREMIER TRIMESTRE 2003,

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